Anasse Kazib explique pourquoi il n’y aura pas de drapeaux français à ses meetings
Anasse Kazib, candidat à l'élection présidentielle, a défrayé la chronique en répondant, à un twittos qui s’inquiétait de l’absence de drapeaux français à ses meetings, qu’on n’en « verra pas ». Il s’est expliqué sur le plateau de « Touche pas à mon poste ! »
Anasse Kazib ne veut pas du drapeau tricolore
Anasse Kazib a une dent contre le drapeau français. Après avoir certifié à un twittos, qui s’émouvait de l’absence du drapeau tricolore lors de son premier meeting, que l’on n’en verra pas durant sa campagne, le candidat à la présidence de la République française s’est expliqué sur le plateau de «"Touche pas à mon poste !"
« Vous ne verrez jamais de drapeau français chez nous ! Jamais ! On ne porte pas le drapeau français car, même si il est issu de la Révolution, il est entaché par l’impérialisme français. C’est avec ce drapeau qu’on a collaboré avec les nazis, c’est avec ce drapeau-là qu’on a fait la colonisation. Moi, je suis français, je suis petit-fils de tirailleur marocain et il faut le respecter. Il s’est battu pour la France. Mon père est un travailleur marocain qui est venu ici pour bâtir ce pays. Moi aussi je travaille, je travaille à la SNCF et j’ai le droit de dire que ma France à moi, ce n’est pas la France de Papon, c’est pas la France de Pétain non plus ! », a-t-il tonné.
Autre polémique : « La police tue »
Une autre vidéo de la soirée, apparue sur le compte Twitter de "Révolution permanente", montre les participants en train de scander : « Tout le monde déteste la police. » Anasse Kazib a présenté son programme concernant les forces de l’ordre et déclaré : « On n’a pas peur de le dire : la police tue », imitant un autre candidat à la présidentielle de 2022, Philippe Poutou, qui avait assuré, sur franceinfo, que « la police tue ». Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait déposé une plainte à son encontre.
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