Meaux : un tournage sauvage de clip de rap dégénère (encore)
Dimanche 22 décembre, lors d’une patrouille dans le quartier « classé prioritaire » de Beauval, les policiers de Meaux sont tombés sur un rodéo à moto, organisé dans le cadre du tournage non déclaré d’un clip de rap. Lors de leur intervention, ils ont alors été pris à partie, selon CNews, et visés par plusieurs dizaines de personnes au moyen de mortiers d’artifice et autres projectiles. Deux policiers ont été blessés. Après être rentrés au commissariat, les policiers ont dû ressortir afin d'intervenir contre les émeutiers qui avaient dressé des barricades et incendié des poubelles. Le calme n’est revenu qu’à minuit, aucun auteur n’a pu être interpellé. Des scènes similaires avaient déjà eu lieu en 2022, près de Lyon, sur l’autoroute A43 et, en septembre dernier, à Limoges, dans la ZUP du Val de l’Aurence.
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Un vert manteau de mosquées
29 commentaires
» Les droits de l’homme » sont les droits de l´homme racaille.
Ah zut alors, et moi qui croyais les reportages vantant les mérites du « vivre ensemble » à Meaux…
Le rap: peut-on appeler ça de la « musique »….cela relève de l ‘ étron , comme on dirait à France Inter !!
« Aucun auteur n’a pu être interpellé », voilà en résumé tout le problème de la répétition des émeutes qui émaillent la vie de nos villes. Des dizaines de forcenés s’en prennent aux FDO, parmi lesquels on dénombre toujours quelques blessés, mais il n’est même pas un agresseur qui présente ne serait-ce qu’une bosse! Comment est-ce possible? Sont-ce les ordres? Un manque d’engagement –pour rester modéré? Il serait peut-être temps que les policiers ne soient pas les seuls à aller à l’hôpital!
Ces « gentils réalisateurs » de rap savaient pertinemment qu’ils auraient à en découdre avec la police et c’est pourquoi ils se sont munis de leurs armes de prédilection : les mortiers d’artifice qui peuvent être mortels parce que balancés à 100km/heure.
Il n’y a pas qu’à Meaux que ces maux se propagent, mais les mots ne suffiront pas, il faut des actes.
» aucun auteur n’a pu être interpellé » ? Etrange, vous avez dit étrange ? Non, j’ai dit bizarre !!! Ah bon ! De nos jours il plus facile d’appréhender un citoyen en retard de paiement de ses amendes que d’interpeler des « fauteurs de trouble » en flagrant délit ! Attendons donc de voir comment nos deux nouveaux ministres vont s’y prendre pour remédier à une telle situation qui ne cesse de ne pas cesser.
Voilà qui devrait nous valoir une déclaration testeronnee du ministre, nouveau, de la justice.
Qu’en dit le « sémillant » maire de Meaux ?