Audrey Lamy : ses cambrioleurs étaient des migrants, elle renonce à porter plainte !

audrey lamy

Les cambriolages de stars se multiplient, ces derniers temps. Après l’animateur Nikos Aliagas, la chanteuse Vitaa, l'animateur radio Bruno Guillon, l'ex-Miss France Sylvie Tellier ou encore le chef Cyril Lignac, c’est au tour de la comédienne et humoriste Audrey Lamy d’en faire l’expérience. Le sinistre s’est déroulé en octobre 2022. Trois individus se sont introduits dans la résidence secondaire de l’actrice, située dans le sud de la France, et lui ont dérobé des sacs à main de luxe et des bijoux, pour un préjudice total de plus de 18.000 euros. Un vrai choc pour la sympathique quadra qui se trouvait à l'autre bout de la France, en plein tournage, quand sa gouvernante l'a contactée pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.

D’étonnantes circonstances atténuantes

Mais un an et demi après les faits, et alors que le procès s’est tenu le 3 avril dernier à Montpellier, le magazine Public vient de révéler que la sœur d’Alexandra Lamy aurait abandonné les poursuites, refusant de porter plainte contre les voleurs en raison de... leur profil ! Ces derniers sont en effet des immigrés d'Europe de l'Est en situation irrégulière sur le territoire. De quoi atténuer quelque peu le courroux de la comédienne qui aurait été « touchée en plein cœur » par le statut social des trois malfrats et aurait préféré « laisser couler » plutôt que d'ajouter des charges au dossier…

Car les cambrioleurs n’en étaient pas à leur coup d’essai. C’est pas moins d’une quinzaine d’autres demeures qu’ils auraient dépouillées, au cours du dernier trimestre de 2022 ! Lors de leur procès, les trois migrants ont ainsi bénéficié de la magnanimité de Mme Lamy et s’en sont sortis avec une tape sur la main : deux ont été relaxés, tandis que le troisième a écopé d'une année de prison ferme ainsi que de dix ans d'interdiction de séjour sur le territoire français. Autrement dit, deux d'entre eux sont à nouveau dans la nature, libres de reprendre leur carrière.

L’autocensure des victimes

De quoi cette affaire est-elle le nom ? Elle nous parle évidemment du gauchisme quasi pathologique d’un petit milieu ultra-privilégié, mais aussi d’un certain état d’esprit pénitent, plus répandu qu’on ne le pense. Culpabilisé par les médias d’État, notre pays n’arrive plus à se considérer comme une victime éventuelle. Beaucoup de Français sont tétanisés, ils n’osent pas prendre la parole et faire valoir leurs droits, même après avoir enduré les pires sévices. C’est l’autocensure des victimes au nom de l’antiracisme. On l’a vu dans l’affaire Taha Bouhafs - ce militant mélenchoniste accusé, au printemps 2022, de violences sexuelles par plusieurs femmes : ces dernières ne souhaitèrent pas porter plainte de peur d’« alimenter le racisme » ou d’accabler un homme qu’on disait alors sous le feu des « attaques venues de l'extrême droite ». On l’a vu ensuite, en décembre 2022 à Quimper, lorsqu’une jeune femme prétendit avoir été violée par un homme de type caucasien, jusqu’à ce que les enquêteurs découvrent que l’ADN retrouvé appartenait à un homme d’origine africaine. Journaliste à RTL, Isabelle Morini-Bosc confia, elle aussi, avoir renoncé à dénoncer l’homme qui l’avait violée, en raison de l’origine ethnique de ce dernier. « Je n’ai pas dit l’origine de mon agresseur, un monsieur maghrébin. Et je n’ai pas porté plainte parce que, quelque part, je n’ai pas voulu lui nuire », déclara-t-elle à la télévision, en 2021.

Le conditionnement moral imposé par la gauche antiraciste a mis dans la tête des Français que la dénonciation de leurs agresseurs fait « le jeu de l’extrême droite », qu’un immigré est un être fondamentalement fragile, digne d’être protégé, quelle que soit sa dangerosité.

Jean Kast
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

Vos commentaires

59 commentaires

  1. Pourquoi se gêner , je suis immigrés , j’ai tous les droits !! Lavie est belle en France avec de telle mentalité !!

  2. On a quand même du mal à y croire, on marche sur la tête, mais c’est arrivé à la fille d’un ami fortuné, elle a estimé que son voleur africain devait en avoir plus besoin qu’elle qui aussitôt a demandé à papa de financer. Neanmoins on n’est pas étonné lorsqu’on voit dette pub raciste où des membres de la diversité en majorité s’en prennent à un blanc entre 60 et 70 ans cagoulé qui voudrait entrer chez eux, mais ils ont le bon système d’alarme. Evidemment tout le monde sait que le mâle blanc dans la soixantaine est le cambrioleur type.

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