[SATIRE A VUE] Donald Trump échappe à un attentat idéologique
Au cours de l'office religieux donné à la cathédrale nationale de Washington, l'évêque de l’Église épiscopale de Washington, Mariann Budd, sermonne Donald Trump. La litanie des fondamentaux woke lui est assenée jusqu'à la caricature.
Ce fut la touche finale des cérémonies entourant l'avènement de Donald Trump. Au lendemain de l'investiture, le nouveau président assiste à un service religieux mené par Mariann Budd, évêque épiscopalienne de Washington. L'ecclésiastique s'est mis en tête de tirer les oreilles de ce galopin qui est assis sagement à côté de son épouse. Une dernière incantation woke avant ces quatre années terribles qui s'annoncent. Un dernier sursaut avant l'Apocalypse.
Borne to be woke
La ressemblance de cette dame avec Élisabeth Borne l'amène à recourir au 49.3 pour tenter de faire passer l'idéologie woke en force. La cause LGBT est au centre de son plaidoyer. Les migrants bien sûr, les trans évidemment. Rien ne manque au calvaire de Donald Trump. Qu'il ait pitié de ces gens, qu'il ne les tue pas, qu'il ne les torture pas ! Le délire bat son plein : « Il y a des enfants gay, lesbiennes, transgenres de familles démocrates, républicaines ou indépendantes, dont certains craignent pour leurs vies », se lamente-t-elle. Le vin de messe est analysé pour vérifier qu'il ne contient pas quelque substance hallucinogène. Un expert confirme : « Oui, il y en a. » La suite sort du même tonneau : « La grande majorité des immigrants ne sont pas des criminels [...] Puis-je vous demander d’avoir pitié, Monsieur le Président, envers nos communautés et les enfants qui craignent que leurs parents soient enlevés. »
Sur sa chaise, Donald Trump attend patiemment que l'effet des produits se dissipe. Comment cette wokiste pure et dure est-elle parvenue à se glisser jusqu'à cet autel ? Elle est passée par des souterrains, des couloirs secrets et a surgi telle une marionnette au théâtre de Guignol. Il ne peut en être autrement. Il y a un ventriloque caché dans le confessionnal.
« Pas douée pour son métier »
Et ça continue : il y a les migrants qui « ramassent nos miettes, nettoient nos bureaux, travaillent dans des fermes, dans des abattoirs, qui lavent la vaisselle dans les restaurants, travaillent de nuit à l’hôpital ». Il y en même qui font les poubelles de Kamala Harris pour en livrer le contenu à une certaine personne en habit de messe. Lire ses discours de campagne est la rude mission du prélat converti au wokisme.
Au sortir de l'épreuve, Donald Trump livre ses premières impressions. L'attentat idéologique auquel il vient d'échapper l'a laissé de marbre : « À part ses déclarations déplacées, le service était très ennuyeux et sans inspiration. » La prestation de l'animatrice woke est jugée sévèrement : « Elle n'est pas douée pour son métier. » Par un soudain éclair d'humanité, il consent à ne pas la faire fusiller, le lendemain à l'aube. L'intéressée en fut la première surprise. On ne peut plus croire en rien.
Jany Leroy
Chroniqueur à BVoltaire, auteur pour la télévision (Stéphane Collaro, Bêbête show, Jean-Luc Delarue...)
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Un commentaire
vous dites 4 ans………..mais peut être 8! et quant » aux enfants gays, lesbiennes, transgenres… qu’elle me les trouve ! Moi j’ai connu un gamin de 13 ans, il voulait être « voleur de chevaux » il doit avoir 50 ans maintenant, je ne pense pas qu’il ait volé 1 seul cheval! Un americain disait il y a peu, si l’on m’avait prit au sérieux quand j’avais 13 ans, je me serais fait arracher un œil, couper le tibia au-dessous du genou, pour ressembler à un vrai pirate, et continuait-il: heureusement que l’on ne m’a pas pris au sérieux, car grâce à ça, j’ai toujours mes 2 yeux, et mes 2 jambes ! Mais maintenant, on demande à un gamin de venir cabotiner devant les caméras de TV, alors que le truc qui lui pend entre les jambes, il ne sait pas à quoi cela sert vraiment!