Amnéville (57) : un jeune homme tabassé sur un parking par une bande

Le Républicain lorrain révèle le témoignage de la mère d'un jeune homme de 19 ans violement tabassé sur un parking d'Amnéville par un groupe d'une quinzaine d'individus.

L’agression de ce jeune homme s’est déroulée dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre derniers, sur un parking d’Amnéville, petite ville de 11.000 habitants en Moselle. Une enquête est en cours pour retrouver les auteurs des faits. Un mois après les faits, la mère de la victime a souhaité témoigner sur ce lieu dangereux où d’autres agressions se seraient déjà produites.
Témoigner « pour que l’agression vécue par son fils, Alexis, qu’elle qualifie de "gratuite", ne se reproduise pas ».

Une agression « d'une violence inouïe »

Accompagné de deux amis avec qui il a passé la soirée du 31 à Terville, il s'est ensuite rendu « à une soirée à thème pour Halloween, dans un restaurant à Amnéville, quartier de la Cimenterie ». C'est sur le parking commun où se croisent les clientèles du restaurant et d'une boîte de nuit que les trois amis ont été « pris à partie par une bande d’une quinzaine de personnes alors qu’ils mont[aient] dans leur véhicule pour quitter les lieux.» La mère de la victime poursuit avec émotion : « Mon fils aurait demandé aux hommes de le laisser tranquille. S’ensuit une scène d’une violence inouïe. Ils l’ont pris par les cheveux pour le sortir de la voiture, lui ont donné des coups de pied et de poing, notamment au visage. » Son fils, recroquevillé sur lui-même, « aurait fait le mort » en recevant les coups.

Le jeune homme a indiqué dans son dépôt de plainte que l’un de ses agresseurs aurait sorti un couteau. Il a été dépouillé de ses effets personnels (carte d’identité, téléphone portable) et de ses chaussures. L'un de ses amis a également reçu des coups et perdu connaissance.

Sauvé par l'intervention de deux femmes avant l'arrivée des pompiers, le jeune homme a eu « une ITT (incapacité totale de travail) de six jours et ne reprendra les cours qu’un mois plus tard, toujours choqué par les faits ».

La mère du jeune homme confie au journal qu'elle espère que l’enquête policière en cours permettra de retrouver les auteurs des coups portés sur son enfant.

C'est un nouveau cas à ajouter à la longue liste de violences ayant eu lieu lors de la nuit d'Halloween et qui n'aurait pas été médiatisé sans le témoignage de cette mère.

Vos commentaires

20 commentaires

  1. Et la France frappée d’amnésie tournera encore la tête pour ne point voir sa décrépitude. Nos juges impunis sables serviront encore et encore et le cirque perdurera avec son lot quotidien de victimes.

  2. Attention BV : les mots ‘bande’ ‘quartier ‘ ‘jeunes’ pourraient être considérés comme des mots racistes !

  3. La violence ira crescendo, la justice devra être impitoyable, sans état d’âme. On ne lutte pas contre la barbarie avec des roses et des bons sentiments.

  4. Personne ne peut dire le contraire, progressivement en quelques décennies, la France est plongée dans l’ère primaire avec cette barbarie ou cette terreur que nous subissons quotidiennement. La priorité de tout Chef d’Etat est de le protéger son peuple mais il n’en fait rien, c’est le ventre mou de notre gouvernement. Dans la situation présente, c’est de la « non assistance à peuple en danger », à présent, personne ne peut le nier, Macron manque à son devoir prioritaire de Chef d’Etat alors qu’attend le Parlement pour prononcer d’urgence sa destitution ??????

  5. Il ne faut plus se leurrer, c’est devenu le quotidien des Français et c’est considéré comme normal. Un passage à tabac à dix contre un, souvent sans motif, voire un coup de couteau, est devenu aussi banal qu’un rhume en hiver. On expliquera à ces jeunes qu’ils étaient au mauvais endroit au mauvais moment et qu’ils auraient mieux fait de rester chez eux. N’est-ce pas d’ailleurs le but recherché ? Occuper et contrôler l’espace public par la violence pour obliger les Français à rester chez eux. C’est l’attitude du conquérant qui impose sa loi et oblige le vaincu à se soumettre. Les « faits divers » sont peut-être bien moins anodins qu’on voudrait nous le faire croire.

  6. Mais non… Ces 15 individus ont simplement pété les plombs, ou bien ils n’ont pas reçu une bonne édication comme les nantis. Ils sont donc excusables et partant, ne peuvent être condamnés. C’est évident. Non?

  7. Encore et toujours les mêmes.

    15 contre 1, c’est signé. C’est d’ailleurs dans leur ADN.

    Ça devra changer mais, hélas, ce ne seront ni les farces de l’ordre, bien plus à l’abri comme auxiliaires routiers de la prédation fiscale, ni les guignols de leur ministère de tutelle ni les politiques qui l’envisageront mais la rue.

    Alors, finies bougies, fleurs et peluches. Il faudra se défendre avec autre chose.

    • En complément de réponse à Léo C ,oui, il faudra désormais ne compter que sur soi -même pour se protéger et de défendre et c’est ce dont je m’applique depuis plus de douze années. D’une part,les forces de l’ordre sont bridées juridiquement et sont plutôt occupées à aller chercher les automobilistes ou être « tolérance zéro » pour les paysans ou ceux qui manifestent contre les racailles. Plus aucune confiance en la justice et tout le reste, c’est mort.

    • Les « farces de l’ordre » très bien trouvé ! on pourrait dire aussi que la justice envers ces délinquants est également une farce, une farce macabre dont les Français font les frais. C’est une nouveauté, un peuple d’origine qui se fait massacrer par une ethnie invasive et extrêmement agressive, à la limite de la barbarie,
      sans que le gouvernement censé assurer la sécurité réagisse et daigne ouvrir un œil sur la réalité !

  8. J’espère que la police ne perd pas trop de temps pour retrouver ces délinquants puisqu’ils n’auront aucune condamnation pour cet acte courageux de 15 contre 1

  9. Peut-être des compréhensifs de ces racailles…La répression vis à vis de ceux- ci est d’une férocité…ahahah ..

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