[Tribune] Racisme anti-Blancs et guet-apens : le football amateur sombre
Depuis plusieurs années, les fédérations de football, tant françaises qu’internationales, s’alarment à raison de la violence ou du racisme. Pourtant, malgré cette communication, le football amateur français collectionne les faits de violence, sans oublier une dimension nouvelle : le racisme anti-Blanc.
Une culture de la violence
Ce n’est pas une nouvelle : la France a laissé se développer une véritable culture de la violence. La faiblesse de la justice pénale, l’immigration, et son mélange - violent en lui-même - de creusets culturels très différents, ou encore l’évaporation générale de toute autorité, sont tous en cause. Et cette culture de la violence est exacerbée dans le football amateur, comme le démontrent de récents exemples.
Ce sont d’abord les arbitres qui en subissent les conséquences. En 2022, France TV révélait que 3.000 des 20.000 arbitres de football amateur ont abandonné leur fonction, sur les deux dernières années.
Mais cela ne s’arrête pas là. Très récemment, Le Parisien rapportait que ce 21 janvier, dans l’Essonne, une bagarre violente a éclaté à la fin d’un match de football entre les joueurs des deux équipes et leurs proches. Un joueur aurait notamment sorti un couteau de ses affaires de sport et aurait fait un blessé.
Il y a quelques semaines, en décembre 2023, les joueurs d’une équipe alsacienne faisaient, eux, l’objet d’un guet-apens ultraviolent par des joueurs d’un autre club, sans motif avéré. Trois joueurs ont été hospitalisés…
« Sauf qu’on n’en parle pas beaucoup »
Mais cette violence n’est pas toujours à sens unique.
Emmanuel Petit, buteur en finale de la Coupe du monde 1998, évoquait ainsi le racisme anti-Blanc, le 23 janvier dernier, au micro de RMC : « Dans le monde amateur, le racisme est dilué, il y a beaucoup de Blancs qui sont victimes de racisme. C’est comme ça, c’est rapporté, sauf qu’on n’en parle pas beaucoup. »
Emmanuel Petit n’est d’ailleurs pas le seul à faire ce constat. En 2019, le célèbre journaliste sportif Pierre Menès avait mis les pieds dans le plat : « Le vrai problème, dans le foot, c'est le racisme anti-Blanc […] J’invite les gens à prendre leur voiture et aller faire le tour des matchs en région parisienne le week-end. Allez voir ces matchs-là et comptez les Blancs sur le terrain. En général, il y a le gardien de but et l’arrière-droit. »
Si on peut apprécier le courage d’aborder ce sujet dans les médias, qui s’en étonne ?
Naturellement, le racisme existe dans tous les sens, en particulier dans des tribunes où se mélangent alcool et excitation, mais le fait que le racisme soit inabordable dès lors qu’il concerne « les Blancs » est une injustice criante.
La transformation des milieux populaires français
En France, en particulier, le football a toujours été un sport populaire.
Une étude de l’INSEE de 2003 notait, par exemple, une surreprésentation du football parmi les sports prisés des Français appartenant au premier quartile en termes de niveau de vie. À l’inverse, les Français appartenant au quatrième quartile ont une nette préférence pour le vélo ou la randonnée pédestre, en moyenne deux fois plus pratiqués par cette population.
Mais la transformation inédite de la société française, ces dernières années, a également des conséquences sur la pratique du sport. Après 45 années d’immigration massive car non régulée, aujourd’hui, la surreprésentation des immigrés ou de leurs descendants dans les milieu populaires des grandes villes est évidente, et prouvée…
Si ces évolutions sont complexes, leur résultat est très simple : les Français, a fortiori blancs, qui ne souscrivent pas à la culture de la violence qui entoure le football n’ont aujourd’hui plus le droit de jouer au football.
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17 commentaires
suite, avec les bulgares nous avions bu une liqueur de chez eux après la compétition, à cette époque nous nous en foutions de ce que pensaient les uns et les autres, on pensait surtout à pouvoir encore faire une compétition , hélas on est loin aujourd’hui.
j’ai 71 ans et je jouait au foot dans les années 70 à 90 le racisme a toujours existé, les matchs étaient plus « virils » entre joueurs d’équipes de couleurs différentes, déjà les arbitres avaient du mal à gérer malgré leurs efforts pas toujours évidents, mais il fallait faire avec, maintenant ce n’est plus du foot c’est d’abord le pognon et ensuite la religion après vient le sport, nous sommes à des années lumières de Coubertin qui nous disait » l’essentiel est de participer », plus tard en faisant de l’athlétisme en l’occurrence des cross je me suis retrouvé à cotoyer des marocains avec qui nous avions échangé nos survetements
Ainsi que les supporters ! Il faut aussi le préciser ! On n’aurait jamais dut mettre en place, les clubs de football professionnels être coté en Bourse ! Du coup ca amène les responsables des clubs à ce que leurs équipes soient constamment performantes, ce qui est biologiquement et physiquement impossible, tout au moins dans le sport de haut niveaux ! Amitiés à tous Hervé de Néoules !
Le racisme antiblanc n’est pas nouveau. Tout simplement, il devient de plus en plus difficile à camoufler … Nos islamos gochos cavia bobos ont tout fait depuis des décennies pour le cacher, avec la complicité des médias du même bord grassement financés par l’argent public et intouchables, malgré leurs dérapages odieux.
Le sport football est devenus un outils francocide en main de islamo-gauchisme.
De nombreux Français ont cessé de regarder les matches de l’équipe de France.
Pour ma part, je ne regarde plus jamais le foot depuis que je me suis aperçu que c’était devenu un sport de tricheurs pratiqué par des automates surpayés.
Dont moi .
Un conseil jeunes gens inscrivez vous dans un club de tir ou une formation aux sports de combat, ça risque de vous êtres utile demain, plus que le foot.
Autre conseil, apprenez le russe ou le hongrois, ou le japonais… on ne sait jamais
On peut sans crainte généraliser : les immigrés et leurs descendants veulent évincer les blancs de ce pays, qu’ils considèrent comme le leur, exclusivement. On dérange…
Voilà plus de 50 ans, j’ai commencé ma « pratique sportive » par le FOOTBALL car il n’y avait que cela ! … Lorsque je suis arrivé « en ville » pour mes études en lycée technique, j’ai découvert qu’il y avait des « équipes portugaises » dans l’un des quartiers de la grande ville ! …
Aujourd’hui, croire qu’il n’y a que le « Foot » qui est gangrené à ce point c’est se crever les yeux et tout le reste ! … La décadence est tellement installée que dans de très nombreuses féférations, le phénomène décrit dans cet article est devenu « quotidien » … Perso, j’ai des exemples de « profs » de JUDO qui arrêtent leurs cours pour faire « la prière » ou qui refusent les filles dans leurs cours …
Une opinion, que les blancs de souche française acceptent de s’assimiler à la doxa arabo-africaine, ainsi il n’y aura plus de problème puisqu’ils seront entre eux.
Oui, c’est tout à fait cela Mr SEVE. Ravachol a raison, le foot n’est plus pour les blancs.
Il faut créer des équipes privées en sélectionnant les joueurs amateurs, pour le foot et aussi pour d’autres sports afin de ne plus subir le racisme anti-blanc, anti-français.
Dans la rue, dans les magasins, dans les transports en commun, c’est pareil, le racisme anti-blanc est partout
Ne faire que des équipes de jeunes locaux qui disputent des matchs inter villages , pour le plaisir du sport et au diable les compétitions ou règnent la violence voilà ce qu’il faut faire . Il n’y a pas de raison que nos jolies têtes blondes soient privées de ce sport , alors de bons petits matchs amicaux entre villages comme au bon vieux temps ou à la troisième mi-temps on boit un petit coup ensemble en toute amitié . Snober la fédération et les matchs de compétition et de hauts niveaux est la meilleure réponse à ce racisme anti blancs , donc on change de chaine quand il y a du foot àla télé .
Les petits français bien blanc bien blond sont interdits de foot en France, mon fils a du arrêter ce sport car il était toujours agresses par les jeunes issus de l immigration , à commencé par l entraîneur qui appelait ces joueurs par leur prénom et mon fils par son nom , Il a abandonner car il avait vu les tensions et les bagarres dans les vestiaires émanent de propos toujours racistes et insultants , comme c est précisé dans l article vous pouvez le constater sur les terrains où jouent des équipes amateurs
J’ai vécu la même chose.