Abaya : Pour ou contre l’interdiction ? BV interroge les Français !
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Alors que vous achetez vos fournitures scolaires et révisez vos classiques de la rentrée, cette nouvelle année scolaire est marquée par la décision du nouveau ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal d’interdire l’abaya - ce vêtement religieux porté essentiellement par des jeunes femmes musulmanes, souvent par mépris de la laïcité.
Et sinon, l’uniforme pourrait peut-être tout régler ? BV est allé voir les principaux concernés, à savoir vous, les Français, et recueillir votre avis : réponse en images !
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Jordan Florentin
Journaliste à BV
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Nos dirigeants Européens et surtout Français, savent très bien ce qu’ils font et connaissent aussi bien la culture et l’objectif des populations qui rentrent sur nos terres illégalement ou légalement sous de faux prétextes. La lâcheté et la soumission de ses dirigeants font d’eux des criminels, C’est un génocide des peuples Européens organisé. Soutenu par certains partis politiques et d’associations dites « humanitaires ». Si la majorité des habitants légaux de l’Europe n’arrête pas de se comporter comme des moutons, mais deviennent rapidement des loups, là peut-être aurions-nous la toute dernière chance de sauver nos cultures et nos civilisations Européennes. Pour l’abaya, un coup d’épée dans l’eau, le ministre s’est très si bien que cela ne passera pas, sa loi a été faite dans ce sens, chaque semblant d’action pour lutter contre l’islamisation de la France, s’est heurté au refus du Conseil d’État ou à la justice. Soit notre ministre est incompétent, soit notre ministre nous enfume.
Lorsque on ne souhaite pas la venue de quelqu’un chez-soi, on ne lui ouvre pas sa porte… Si la décision de M. Attal avait été d’interdire l’entrée dans l’enceinte scolaire à toute personne ne portant pas une tenue acceptable, définie auparavant par le ministère, il serait plus facile pour les chefs d’établissement de gérer cette rentrée particulière. Si les indésirables sont admis dans l’établissement, il sera plus difficile de gérer une fronde déjà préparée sur les réseaux sociaux… l Encre, à mon sens, une demi-mesure.
Pour l’interdiction, évidemment. L’assimilation devrait être la règle. Quand on vit chez quelqu’un, on respecte ses us et coutumes. Seuls les malotrus et les voyous ne le font pas.