Le bide de Quelques jours pas plus, film pro-migrants : la faute de l’extrême droite ?

film quelques jours pas plus

Le film Quelques jours pas plus, inspiré d’un roman de Marc Salabert (baptisé De l'influence du lancer de minibar sur l'engagement humanitaire), vient de sortir sur les écrans français. Il met en scène Benjamin Biolay et Camille Cottin. Le pitch est d’une foudroyante originalité : pour plaire à Mathilde (Camille Cottin), militante pro-migrants dont il est tombé amoureux, Arthur (Benjamin Biolay), un journaliste qui couvrait l’évacuation d’un campement sauvage, accepte d’accueillir Daoud, un réfugié afghan. Évidemment, ce film n’a rien à voir avec Ma France à moi (résumé par AlloCiné : « France, la soixantaine, vit seule dans son appartement bourgeois de l’Est parisien. Lorsqu’elle entend parler à la radio d’une association qui met en contact des personnes réfugiées sans logement et celles ayant la possibilité de les accueillir, elle décroche son téléphone pour se porter volontaire. Quelques jours plus tard, Reza, jeune Afghan d’à peine vingt ans, débarque dans sa vie. Ces deux êtres, qui n’ont rien en commun, vont devoir apprendre à vivre ensemble… »), sorti en décembre 2023. Rien à voir, non plus, avec Les Engagés (résumé AlloCiné : « Sur la route de Briançon, la voiture de David percute un jeune exilé poursuivi par la police. Suivant son instinct, David le cache dans son coffre et le ramène chez sa compagne Gabrielle qui vit avec ses deux enfants. Bouleversé par le destin de cet adolescent, David s’engage à l’aider coûte que coûte »), sorti en novembre 2022. On dirait qu’on essaie de nous faire comprendre quelque chose, mais quoi ? Le message est si subtil…

Bref, au moment de la sortie de ce long-métrage, de nombreux internautes se sont déchaînés contre le principe même de ce film. Ils n’ont pas été plus subtils que les ficelles (soyons honnêtes : les cordes) dont a usé la réalisatrice de ce énième plaidoyer pour le vivre ensemble. En revanche, eux n’ont pas le droit d’exprimer leur ras-le-bol, parce qu’exprimer sa volonté de ne pas accueillir des millions de migrants en France, c’est mal. Et puis, comprenez bien, ces gens sont des ploucs, ils écrivent avec des fautes d’orthographe, comme le souligne Télérama, avec un rien de mépris social. La société des réalisatrices et réalisateurs français se joint à ce concert d’opprobre. Tout le monde est d’accord : trouver qu’il y a trop de films sur les migrants, généralement avec des scénarios indigents et répétitifs, c’est être un sale raciste. Trouver qu’il y a trop de migrants, on n’en parle même pas…

Peut-être n’y a-t-il pas de haine raciale de la part des « braves gens » qui n’ont que deux torts : aimer leur pays et ne pas toujours « maîtriser le Bescherelle ». Peut-être y a-t-il juste une immense lassitude : car c’est lassant, après tout, de prendre plusieurs fois par an, sur grand écran, des leçons de morale de la part des bobos, à travers des navets subventionnés par vos impôts. C’est lassant, également, de voir tous les jours des faits de violence commis par des migrants ultraviolents. Par exemple, ces quelques Afghans, qui semblent être de nouvelles figures christiques, impliqués dans des agressions sexuelles commises en Europe. Mais ça aussi, c’est raciste, probablement…

Arnaud Florac
Arnaud Florac
Chroniqueur à BV

Vos commentaires

52 commentaires

  1. On peut se poser la question de ses films qui se répètent comme s’ils étaient les fruits d’une commande de l’état, donc un message politisé détourné, éduquer les masses, préparer au changement, à moins que le cinema français, son petit monde, soit particulièrement orienté vers une sensibilité humaniste que l’on peut qualifier de naïve.

  2. Qu’on supprime les subventions à toutes les officines pro-migrants et islamo-gauchistes ( SOS Rac , MRAP ; LDH , etc.) Qu’ils y mettent le pognon de leurs poches . Il y aura alors bien moins de « volontaires » .

  3. Si le film pro Migrants n’a ut le succès escompté, ca n’est pas à cause de l’extrème droite ! Mais c’est parce que ce sujet n’intéresse pas les gens surtout préoccupé par l’hyper inflation qui nous fait perdre en pouvoir d’achat et qui accroit les défaux de paiements et les faillites d’entreprises, ! Hervé de Néoules !

  4. Les français boudent ce genre de film ? Personnellement,je trouve cela génial.Maintenant, si les personnes qui s’indignent de la désertion des salles obscures quand ce genre de spectacle est proposé ( la faute à l’extrême droite disent-ils) ,je leur suggère donc de subventionner avec leurs propres deniers ce type de film à moraline bien-pensante, et non pas avec nos impôts.Et si ces gens veulent vraiment œuvrer pour les migrants, qu’ils leur fassent donc une place chez eux à leurs propres frais, personne ne trouvera à y redire.

  5. Que l’on arrête les subventions au cinéma français ainsi qu’aux téléfilms , cela nous éviteraient de subir toutes ces tentatives de lobotomie venant de cette Gôche qui a bout de souffle essaient de trouver des électeurs reconnaissant en aidant, sponsorisant par le biais d’association anti-française tout ces clandestins qui pour certains ne sont que des terroristes en attente de passer a l’action , de délinquants qui a la moindre occasion , agressent, violent, tuent ; les autres ne sont la que pour les largesses financières que les divers administrations de ce pays déversent sur eux au détriment de véritable bénéficiaires qui ne récoltent que les miettes quand il n’y en a.

  6. Il me semble que le fait d’héberger chez soi une personne en situation irrégulière, est un délit passible de peines de prison et de fortes amendes.(article L 823-1 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile). Sans vouloir interdire les scénaristes d’aborder ces sujets, un rappel de cette loi, devrait être inscrit dans le generique des films approchants ces sujets, afin que ceux-ci n’encouragent pas de telles dérives soi-disant humanitaires, et rappellent leur caractère illégal. En plus, ce n’est pas sans risque. Dernièrement, a Nantes, n’y a-t-il pas eu l’agression et le viol de cette femme qui avait trouve malin et charitablement humaniste d’accueillir un immigrant illégal algérien ?

    • « Il me semble que le fait d’héberger chez soi une personne en situation irrégulière, est un délit passible de peines de prison et de fortes amendes. » Vous oubliez le « principe de fraternité » reconnu par le Conseil constitutionnel pour le passeur de migrants Cédric Herrou. À partir de ce principe, on peut tout accepter, même héberger un cousin tueur en série…

  7. N’est-ce pas justement par racisme anti-Blanches que les viols quotidien déclarés dans les Commissariats sont d’année en année plus nombreux et se terminent souvent mal pour les femmes impliquées. ?

  8. Nous souffrons d’une overdose de propagande pro immigrants. Allô Mme DATI, allez vous pouvoir nous débarrasser de ce mal ???

  9. Ce film n’aurait jamais voir le jour et sans l’avoir vu je ne veux pas donner de l’argent pour ces gens là es ce que la gauche a donné au moins

  10. « car c’est lassant, après tout, de prendre plusieurs fois par an, sur grand écran, des leçons de morale de la part des bobos, à travers des navets subventionnés par vos impôts.  » Sans parler du petit écran.

  11. Pourquoi le cinéma français, politisé, est-il si grassement subventionné par l’argent du con-tribuable ? Si ce cinéma devait vivre de ses recettes et donc de ses succès, les producteurs feraient un effort et éviteraient de produire des navets idéologiques et politicards pour plaire à l’extrême gauche. Dans la majorité des pays, le cinéma vit des recettes induites par les entrées ; mais en France l’argent coule flot et on pompe de plus en plus les gens qui travaillent ou qui ont travaillé toute leur vie.

  12. ll suffit de faire comme moi = en plus de ne pas regarder la TV depuis plus de 20 an, je ne vais pas au cinéma!
    De fait, je ne suis pas indisposée par ces crétineries de manipulation mentale et évite des crises de colère qui me fatiguent.

    • … Et de vous élever intellectuellement. Il y a par ailleurs dans le patrimoine cinématographique français et étranger une multitude de chefs-d’œuvre indémodables et indépassables qu’on peut voir et revoir à volonté.

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