[Mérignac] Se transformer en drag-queen, c’est… enfantin
À Mérignac, dans la périphérie de Bordeaux, l’association MJC CLAC (maison des jeunes et de la culture) a pour but d’offrir aux enfants de la ville des distractions. Cette fois-ci, le programme alerte les parents concernés. En effet, le thème proposé pour les séances à venir est le suivant : « Un stage drag qui casse les codes », animé par le club Girofard, club LGBT de la ville. Le programme est chargé : choisir son personnage drag, se donner un nom, apprendre à défiler en chaussures à talon avec le regard et l’attitude correspondante au personnage et, pour finir, représentation finale à laquelle les parents sont conviés. Le tout est financé par les impôts des habitants de Mérignac.
Je remercie @AFCdeBordeaux33 d’avoir réagi à l’alerte des @ParentsVigil
Signez la pétition https://t.co/osEu6fI9kF#ParentsVigilants https://t.co/bZw3OYx157 pic.twitter.com/Jq90qZi9Ns— Virginie Tournay (@TournayVirginie) February 7, 2024
Quatre enfants sont inscrits pour l’heure : un succès relatif… En revanche, la pétition mise en place pour annuler cette formation gagne en popularité. En trois jours, elle compte 4.256 signatures. Cette pétition a été lancée par l’association familiale AFC Bordeaux et Nord Gironde. Le collectif Parents vigilants, branche du parti Reconquête, s’est aussi dressé. Tout en convenant de l’importance de confronter les enfants à des expériences variées, ces deux groupes de parents attentifs alertent sur le danger immense de cet atelier. Selon eux, l’atelier n’est pas dans l’intérêt des enfants. Exposer les enfants à une propagande woke, aux théories du genre, à l’hypersexualisation dès le plus jeune âge alors même que les enfants concernés n’ont pas encore formé leur jugement critique présente un grand danger pour leur bien-être mental et émotionnel. « L'exposition précoce à certains aspects du drag peut être déroutante pour les jeunes esprits en développement et peut avoir des conséquences psychologiques négatives », estime l’AFC, s’appuyant sur une étude de l’American Psychological Association.
De plus, Virginie Tournay, membre des Parents vigilants, souligne le prix de ce projet. 296.226,27 euros, c’est le montant des subventions que touche l’association MJC, petit pécule dans lequel l’association peut piocher pour rémunérer les « intervenant.e.s ». Le tout ponctionné sur les impôts des habitants, y compris ceux qui refusent ce stage controversé.
Un phénomène récurrent
Ce n’est pas la première fois que des drag-queens s’invitent auprès des enfants, provoquant une levée de boucliers. Jusqu’à présent, il n’était pas question de proposer aux enfants de se transformer. Des drag-queens venaient faire des séances de lecture dans des tenues plus que suggestives. À Toulouse, les opposants avaient eu gain de cause l’année dernière, le 24 février. Le mouvement La Furie française avait exprimé son opposition face à cet atelier et lancé une pétition en ligne. « Dans un soucis d’apaisement », selon les dires de la mairie, l’accès à l’atelier de lecture prévu pour des enfants de 3 à 8 ans a été réservé dans un second temps à un public majeur.
En mars dernier, dans le XIIIe arrondissement de Paris, l’événement « La conteuse est une drag-queen » avait suscité une importante polémique. Malgré tout, l’événement avait été maintenu. En Bretagne, en mai dernier, le même atelier était proposé aux enfants de 3 à 6 ans dans la commune de Saint-Senoux. L’atelier a été perturbé par des militants de L’Oriflamme. Ils ont déployé une banderole : « À nos enfants inculquez nos racines, n’imposez pas les drag-queens. » L’un de ces militant a écopé de 4 mois de prison ferme suite à cette action.
Le ministre de la Culture Rachida se dit contre le wokisme, que fera-t-elle pour mettre fin à la propagande woke dans les écoles et auprès des enfants les plus jeunes ?
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Un vert manteau de mosquées
31 commentaires
L’ AFC de Bordeaux vient d’obtenir l’annulation de ce « stage » décadent. Comme quoi, signer une pétition peut être utile.
« L’exposition précoce à certains aspects du drag peut être déroutante pour les jeunes esprits en développement et peut avoir des conséquences psychologiques négatives », estime l’AFC, s’appuyant sur une étude de l’American Psychological Association. »
Je n’ai pas inventé le fil à couper le beurre. Et bien, malgré cela, je n’ai pas besoin de l’étude de l’American Psy… Ass…pour comprendre que ces histoires de drag queens sont abjectes et n’ont rien à faire auprès des enfants. Que les parents se mobilisent et protègent leur progéniture !
Je préfère les vrais clowns, pas ces… choses.
finalement sud ouest annonce que c’est annulé bing
Grâce à l’AFC de Bordeaux.
J’ai beau être ouvert d’esprit et tolérant mais je trouve ces caricatures de femmes grotesques , laides et pathétiques !
Mais au fait qu’en pense l’ambassadeur auprès de la communauté LGBTQ+, et le toute nouvelle ministre de l’éducation nationale? On aimerait des éclaircissements sur les missions du premier et des décisions fermes de la seconde. Voila un scandale qui justifierait des réactions et des actions de ces hautes personnalités.
Après les sorcières de halloween, les drag queens, c’est…. l’enfer sur terre.
Au lieu de lutter directement contre cette initiative, les parents doivent au maximum la ridiculiser. Seul le ridicule viendra à bout de ces inepties. Les dragqueens sont des clowns ! Il faut les cantonner à cette définition….. et s’en moquer le plus possible.
Quand on voit ça, on comprend que les français n’aient plus envie d’avoir des enfants, pour qu’ils subissent de telles insanités, avec leurs impôts par dessus le marché !
Quelle sinistre fin de civilisation chrétienne !
Si les parents se mobilisent, dénoncent ces pratiques dégoûtantes qui ont pour but d’attirer les enfants dans leur camp, ils finiront par l’emporter et les enfants seront à l’abri. RÉAGIR. NE PAS LAISSER FAIRE.
C’est ce qu’ a fait l’AFC de Bordeaux, merci à elle.
Et dires que ces engeances, intrigué voire faisaient rires gentiment, mais ça c’était avant !…
Vu ce matin sur CNews , un micro- trottoir sur le sujet, ou la plupart des parents interrogés ne semblaient pas choqués outre mesure par cette proposition de défilé Drag Queens. « il y a pire sur les réseaux sociaux « disaient ils .
Il fut un temps on serait verrais mis en prison pour moins que cela en touchant des mineurs sur de tels sujets, tout évolue mais pas dans le bon sens. Ceux qui ont acceptés une tel manifestation dans une civilisation qui se doit de respecter la moralité devraient être mis en examens pour détournement de mineurs.