En France, obnubilés par leur vision « idéaliste » des droits de l’homme, incapables de tirer les leçons de l’Histoire, les tenants du politiquement correct confondent le « bon grain et l’ivraie ».
La Nouvelle-Calédonie va-t-elle attendre encore quatre ans et deux autres référendums pour savoir si elle reste ou non dans la France ?
L’étincelle allumée à Washington la semaine dernière est bien française. Vraiment française.
Le récent débat sur la chaîne « Histoire » entre Jean-François Sirinelli et Jean Pierre Le Goff m’a inspiré ces quelques réflexions.
« Accession à la pleine souveraineté ». C’est autour de cette injonction incluse dans les accords de Nouméa que va se déterminer l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.
La montée en force des mouvements populaires, débouchant parfois sur une union des droites, inquiète Bruxelles.
L’enjeu véritable des prochaines années réside dans la survie ou dans la mort de notre civilisation.
En France, obnubilés par leur vision « idéaliste » des droits de l’homme, incapables de tirer les leçons de l’Histoire, les tenants du politiquement correct confondent le « bon grain et l’ivraie ».
La Nouvelle-Calédonie va-t-elle attendre encore quatre ans et deux autres référendums pour savoir si elle reste ou non dans la France ?
L’étincelle allumée à Washington la semaine dernière est bien française. Vraiment française.
Le récent débat sur la chaîne « Histoire » entre Jean-François Sirinelli et Jean Pierre Le Goff m’a inspiré ces quelques réflexions.
« Accession à la pleine souveraineté ». C’est autour de cette injonction incluse dans les accords de Nouméa que va se déterminer l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.
La montée en force des mouvements populaires, débouchant parfois sur une union des droites, inquiète Bruxelles.
L’enjeu véritable des prochaines années réside dans la survie ou dans la mort de notre civilisation.