[Dans vos commentaires] « C’est beau comme une photo de famille ! »

bellamy marion bardella

Les semaines passent et les élections européennes approchent à grands pas. Les candidats enchaînent les plateaux télé, les meetings et, le 25 avril, les trois têtes de liste de la droite ont honoré BV de leur présence à l'occasion du Grand Oral organisé par Les Éveilleurs en partenariat avec votre journal préféré. Nos lecteurs, nombreux à avoir suivi cet événement devant leur ordinateur, s’intéressent à cette élection présentée par beaucoup comme une échéance de mi-mandat. Des lecteurs remerciés par Gabrielle Cluzel dans son édito « Vive la France droite », et de vive voix sur la scène de la Palmeraie, en introduction de cette grande soirée devant une salle comble. De leur côté, nos lecteurs ont exprimé la raison pour laquelle ils soutiennent notre média. Lougry, par exemple : « Merci surtout à vous-même pour cette information vraie de la vie politique sérieuse et digne que vous avez redonnée à la droite républicaine française, et ceci, chaque jour. » Ou encore Léon Pinault : « Merci à ce média patriote et libre. » Et Yves : « Merci Madame Cluzel, merci pour Notre France profonde, pour tous les besogneux, pour notre France des clochers… Merci ! » Anne-Aurore conclut simplement : « Nous aussi sommes fiers de BV. »

« Seule une alliance des droites, LR, Reconquête et RN...»

Questionnés tour à tour par les journalistes de BV, Gabrielle Cluzel, Marc Baudriller et Clémence de Longraye, les trois candidats de droite aux élections européennes se sont succédé sur scène : François-Xavier Bellamy (LR), Jordan Bardella (RN) et Marion Maréchal (R). S'ils n’ont eu de cesse de rappeler leurs différences pour se démarquer lors du vote, comme l’a écrit Iris Bridier dans son article, nos lecteurs voient cependant dans ce trio un ticket gagnant. Christian Laborde l’exprime : « Ils sont pas mal tous les trois, dommage qu’ils ne tirent pas la "charrue" ensemble dans le même sens. » Syclams affirme à son tour : « Seule une alliance des droites, LR, Reconquête et RN, permettra de reprendre assurément la dynamique de droite. Ce serait une preuve que la démarche de chacun de ces partis vise réellement le redressement de la France et non un combat de petits coqs. » Passeur poursuit : « Imaginez la jonction de ces trois courants ! Que du bonheur ! » Et Duriez confirme : « Quelle image ! [ la photo des trois candidats côte à côte] C’est beau comme une photo de famille. Que n’en forment-ils donc pas une ? »

Macronie : droit dans le mur...

Alors que ces trois mousquetaires de droite ont su, individuellement ou en commun, séduire nos lecteurs, on ne peut pas dire que la Macronie  en fasse de même. À ce sujet, Georges Michel, dans son édito « 50 jours avant les élections européennes, rien ne va plus », pointe du doigt ce qui semble être la chute inexorable de la majorité présidentielle dans les sondages. Oanellig constate : « La fin d’un règne. Macron, qui n’a jamais été élu, sauf président de la République, n’a aucune expérience. Or, tout élu sait qu’il a des partisans et des adversaires. Ce sont ces derniers, qui le contestent, qui le font "progresser". L’élu se frotte alors à la contradiction et c’est très formateur. C’est ce qu’il manque à Macron. » Pourtant, en sept ans, il a eu le temps d'apprendre ! Léon Pinault s’étonne : « Existe-t-il encore des Français aujourd’hui capables de croire à la parole de Macron ? Dans ce cas, il faut être sourd et aveugle. » Roan, à propos de l'annonce du discours du Président sur l'Europe évoqué dans l'édito de Georges Michel, pour sa part se réjouit : « Le cap de la Macronie, on le connaît : c’est droit dans le mur. Il veut parler ? Eh bien, qu’il parle ! Comme lorsqu’il parle, il exaspère… C’est tout bénef… » Quant à Eddy, il ironise : « Il va encore saouler les deux ou trois téléspectateurs qui auront le courage de l’écouter, pendant que le reste des Français sera parti à la pêche à la ligne pour traquer les anguilles. » Le tout est de savoir si, le 9 juin, jour des élections européennes, les Français se saisiront de leurs cannes ou de leur bulletin de vote...

Vos commentaires

47 commentaires

  1. Le seul avantage que présente l’élection européenne réside dans le fait qu’elle soit à un seul tour et à la proportionnelle. Sinon, ce que je remarque est qu’aucun des députés français sortants ne présente le bilan de son mandat en faveur de la défense des intérêts de la France au sein de la CE. L’on ne peut contacter ces députés que par leur bureau situé à Bruxelles, alors, comment voulez-vous que l’abstention ne soit pas la reine ?

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