Danièle Obono légitime le racisme anti-blanc : pas de juge pour demander la levée de son immunité ?
Danièle Obono est, décidément, notre meilleur atout. La députée franco-gabonaise, d'obédience mélenchoniste, s'est une nouvelle fois distinguée par une sortie polémique en défendant la "non-mixité raciale" de réunions organisées par le syndicat SUD Éducation 93. Des réunions tout simplement interdites aux Blancs, dans la France de 2017.
Ne pouvant s'empêcher de saisir la moindre occasion pour déblatérer sur la France et les Français de souche, animée d'une haine revancharde, insatiable et compulsive, elle nous offre régulièrement des outrances telles que même des cégétistes patentés ou des journalistes bobos ne peuvent que s'en indigner et s'interroger sur les dérives de cette "lutte contre les discriminations" qui oscille aujourd'hui entre le grotesque totalitaire et l'hystérie collective.
On se souviendra, ainsi, de cette polémique née après son passage sur RMC où cette "élue de la nation" semblait incapable de prononcer ces quelques mots : "Vive la France". Ou encore de ce soutien ambigu au groupe ZEP et à son morceau "Nique la France" où l'on fustigeait le "paternalisme et le colonialisme" de notre pays. Ou encore de sa "fraternisation" avec la non moins sulfureuse Houria Bouteldja, présidente monomaniaque du Parti des indigènes de la République, et qui s'était notamment distinguée en qualifiant les Français de "souchiens". De quoi suffire à désorienter jusque dans son propre camp.
Mais si ses acolytes d'extrême gauche feignent l'indignation, c'est davantage sur la forme que sur le fond de ses propos. Car Danièle Obono n'est pas en rupture avec l'idéologie dominante : elle la précède, elle en annonce les prochains développements et ne fait qu'en pousser la mécanique jusqu'à ses conclusions logiques.
Et c'est bien là le problème : le timing. Danièle Obono entend sauter les étapes.
À rebours du processus lent et souterrain de Grand Remplacement - dont il s'agit, pour nos élites, de dissimuler le plus longtemps possible la réalité, l'ampleur et les implications -, l'urticante Obono pèche par son impatience et accélère malgré elle le lent réveil du peuple français, tant ses sorties médiatiques heurtent une opinion publique pourtant sévèrement anesthésiée.
Mais il y a mieux. En revendiquant ouvertement un droit à la discrimination raciale, Danièle Obono crée un précédent, une jurisprudence à double tranchant qui enterre de facto la fiction du vivre ensemble et légitime, par ricochet, les futures revendications identitaires et communautaires de la majorité silencieuse. Ces Français de plus en plus ulcérés par l'arrogance prosélyte immigrée et qui finiront bien par comprendre qu'il nous faut tuer le multiculturalisme avant qu'il ne nous tue.
On peut, enfin, s'interroger sur l'inertie de la Justice républicaine - pourtant prompte à condamner sans relâche les "incitations à la haine raciale" et à demander des levées d'immunité parlementaire d'élus mal-pensants - qui semble soudainement bien laxiste, tardant à réagir face à ce qu'il faut bien appeler une véritable ségrégation raciale.
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