Alain Juppé
Toutefois, le patient semble détenteur de la médication qui le sortirait des affres de son islamophobie sournoise…
« C’est une discipline qu’il faut s’imposer », ajoute le yogi de la politique.
Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Il revient aux catholiques de rappeler à ces aventuriers opportunistes de la politique que leur Église doit être respectée.
Le mandat de trop, au fond, il va le faire au Conseil constitutionnel.
Bien des internautes sont revenus sur sa double condamnation…
Celui qui fut le Premier ministre de Chirac (de 1995 à 1997) n’a jamais senti les aspirations profondes du peuple français.
Une page va donc se tourner pour Bordeaux. Ceux qui aiment cette ville ne peuvent que souhaiter que le prochain maire se consacre exclusivement à sa tâche…
Monsieur Juppé se plaint encore, se plaint toujours, s’apitoie sur son sort. Il est dans son rôle, son calimérôle.
La révision de l’aphorisme populaire « s’ennuyer à cent sous de l’heure » a été mis à l’ordre du jour du prochain Conseil des ministres.
L’omelette réalisée avec les œufs cassés de ces quarante dernières années règne à l’Élysée, à l’Assemblée, au Conseil constitutionnel…
Évolution, revirement ou dérive ? Tout est une question de point de vue.
Le pays déboussolé cherchera une solution pour faire oublier les erreurs de ce trop jeune Président dont l’arrogance aura mis le feu.
il avait toutes les qualités pour reconstruire la droite…
Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…
Ces illusionnistes ne font illusion qu’à eux-mêmes.
En attendant, c’est la loi du genre, en télé-réalité politique : il y a toujours un maillon faible qui se fait dégager en cours de saison.
Au moins, avec ce nouveau tango, elle met ses ambitions en accord avec ses convictions : c’est toujours mieux, pour garder l’équilibre.
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
Virginie Calmels, avec ses saillies accablantes sur la personnalité, la ligne et l’entourage perdant-perdant d’Alain Juppé, aurait pu être éditorialiste à Boulevard Voltaire.
La scène se déroulait samedi matin, dans le quartier tranquille (et bourgeois) de Saint-Augustin, à Bordeaux.
On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.
Décidément, M. Macron n’a pas fini de nous surprendre.
En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans.
Dans les couloirs de l’hôtel de ville de Bordeaux, on ne voit plus que des fantômes ou des revenants.
Toutefois, le patient semble détenteur de la médication qui le sortirait des affres de son islamophobie sournoise…
« C’est une discipline qu’il faut s’imposer », ajoute le yogi de la politique.
Que cette droitisation de l’UMP, qui avait réussi à Sarkozy en 2007, ait in fine échoué s’explique d’abord par son insincérité et son manque de crédibilité.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Il revient aux catholiques de rappeler à ces aventuriers opportunistes de la politique que leur Église doit être respectée.
Le mandat de trop, au fond, il va le faire au Conseil constitutionnel.
Bien des internautes sont revenus sur sa double condamnation…
Celui qui fut le Premier ministre de Chirac (de 1995 à 1997) n’a jamais senti les aspirations profondes du peuple français.
Une page va donc se tourner pour Bordeaux. Ceux qui aiment cette ville ne peuvent que souhaiter que le prochain maire se consacre exclusivement à sa tâche…
Monsieur Juppé se plaint encore, se plaint toujours, s’apitoie sur son sort. Il est dans son rôle, son calimérôle.
La révision de l’aphorisme populaire « s’ennuyer à cent sous de l’heure » a été mis à l’ordre du jour du prochain Conseil des ministres.
L’omelette réalisée avec les œufs cassés de ces quarante dernières années règne à l’Élysée, à l’Assemblée, au Conseil constitutionnel…
Évolution, revirement ou dérive ? Tout est une question de point de vue.
Le pays déboussolé cherchera une solution pour faire oublier les erreurs de ce trop jeune Président dont l’arrogance aura mis le feu.
il avait toutes les qualités pour reconstruire la droite…
Afficher avec une suffisance provocatrice une politique de fracture sociale est évidemment un contresens…
Ces illusionnistes ne font illusion qu’à eux-mêmes.
En attendant, c’est la loi du genre, en télé-réalité politique : il y a toujours un maillon faible qui se fait dégager en cours de saison.
Au moins, avec ce nouveau tango, elle met ses ambitions en accord avec ses convictions : c’est toujours mieux, pour garder l’équilibre.
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
Virginie Calmels, avec ses saillies accablantes sur la personnalité, la ligne et l’entourage perdant-perdant d’Alain Juppé, aurait pu être éditorialiste à Boulevard Voltaire.
La scène se déroulait samedi matin, dans le quartier tranquille (et bourgeois) de Saint-Augustin, à Bordeaux.
On se contentera de rappeler qu’il a remis la Légion d’honneur à Tareq Oubrou, grand recteur de la mosquée de Bordeaux, membre de l’UOIF, c’est-à-dire des Frères musulmans.
Décidément, M. Macron n’a pas fini de nous surprendre.
En une semaine, ils ont fait leur réapparition sur les écrans.
Dans les couloirs de l’hôtel de ville de Bordeaux, on ne voit plus que des fantômes ou des revenants.