Agressions et racisme anti-Blanc : le football amateur va mal
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Ce samedi 3 février, les joueurs de moins de 17 ans de l’équipe de l'US Seysses-Frouzins (31) avaient rendez-vous sur la pelouse du FC Petit Bard (34) pour une rencontre comptant pour la douzième journée de championnat de Régional 2. Un match que ces jeunes footballeurs ne sont pas près d’oublier.
Dès leur arrivée dans le stade Rachid-Malla de Montpellier, les Haut-Garonnais ont compris que l’après-midi n’allait pas être de tout repos. L’accueil qui leur a été réservé n’était pas des plus chaleureux. Joint par BV, l'entraîneur des U17 raconte : « C’est un club où la réception des équipes adverses est compliquée. Quand on a démarré le match, il y avait du monde dans la tribune, dont un supporter qui avait un mégaphone et qui nous a insultés. » « Mangeurs de jambon », « mangeurs de cochon » et « sales petits Blancs » sont quelques-unes des phrases prononcées. Des gaz lacrymogènes ont ensuite été lancés dans les gradins en direction des parents des joueurs de l’US Seysses-Frouzins.
Enfin, au moment où ils comptaient quitter le stade pour rentrer chez eux, les jeunes footballeurs ont découvert que leurs minibus avaient été vandalisés. Des jeunes encagoulés auraient jeté des parpaings sur les pare-brise des véhicules, comme l’ont rapporté plusieurs témoins.
Le racisme anti-blanc est totalement banalisé. Je vous pari que la ministre @AOC1978 ne réagira même pas. pic.twitter.com/FhtTo8jkS1
— Damien Rieu (@DamienRieu) February 6, 2024
Un déplacement à haut risque
Contacté par nos soins, le président du club Gilbert Scafone pense que les Montpelliérains ont « voulu se venger » du match aller. Alors que les deux équipes s’étaient quittées sur le score de 1 partout, le président avait émis une réserve concernant un joueur qui aurait joué la veille dans la catégorie senior. Pour cette entorse au règlement, le club héraultais avait été sanctionné et avait perdu le point du nul. Une décision qui pourrait avoir mis le feu aux poudres.
Quoi qu’il en soit, antécédents ou non, président et entraîneur reconnaissent que les déplacements « dans les quartiers, c’est difficile ». Gilbert Scafone rapporte : « Ça nous est déjà arrivé de partir sous les jets de pierres. » Pour le coach, les insultes et les menaces sont des « moyens de faire la différence », « d’intimider » l’adversaire. Il le déplore car il estime que ces comportements peuvent « dégoûter » les jeunes.
Sur fond de racisme anti-Blanc
Selon lui, « depuis trois, quatre ou cinq ans, le football a perdu le côté "loisirs" », les mentalités ont évolué, dans les catégories de jeunes comme en senior. Il remarque que les arbitres sont de moins en moins respectés et que les joueurs sont de plus en plus virulents entre eux. Comment lui donner tort alors que lors d’une rencontre à l’enjeu tout relatif, des jeunes se font insulter et sont victimes de racisme ?
Fin janvier, l’ancien international français, Emmanuel Petit, avait parlé des problèmes de racisme dans le football amateur. Il avait affirmé sur l’antenne de RMC : « Il y a beaucoup de Blancs qui sont victimes de racisme. » Malheureusement, l’attitude des joueurs du FC Petit Bard et de leurs supporters le confirme. Le football est aussi le terrain de jeu de ceux qui sont animés par une certaine haine de l'autre.
Sarah-Louise Guille
Journaliste
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29 commentaires
Il fut un temps , à la fin de saison il y avait les tournois de sixte, vu les problèmes…il s ont été abandonnés.
Justement un proche vivant dans cette région a dû retirer son fils du club de foot parce qu’à cause de sa couleur il était rejeté et encore il est typé par les origines du père.
Eux savent : un territoire un people.
Cela fait bien longtemps que les Français patriotes lucides dénoncent ces dérives dans le sport, surtout dans le foot. Ce qui est scandaleux, c’est que comme pour tous les problèmes engendrés par l’immigration, nos politicards bien protégés se mettent un bandeau sur les yeux, accusant les lanceurs d’alerte de racistes d’extrême droite. Si c’était des catos qui avaient infiltré ce monde du foot, on le saurait depuis longtemps et le problème aurait été éradiqué illico..
Mon petit-fils, qui jouait dans un club de jeunes en Seine et Marne, a dû abandonner tant la pression islamique était forte.
Ça craint de plus en plus ..Arrêtez les matchs dès que les injures commencent serait une solution.
Éliminer de la compétition les équipes ayant ce comportement en serait une autre.
Il y a trop de Blancs dans le foot, c’est ça le problème. S’il n’y avait pas de Blancs dans le foot, tout irait mieux. Mais rassurez-vous, on y travaille activement. Quant aux arbitres, il suffit de les supprimer. C’est vrai, c’est qui ces types qui ne touchent même pas à la balle et qui se permettent de brimer la créativité de ces jeunes talents si prometteurs ? Bienvenu dans le foot 2.00, dans la France 2.00.
Le grand remplacement, secteurs par secteurs, pas étonnant que çà passe par la jeunesse, l’éducation national, le foot des secteurs de grand nombre et de bien se rendre compte que derrière cette entreprise on peux y voir une volonté de têtes pensantes.
L’équipe nationale a depuis longtemps montré le chemin . Lors de la présentation des joueurs avant le coup d’envoi je voyais une équipe d’Afrique .
Je suis né à Montpellier dans les années 50 et ça fait plus de dix ans que je n’y remet plus les pieds. Sous le joug des municipalités socialistes depuis près de 50 ans, la ville est devenu un cloaque profondément anti-Français. D’une ville paisible, belle et inondée de soleil les gauchistes ont réussi à faire un repère de racailles. Le quartier du Petit Bard est juste un aperçu de l’islamisation de la ville toute entière. Si vous êtes Français et que vous passez dans l’Hérault, évitez Montpellier, pour votre bien !
SI seulement il n’y avait que dans le « Foot amateur » que ces problèmes sociétaux étaient présent ! … Beaucoup de féférations ont une « écriture inclusive » et ne voient pas de « problèmes » de communautarisme islamique lorsque les cours sont de plus en plus cloisonnés ! … Sports individuels comme sports collectifs et « ça » ne fait que commencer à se voir ! … faites confiance au COJO 2024 pour accentuer encore plus « l’inclusion/exclusion » de certains pour favoriser cette idéologie mortifère communautariste ! …
Mais non voyons.
Le racisme anti-blanc n’existe pas en Macronie.
Puisqu’à gauche « on » vous dit qu’il ne s’agit que d’un « sentiment » de racisme de la part de ces affreux « fachos » de la droite extrémiste.
Et ce n’est pas avec la « déprimée bobo » oueda-castera que c’est pret de changer !
Mais non écoutez le gouvernement , les médias, les ONG et les gauchistes de tout poils … il n’y a qu’un racisme , celui du blanc cinquantenaire judéo-chrétien !!!!
Très simple ne former que des équipes de blancs qui s’affrontent entre elles comme autrefois dans une ambiance sportive et chaleureuse avec la troisième mi temps ou l’on boit un p’tit coup ensemble pas ou l’on prends des coups . Et les autres qu’ils s’affrontent entre eux comme ils veulent on s’en fout comment ça finira . Nos jeunes n’ont pas à subir un tel racisme , encore moins dans le sport .
Mais c’est le résultat d’une politique qui pensait que l’intégration se faisait par le sport plus que par l’esprit et le travail, et de la faute des sélectionneurs qui ont fait de l’équipe de France l’équipe d’Afrique parce qu’il y a des pays où il n’y a pas un africain dans l’équipe et qui s’en sortent bien. Une politique ça se juge 40 ou 50 ans plus tard quand il est trop tard.