Le parti d’Emmanuel Macron veut « les places », et pas juste pour être maires ou conseillers municipaux mais bien pour faire basculer, par la suite, le Sénat dans leur escarcelle.
Ils sont obligés de continuer à cotiser pour une retraite déjà prise et pour laquelle aucune augmentation ne peut être possible.
L’alimentation, ce n’est pas les voitures ou l’informatique, réaffirment les agriculteurs, c’est avant tout un problème de santé publique.
Le parti d’Emmanuel Macron veut « les places », et pas juste pour être maires ou conseillers municipaux mais bien pour faire basculer, par la suite, le Sénat dans leur escarcelle.
Ils sont obligés de continuer à cotiser pour une retraite déjà prise et pour laquelle aucune augmentation ne peut être possible.
L’alimentation, ce n’est pas les voitures ou l’informatique, réaffirment les agriculteurs, c’est avant tout un problème de santé publique.