Après le Covid-19, 20, 21, 22, voici la variole du singe
Alors que les virus Delta et Omicron semblent quasiment étouffés par l'immunité collective et que le BA.2 n'a pas fait ses preuves, on nous annonce l'arrivée des nouveaux mutants BA.3, BA.4 et BA.5… Parallèlement, on apprend que l'hôpital connaît une situation pire qu'il y a deux ans. (Serait-ce possible ?) Les 15.000 effectifs du personnel de santé non vaccinés sont révoqués par Élisabeth Borne et pas encore réintégrés, 30 % des nouveaux doctorants en médecine quitteraient la profession après moins de cinq ans d'exercice, si l'on en croit les chiffres du professeur Caumes, interrogé, vendredi dernier, sur CNews, et le gouvernement compte sur les médecins formés à l'étranger pour subvenir aux besoins des soins de santé. Bref, le déclin est annoncé. Et dans ce contexte - cerise sur le gâteau -, la variole du singe fait son entrée dans le monde occidental.
Un cas confirmé dans la région parisienne, deux au Canada, essentiellement dans le milieu homosexuel. Nous vous épargnerons la longue liste des cas recensés en Europe. La variole du singe, ou orthopoxvirose simienne (monkeypox, en anglais), a été longtemps confinée en Afrique, et cette épidémie-endémie n'a inquiété personne à ce jour. Le virus peut causer un syndrome dont les manifestations cliniques sont analogues à celles de la variole (fièvre, courbatures musculaires, maux de tête, éruption pustuleuse et symptômes respiratoires entraînant parfois la mort).
Le premier cas de variole animale a été constaté en 1958 et le premier cas de transmission humaine seulement en 1970, chez un enfant de République démocratique du Congo, ex-Congo belge. La contamination se ferait par contact direct avec l'animal ou par contact de la peau avec les pustules, par les sécrétions organiques et par projections orales. Bien sûr, elle paraît bénigne en apparence et en Occident. En Afrique, on décrit 1 % de mortalité pour la souche d'Afrique de l'Ouest et presque 10 % pour la souche de Centrafrique. Pas si négligeable que cela, tout de même, soit cent à mille fois plus que le Covid.
Rappelons que la variole humaine est connue depuis plus de 10.000 ans avant Jésus-Christ, ayant pris naissance en Afrique de l'Ouest, en Chine et dans la vallée de l'Indus. Elle a été importée en Occident au XVIe siècle. Il s'agirait d'un virus d'origine animale qui se serait progressivement adapté à l'homme. On dénombre 60 millions de victimes au XVIIIe siècle (mortalité 15 %). Après avoir compris que des trayeuses de vache semblaient protégées de la variole humaine après avoir contracté la variole bovine (vaccine), le 14 mai 1796, Édouard Jenner inaugure la vaccination sur un enfant en injectant le virus de vache, puis confirme l'immunité en injectant par deux fois la sérosité de pustule de variole humaine. L'immunité est alors acquise chez l'enfant et la première vaccination efficace inventée, bien longtemps avant Louis Pasteur. Résultat : au début du XIXe siècle, en France, le nombre de décès annuels passe, en une dizaine d'années, de 80.000 à 2.000. En 1977, l'OMS annonce que la variole a disparu complètement de la population mondiale et la vaccination est arrêtée en 1972 aux USA et en 1980 en France.
Quelles bonnes nouvelles tirer de tout cela ?
- L'orthopoxvirus est un virus à ADN, donc, le risque de mutation est très faible à la différence des virus à ARN.
- Les plus de 45 ans sont immunisés par leur vaccination antivariolique des sept premiers jours de leur vie et l'on évalue la protection conférée à 85 %, tout de même, contre la variole du singe. Les jeunes sont plus facilement touchés, mais la vaccination antivariolique (VAV) restera, compte tenu de ses risques connus, réservée aux personnes proches de l'entourage des malades et aux personnels soignants.
- Pour les enfants et pour les personnes âgées dont l'immunité pourrait bien chuter plus de 80 ans après leur vaccination, une autre bonne nouvelle : les médecins homéopathes ont toujours la possibilité d'utiliser la souche du VAV (Vaccinotoxinum), ce qui est courant depuis 1987 dans les soins du zona ou de l'herpès récidivant, en association avec la thymuline. Cela équivaut à informer le système immunitaire sur la cousinade des poxvirus, et en particulier le monkeypox. Voilà bien une lueur d'espoir dans un monde anxiogène et autodéprimant.
Dr Gilles Tisserand
Homéopathe, physionutritionniste
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56 commentaires
on est en train de former un gigantesque trafic d’esclaves ( ou quasiment puisque rémunérés très faiblement à l’échelle mondiale) ou il n’y aura que deux catégories les très pauvres et les fabuleusement riches. On ne dirige que pour le profit à tout prix (y compris au mépris de règles de sécurité, d’hygiène ou de décence) afin d’enrichir une caste très petite de gens (quelques milliers à peine) et le reste c’est à dire 7 milliards d’individus seront immensément pauvres, incultes et dociles
Le scandale est simple On vire les médecins, les infirmières et le personnel formés en France et donc trop cher. Pour pouvoir engager des médecins issus de pays étrangers qui seront rémunérés beaucoup moins cher que les précédents mais qui eux le seront beaucoup plus que chez eux. Ces gens seront aussi beaucoup plus dociles Cette façon de faire est généralisée à l’ensemble du monde du travail. Nos lois sociales sensées nous protégées, ont été contournées par nos dirigeants.
Il faut trouver autre chose pour maintenir la population dans l’anxiété , constatant qu’il y a relâche sur le covid malgré quelques stupides , ceux qui dirigent le monde dont les labos ne sont jamais à court d’idée .
je sens venir a grands pas une nouvelle vaccination, un nouveau confinement, une nouvelle attestation de sortie du domicile, un nouveau port de masque obligatoire, bref une covid 19 bis. juste avant les vacances il va y avoir de la panique dans l’air et le bon peuple sera content d’appliqué les nouvelles directives gouvernementale; oyez oyez braves gens la peste est de retour…………..
VITE, fermons NOS FRONTIERES à l’AFRIQUE ! précaution élémentaire avant que nous soyons tous obligés d’êtres confinés avec des masques à plein temps sur le nez.
Oui mais voilà, on a déconsidéré l’homéopathie et même des médicaments éprouvés comme les solutions de thuya contre les verrues ou l’arnica contre les contusions !
On ne va pas parler de l’immigration africaine sinon on est raciste alors dans le délire voici ce qu’on peut dire (ou pas). On a eu la grippe du pangolion, on a la variole du singe , le prochain sera la peste du raton…. regardez le chemin de ce virus imaginaire soigné surement par le vaccin imaginaire efficace sur les 3 (oui même le 3e) : chine-afrique-France.(Suffit de changer les étiquettes des flacons). Comprenne qui pourra.
Merci docteur, de nous donner quelques raisons d’espérer, notamment grâce à l’Homéopathie ! Médecine efficace, peu onéreuse mais déremboursée… Cherchez l’erreur…
Il n’y a pas d’erreur, cela ne rapporte pas assez. D’ailleurs on a bien failli ruiner Boiron et Lehning. Le vaccin anti-covid, au moins, cela rapporte, et peu importe si beaucoup d’ONG soignent les pays du Tiers Monde avec des médicaments homéopathiques.
Au-delà du médical…
Gates en avait parlé il y a plusieurs mois en évoquant un « bioterroriste qui apporterait la variole du singe dans 10 aéroports ». Or, 10 pays sont concernés. En même temps.
De plus la simulation d’une pandémie mondiale impliquant une souche inhabituelle de variole du singe à partir de la mi-mai 2022, a eu lieu à Munich l’an dernier…
Et ce nouveau « Covid » arrive au moment où l’Ukraine est défaite…
Lorsque l’on aura compris que déforester à qui mieux mieux et pratiquer la monoculture à tout va, sont les principaux, voir uniques, vecteurs de développement et de propagation des ces épidémies l’humanité pourra dormir sur ses deux oreilles.
Pardon, ÉBOLA!
Le devin Bill Gates l’avait annoncé : la prochaine épidémie sera pire que la covid : variole, éboula, charbon… Mais rassurez-vous braves gens, les vaccins sont prêts et on interdira peut-être encore aux médecins de soigner!
Pour cette nouvelle épidémie ( la variole du singe ) qui deviendra endémie , il faut remercier nos gouvernement qui ont favorisé les migrations massives illégales venue d’Afrique » aucun contrôle sanitaire » et ceci n’est qu’un début !!!
La guerre en Ukraine ayant étonnamment effacé le Covid-19 des chaînes d’information et des préoccupations gouvernementales, espérons que cette nouvelle venue, la variole du singe, signera la fin des combats Russo-Ukrainiens…
Les « experts de plateaux » du domaine épidémique vont pouvoir récupérer la place que les « spécialistes » de la chose militaire leur avaient ravie dernièrement…
Le transfert a deja commencé !
Ah mais ce n’est que le début. Attendez vous à craindre ( puisque c’est le but) : La coqueluche de la grenouille, l’otite de l’escargot, la peste du dindon, le tétanos du corbeau, la scarlatine du chameau, etc, etc.
Merci pour ce sourire Gabrielle…
Vous ne croyez pas si bien dire, continuons à déforester et à pratiquer la mono culture, et dans un avenir proche vos plaisanteries deviendront réalité.
bien sûr ! il faut tenir les occidentaux sous soumission, rien de mieux que la peur pour faire grimper les bénéfices des labos et de ceux qui y biberonnent