Appels à la prière : ces signes de l’islamisation « du quotidien »
Dans le monde idéal de Jean-Luc Mélenchon, la France, en ce lendemain du 7 octobre, devrait se parer « partout où c'est possible de drapeaux palestiniens » . Un calcul électoraliste de sa part mais symptomatique d'un pays qui, à certains égards, peut sembler mûr pour opérer sa mue civilisationnelle. Affirmer que la religion musulmane (la deuxième plus pratiquée après la religion catholique) gagne chaque jour du terrain sur notre sol, c'est enfoncer des portes ouvertes : selon les statistiques officielles, 5,4 millions de Français (8 % d'entre eux) sont musulmans sur un territoire qui compte 2.600 mosquées et salles de prière recensées pour 39.000 églises catholiques. Mais au-delà de la pratique religieuse, c'est tout un mode de vie - des habitudes culturelles, alimentaires, des manières de se vêtir - qui, par petites touches, bouleverse le quotidien des Français. À l'instar d'Agnès*, qui témoigne auprès de BV.
« Appels à la prière dans mon quartier : ce qui me choque, c'est le manque de réactions »
Cette jeune Parisienne installée depuis deux ans dans un paisible coin du XVe arrondissement (un territoire « mixte » où des familles d'origine étrangère côtoient paisiblement des Français de souche) a vécu une pénible expérience inédite : « Cette année, avec l'arrivée des beaux jours et pour la première fois, j'ai entendu des chants en langue arabe provenant d'un ampli posé par un individu sur un rebord de fenêtre donnant sur une petite cour, faisant caisse de résonance. Une musique qui revenait régulièrement à heure fixe, trois fois par jour. » Ce n'est qu'en discutant avec une de ses amies qui, dans le passé a vécu dans un pays islamique, qu'Agnès réalise qu'il s'agit là de l'appel à la prière musulmane, qu'elle perçoit comme « un manque de respect des voisins ». Mais ce qui la choque le plus, c'est « le manque de réaction des riverains » autour d'elle, pourtant toujours si prompts, d'habitude, à « crier, invectiver, dès qu'il y a une soirée de jeunes avec la musique forte ou même un son de télévision trop intense ». Agnès se sent bien seule à tenter de protester ; elle soupçonne les habitants de son quartier de « préférer garder le silence par crainte d'une population qui ne cherche pas à s'intégrer ». Un signal faible, selon elle, donné à un individu « qui risque bel et bien d'en faire encore plus après ».
Avec la fin des beaux jours, les fenêtres du quartier se sont fermées lors des soirées plus fraîches et le calme est revenu. Agnès a repris le cours de son existence paisible, mais pour combien de temps ? Combien d'autres coutumes communautaristes vont-elles s'installer ? Les habitants de ce XVe arrondissement de Paris seront-ils, un jour, contraints à l'exode comme leurs compatriotes chassés des banlieues ouvrières de jadis qui ont sombré dans l'islamisme ? Avant d'arriver jusqu'à cette extrémité, combien de Français comme Agnès subissent, même imperceptiblement - parfois à leur insu -, des changements dans leurs habitudes alimentaires et culturelles ?
Les Français consomment « halal »
Les commerces alimentaires ne sont déjà plus tout à fait les mêmes. Pour la seule ville de Paris, en vingt ans plus, de la moitié des boucheries-charcuteries ont mis la clé sous la porte (Il n'en reste plus qu'une quinzaine). La baisse de l'appétence des Français pour la viande et l'apparition de la mode vegan ont bon dos. Car parallèlement à cette baisse, le marché de la nourriture halal, lui, se porte à merveille, affichant une croissance annuelle de plus de 15 % (soit deux fois plus que le bio). Dans de petites villes du fin fond de la France, des commerces « halal » poussent comme des champignons, et pas uniquement pour satisfaire la clientèle musulmane : « Parmi les 10 millions de consommateurs potentiels, nous dit Le Figaro, 3 millions de non-musulmans viennent dans les magasins halal car ils y trouvent un bon rapport qualité-prix. » Si l'on en croit les chiffres rapportés dans le même article, l'abattage rituel sans étourdissement préalable pour une viande apte à la consommation par des musulmans « serait aujourd’hui presque devenu la norme » (« 80 % des ovins, 20 % des bovins et 20 % des volailles », selon Charles Conte, chargé de mission laïcité à la Ligue de l’enseignement, cité dans Le Figaro). Si on ajoute à cela la folie des kebabs, habitude alimentaire plébiscitée par les Français, plus gros consommateurs d'Europe, une conclusion s'impose : les Français achètent et mangent des produits halal consciemment ou non.
Les grandes marques de vêtements à l'heure islamique, les sites de rencontre aussi !
Le secteur de la mode n'est pas épargné, cruellement mis en exergue à la rentrée 2023 et sa polémique « abaya ». Un marché lui aussi en pleine expansion bien appréhendé par les grandes marques qui se sont rapidement mises à l'heure islamique : Dolce & Gabbana et ses abayas, H&M et son mannequin voilé, Mango et sa collection « spécial ramadan », Uniqlo et sa « mode pudique », Nike, Marks & Spencer et d'autres rivalisent d'ingéniosité pour se tailler une part du côté de la clientèle musulmane. Côté cœur, les sites de rencontres entre musulmans s'affichent de plus en plus dans l'espace public, sur les Abribus et dans les métros des grandes villes de France, arborant fièrement leurs 5 à 10 millions de membres (Mektoub, Muzz, Muslima et autres...).
Des indices qui en disent long sur le niveau de l'islamisation culturelle d'un pays par action, omission ou soumission des Français et de leurs dirigeants.
*Le prénom a été changé
Sabine de Villeroché
Journaliste à BV, ancienne avocate au barreau de Paris
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59 commentaires
35000 églises en 20 siècles. 2600 mosquées en quelques dizaines d’années. Question : Combien dans 2000 ans ? Vous avez deux heures.
Un instant suffit
Pas la peine de chercher. Dans quelques années seulement, nous seront tous convertis de force à l’islam. Je pense que j’ai gagné la résolution du problème!
L’islamisation rampante gagne peu à peu certaines villes, demain ce sera les campagnes. A part le dire, que faire?
La remigration
En effet le manque de réaction ambiante est choquant et inquiétant.
L’Islam qui est reconnu comme une religion est tout d’abord une façon de vie, une loi, une règle de se comporter, c’est pas gagné dans notre société où l’individu est libre de son comportement en restant dans le cadre du comportement de la société.
Contrairement à l’abattage hallal, l’abattage cacher se fait sans douleur pour l’animal, sinon, si l’animal souffre, la viande n’est plus consommable par un juif.
C’est pour ça qu’un musulman peut acheter la viande dans une boucherie cacher et un juif ne peut pas acheter la viande dans une boucherie hallal.
Que font donc ces associations qui dénoncent la maltraitance animale ?
C’est comme les féministes en fait, elles ferment les yeux sur les coutumes islamistes (tenues d’asservissement des femmes par exemple)
Ce qui est certain c’est que dans ces prescriptions d’abattage l’animal doit avoir conscience qui offre sa dépouille à l’humanité pour la nourrir aidé par la diffusion des paroles sacrées.
Merci pour cette info, car je me demandais s’il y avait une différence … Sinon
1/ dans ma petite ville de campagne, population plutôt traditionnelle de français, il y avait 2 boucheries charcuteries, une troisième vient d’ouvrir…2/ pour résister à l’abattage halal caché mangeons du porc et enfin 3/ de la mode, du commerce pour musulmans, pour se faire du fric, pas d’hésitation on est prêt à tout (c’est vieux comme le monde)
A.Shechita (Abattage) :
La Torah exige que la viande et la volaille soient abattues d’une manière prescrite connue sous le nom de shechita. La trachée et l’œsophage de l’animal sont sectionnés avec une lame spéciale tranchante comme un rasoir et parfaitement lisse, provoquant la mort instantanée sans douleur pour l’animal. Seul un abatteur casher (shochet), dont la piété et l’expertise ont été attestées par les autorités rabbiniques, est qualifié pour abattre un animal pour la consommation casher.
C’est pas mieux, quant à la mort instantanée, j’en doute. Plus sure, interdiction de l’abattage rituel que J. Chirac avait refusé.
Assistez donc à ce type d’abattage et vous comprendrez ce qu’est la douleur de ces animaux.
Le problème dans notre pays dirigé par des politiques manquant de courage (pour rester poli), c’est qu’en face, une certaine religion avance de plus en plus à visage découvert et impose ses dogmes. Le nombre est un facteur implacable. Les français subissent en silence, ou partent, lorsqu’ils en ont les moyens, mais jusqu’à quand ? Voir la professeure de lycée à Tourcoing, frappée par une élève voilée, simplement pour avoir voulu faire respecter la loi républicaine. Sans oublier les assassinats barbares de Dominique Bernard et Samuel Paty. Et tous les attentats subis depuis 45 ans. La nature a horreur du vide ; s’il n’y a pas un sursaut rapide de fermeté, avec reprise de notre souveraineté dans certains domaines vitaux, le pays va sombrer. Le rapport de force nous est imposé depuis longtemps… Et les français ont voté en connaissance de cause, non ?
Nous devons exiger que soit étiqueté les conditions d’abattage de la viande : Abattage traditionnel ou abattage halal ou rituel.
Aujourd’hui, vous achetez de la viande sans savoir sil les animaux n’ont pas subi un abattage rituel. Si il y a eu un abattage halal, cela pose deux problèmes :
– premièrement la bête a été tué sans étourdissement comme cela se pratique selon la pratique ancestrale française,
– deuxièmement indirectement vous donnez de l’argent au culte musulman car le certificateur de l’abattoir est rémunéré 10 à 15 centimes le kg, petite somme à mettre en rapport avec les tonnages qui chaque jour sortent des abattoirs (150 milliers de tonnes par an, dont 40 à 50 % en halal, soit 10 millions d’euros).
3iéme problème : l’hygiène : les reflux gastros de la bête égorgée, porteurs de germes pathogène, et la mauvaise qualité d’une viande qui est le résultat d’un noeud de 15 à 30 minutes de stress et de peur intenses.
Dans les communes à forte densité mulusmane, faites donc une recherche avce le terme charcuterie. oOus serez étonnés du résultat. Ou pas !
qui relève que St Paul avait interdit la viande des sacrifices ? et quel religieux, chrétien (en général) en parle ? le danger du hallal est caché, les animalistes se taisent,….
Il ne manque plus que les minaret et les muezzins…
Eh oui combien de français encourage ces commerces , les prix sont plus bas jusqu’au jour ou ……Il faut boycotter tout ceux qui sont complices de l’islamisation , ces grandes marques et ces commerces et pourquoi ne porterions nous pas tous une petite croix pour rappeler à tous ces gens nos racines , un bon début ….
Et les juifs une étoile de David visible ? Ah ça, non, il n’arriverait pas chez lui sans être lapidé.
Il y a des années que je porte fièrement ma croix autour du cou. Je ne suis pas pratiquante, mais je menpose la question de retourner à l’église le dimanche, juste pour essayer de contrer l’ennemi et occuper une place dans la religion catholique.
Je suis entièrement d’accord avec vous. Certes, il faut faire pression sur nos politiques, mais également faire des efforts INDIVIDUELS tels ceux que vous préconisez et, en particulier boycotter certains commerces…. Ce serait déjà un excellent début !
Mesdames, Messieurs nos politiques j’espère que vous finirez par assumer vos errements, vos aveuglements, vos faiblesses et vos lâchetés.
Quand il sera trop tard et nous n’en sommes plus très loin, pour ce qui me concerne je ne serai plus de ce monde mais je ne peux m’empêcher de penser à nos et vos enfants amis lecteurs sans parler de nos et vos petits enfants….
Les politiques ont bon dos alors qu’ils ne font que porter les lâchetés des Français pour être réélus. La conquête de la France par l’Islam a commencé en fait en 1962 quand 90% des Français ont livré l’Algérie à une bande de terroristes qui pratiquaient la boucherie halal sur des humains. Depuis ce temps,ils méprisent les Français et le leur montrent tous les jours sans provoquer d’autre réaction que toujours plus de lâcheté.Colombey les deux églises deviendra bien Colombey les deux mosquées.
Ce n’est pas faux.
« Les politiques ont bon dos alors qu’ils ne font que porter les lâchetés des Français pour être réélus. »
C’est d’abord le rôle des politiques que de donner une orientation ! Ils ne sont pas excusables .
De Gaulle savait très bien ce qu’il faisait et savait comment le faire à l’aide des médias . il aurait pu agir autrement . Seulement voilà : Depuis 1943, Staline lui avait prédit par où passait son avenir politique . Quand les politiques sont vendus, achetés, en un mot corrompus, je ne vois pas ce que le peuple pourrait y faire . Voyez Maasticht .
Nos petits enfants sont artisans de cette débâcle qu’ils paieront au prix fort.
Déjà faire comme la flandre : Interdire l’abattage hallal.
Interdire les prières de rues comme le font certains pays musulmans.
Cela ne passera pas par moi. Par exemple, je refuse absolument de manger du couscous ou des merguez. Et je préfère infiniment les mini-jupes aux abayas. Rien en me fera renoncer à une verre de vin, une chope de bière ou un whisky sans glace. Quant à la viande, vive le porc ! Dans le cochon, tout est bon.
La remigration est la seule solution
Ils en ont une autre: notre élimination.