Peut-être une sortie « Courtepaille » de temps en temps.
François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, doit désormais se dépêtrer d’une pétition visant à condamner « l’inaction climatique »…
Donc, il y aura (au moins) une liste « gilets jaunes » aux élections européennes. C’est dit, mais ce n’est pas fait.
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
Réintroduire l’alcool sur les stades et renforcer sa présence dans l’esprit du public serait une aberration.
On ne cesse de nous rebattre les oreilles avec une crise de la masculinité, qui fragiliserait les hommes et les rendrait incertains de leur identité.
Une majorité silencieuse n’arrive manifestement plus à supporter la sempiternelle alliance entre la droite libérale et la gauche sociétale, alliance dont les représentants ressemblent à des intouchables…
D’ailleurs, j’en suis sûr, mon petit enfant aime mieux être soigné par moi que par marmots ailés.
Sauf erreur de notre part, pas de réaction, à cette heure, du côté de Marlène Schiappa…
C’est curieux, à l’heure où toutes les activités humaines sont passées au crible de l’écologie. Une seule y échappe, bénéficiant d’un sauf-conduit : l’immigration.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Deschamps a bien compris que, dans l’idéologie française, « égalité » venait loin devant « liberté »…
Mais il était écrit quelque part que la réaction du pays réel allait, un jour ou l’autre, se charger de nous rappeler qui nous étions…
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
Et cela risque de mal finir.
Quand, dans une démocratie, naît une presse dissidente, alternative, c’est le signe que cette démocratie va mal.
Nos coutumes sont susceptibles, paraît-il, de passer pour des provocations aux yeux de nos hôtes…
Si le dessin de presse, on l’a vu, est une tradition française, le refus du sectarisme et le goût de la déconne en sont deux autres.
Le nombre de ceux qui peuvent témoigner des horreurs des camps de la mort et des combats de la Seconde Guerre mondiale se tarit au fil des années.
« Noël, Noël ! », criait-on au Moyen Âge…
On ne peut fêter Noël avec légèreté, indifférence. Prier à Noël, c’est prier pour tous ces êtres arrachés et pour leurs familles.
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
Les images reprenant l’agression par des manifestants de trois policiers motocyclistes de la préfecture de police de Paris font le tour des réseaux sociaux…
Laurent Wauquiez devrait se prononcer dans le courant du mois de janvier. Dans tous les cas, il fera des mécontents et risque d’y laisser des plumes.
Au sommet de l’OTAN à Bruxelles, les 11 et 12 juillet derniers, il avait été filmé peinant à marcher et à maintenir son équilibre.
N’aie pas peur ! Tu as demandé au petit Jésus des soldats français. En voilà !
Cette opposition binaire comporte un grand non-dit, toujours le même : celui de l’immigration.
Si Trump a le clash façon bulldozer, Macron, lui, serait plutôt du genre à retenir ses coups, à la jouer fourbe.
Peut-être une sortie « Courtepaille » de temps en temps.
François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, doit désormais se dépêtrer d’une pétition visant à condamner « l’inaction climatique »…
Donc, il y aura (au moins) une liste « gilets jaunes » aux élections européennes. C’est dit, mais ce n’est pas fait.
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
Réintroduire l’alcool sur les stades et renforcer sa présence dans l’esprit du public serait une aberration.
On ne cesse de nous rebattre les oreilles avec une crise de la masculinité, qui fragiliserait les hommes et les rendrait incertains de leur identité.
Une majorité silencieuse n’arrive manifestement plus à supporter la sempiternelle alliance entre la droite libérale et la gauche sociétale, alliance dont les représentants ressemblent à des intouchables…
D’ailleurs, j’en suis sûr, mon petit enfant aime mieux être soigné par moi que par marmots ailés.
Sauf erreur de notre part, pas de réaction, à cette heure, du côté de Marlène Schiappa…
C’est curieux, à l’heure où toutes les activités humaines sont passées au crible de l’écologie. Une seule y échappe, bénéficiant d’un sauf-conduit : l’immigration.
La dette publique de la France dépasse les 2.320 milliards d’euros et va bientôt franchir le seuil symbolique catastrophique des 100 % du PIB.
Deschamps a bien compris que, dans l’idéologie française, « égalité » venait loin devant « liberté »…
Mais il était écrit quelque part que la réaction du pays réel allait, un jour ou l’autre, se charger de nous rappeler qui nous étions…
Le printemps 2019 prendra-t-il des airs d’avril 1969 ?
Et cela risque de mal finir.
Quand, dans une démocratie, naît une presse dissidente, alternative, c’est le signe que cette démocratie va mal.
Nos coutumes sont susceptibles, paraît-il, de passer pour des provocations aux yeux de nos hôtes…
Si le dessin de presse, on l’a vu, est une tradition française, le refus du sectarisme et le goût de la déconne en sont deux autres.
Le nombre de ceux qui peuvent témoigner des horreurs des camps de la mort et des combats de la Seconde Guerre mondiale se tarit au fil des années.
« Noël, Noël ! », criait-on au Moyen Âge…
On ne peut fêter Noël avec légèreté, indifférence. Prier à Noël, c’est prier pour tous ces êtres arrachés et pour leurs familles.
Quand on a touché le fond, on ne peut que remonter. Mais quand on n’a pas encore touché le fond ?
Les images reprenant l’agression par des manifestants de trois policiers motocyclistes de la préfecture de police de Paris font le tour des réseaux sociaux…
Laurent Wauquiez devrait se prononcer dans le courant du mois de janvier. Dans tous les cas, il fera des mécontents et risque d’y laisser des plumes.
Au sommet de l’OTAN à Bruxelles, les 11 et 12 juillet derniers, il avait été filmé peinant à marcher et à maintenir son équilibre.
N’aie pas peur ! Tu as demandé au petit Jésus des soldats français. En voilà !
Cette opposition binaire comporte un grand non-dit, toujours le même : celui de l’immigration.
Si Trump a le clash façon bulldozer, Macron, lui, serait plutôt du genre à retenir ses coups, à la jouer fourbe.
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