Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Trump croit en la démocratie ; l’oligarchie, au capital circulant.

Un monde où chacun sera le guetteur de l’autre se prépare sous nos yeux. Pauvre police française !

Ils assurent que « les gilets jaunes, ce n’est pas le peuple » et qu’ils vont le montrer. Apparemment, la majorité silencieuse n’est pas très nombreuse.

Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.

La dépouille d’Henri de La Rochejaquelein repose, depuis, dans l’église de Saint-Aubin-de-Baubigné, sa ville natale.

En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.

Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.

Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.

La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.

L’Alsace pourra se donner enfin l’ambition d’être le laboratoire et le cœur européens de la France et de sa cousine germaine.
Et ce n’est pas la déclaration minimaliste du Vatican précisant que « le pape suit de près l’évolution de la situation » qui pourra faire taire les légitimes interrogations.

Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.

Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.

Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
L’Europe, l’ouverture à tout-va des frontières et la libre circulation des capitaux, un pur bonheur pour celui qui partout se sent chez lui.

Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…

Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.

De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.

On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…

Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.

Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.

Qui va financer le monstre ?
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences liées aux groupuscules d’extrême

Est-il un démocrate ou un « pseudo-démocrate » ?

Si la CEDH tranche en faveur de Meguimi, et de tous les autres derrière lui, les Français financeront la résidence surveillée de ce personnage jusqu’à la fin de ses jours.

Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
Chacun jugera. Pour ce qui nous concerne, la chose est claire.
Trump croit en la démocratie ; l’oligarchie, au capital circulant.

Un monde où chacun sera le guetteur de l’autre se prépare sous nos yeux. Pauvre police française !

Ils assurent que « les gilets jaunes, ce n’est pas le peuple » et qu’ils vont le montrer. Apparemment, la majorité silencieuse n’est pas très nombreuse.

Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.

La dépouille d’Henri de La Rochejaquelein repose, depuis, dans l’église de Saint-Aubin-de-Baubigné, sa ville natale.

En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.

Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.

Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.

La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.

L’Alsace pourra se donner enfin l’ambition d’être le laboratoire et le cœur européens de la France et de sa cousine germaine.
Et ce n’est pas la déclaration minimaliste du Vatican précisant que « le pape suit de près l’évolution de la situation » qui pourra faire taire les légitimes interrogations.

Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.

Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.

Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
L’Europe, l’ouverture à tout-va des frontières et la libre circulation des capitaux, un pur bonheur pour celui qui partout se sent chez lui.

Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…

Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.

De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.

On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…

Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.

Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.

Qui va financer le monstre ?
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences liées aux groupuscules d’extrême

Est-il un démocrate ou un « pseudo-démocrate » ?

Si la CEDH tranche en faveur de Meguimi, et de tous les autres derrière lui, les Français financeront la résidence surveillée de ce personnage jusqu’à la fin de ses jours.

Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
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