Je résume avec un « débrief » concis pour ne pas abuser de la patience des lecteurs, à l’inverse de la prestation du Président.
Nous proposons au chef doublement étoilé de l’accompagner dans ses prochaines œuvres de charité auprès de nos anciens et des plus démunis.
On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
La Charte des langues régionales ne sera jamais ratifiée car elle contient des clauses contraires à la Constitution.
Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Il se passe, dans l’actualité quotidienne, tellement de vilenies que je ne résiste pas à relater l’excellence de cette soirée qui mêle dynamisme, finance, générosité, économie sociale et aide aux plus démunis.
La France a gagné la guerre et obtenu la paix car elle savait qui était son ennemi. Aujourd’hui, notre ennemi n’est pas nommé, c’est donc la défaite assurée…
Que faut-il faire pour sauver ce pays du chaos ?
François Hollande se demandait comment annoncer la terrible nouvelle. Au Café des sports de Tulle ? Au rayon crèmerie du Franprix de Bezons ? Non. La foire du livre de Brive était l’occasion rêvée.
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.
Aujourd’hui, c’est le « en même temps » macronien, mais c’est toujours la recherche du feu qui mouille ou de l’eau qui brûle.
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.
Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».
Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.
Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Damien Rieu, lanceur d’alerte qui a mobilisé l’opinion au moment de l’affaire Médine, revient sur cette vidéo d’un soldat de l’armée de terre affirmant, le
Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
La (condamnable) main aux fesses au bureau, horreur ! Mais les violeurs apatrides, silence…
Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.
Je résume avec un « débrief » concis pour ne pas abuser de la patience des lecteurs, à l’inverse de la prestation du Président.
Nous proposons au chef doublement étoilé de l’accompagner dans ses prochaines œuvres de charité auprès de nos anciens et des plus démunis.
On est nettement plus étonné devant les dépenses en personnel concernant « l’intendance », à savoir cuisine et hôtellerie.
Il restera, à tout jamais marqué d’une encre indélébile, qu’à l’occasion de la célébration du centenaire de l’armistice de 1918 à Paris, la Serbie, avec son cortège de 1.200.000 morts, n’avait pas sa place à la tribune où ses agresseurs d’antan avaient pris la leur.
Les partis d’opposition, quoi qu’on pense de leur projet politique et de leurs motivations, ont le souci de ne pas se couper du peuple. En cela, ils se montrent plus démocrates que Macron.
La Charte des langues régionales ne sera jamais ratifiée car elle contient des clauses contraires à la Constitution.
Une armée européenne pour protéger Ankara contre Moscou, peut-être ? Il fallait y penser.
Un floutage du sens des mots et une logorrhée qui remplace peu à peu tout discours dialectique construit…
Il se passe, dans l’actualité quotidienne, tellement de vilenies que je ne résiste pas à relater l’excellence de cette soirée qui mêle dynamisme, finance, générosité, économie sociale et aide aux plus démunis.
La France a gagné la guerre et obtenu la paix car elle savait qui était son ennemi. Aujourd’hui, notre ennemi n’est pas nommé, c’est donc la défaite assurée…
Que faut-il faire pour sauver ce pays du chaos ?
François Hollande se demandait comment annoncer la terrible nouvelle. Au Café des sports de Tulle ? Au rayon crèmerie du Franprix de Bezons ? Non. La foire du livre de Brive était l’occasion rêvée.
Donald Trump, spécialiste de la réponse du berger à la bergère (du « counterpunch », comme il dit), ne manque jamais de faire monter les enchères, ne laissant jamais aucun affront impuni.
Aujourd’hui, c’est le « en même temps » macronien, mais c’est toujours la recherche du feu qui mouille ou de l’eau qui brûle.
Le grand public n’oubliera pas facilement cette légèreté, lui qui garde un souvenir héroïque des victimes de la Grande Guerre. Cela pèsera sur l’image de la France en Serbie pour les années à venir.
Loin du cirque parisien, dans mon village des hauts plateaux, on a lu, dimanche, l’appel aux morts et la foule de la France vraie a murmuré, émue, à chaque nom : « Mort pour la France ».
Une guerre des valeurs avant d’être celle des territoires. Une guerre de tranchées.
Pour les plus anciens, on connaissait les beaux lolos de Gina Lollobrigida, mais le bololo ?
Damien Rieu, lanceur d’alerte qui a mobilisé l’opinion au moment de l’affaire Médine, revient sur cette vidéo d’un soldat de l’armée de terre affirmant, le
Et la vague populiste est là en Europe, en Hongrie, en Italie, en Autriche. En attendant la France ? Réponse dans pas longtemps.
On peut faire passer le maire pour le dernier des crétins, le prof pour un couard larmoyant, le pharmacien pour un gros kéké du Sentier, voire déguiser Michael Youn en prêtre pour marier les « poussins », mais faire rire des homos, ça, sûrement pas !
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
En exposant en permanence des utopies, Emmanuel Macron ne peut que braquer nos partenaires, qui le considèrent de plus en plus comme un agitateur et un donneur de leçons arrogant !
La (condamnable) main aux fesses au bureau, horreur ! Mais les violeurs apatrides, silence…
Alors, en cette période de commémoration, souvenons-nous qu’aujourd’hui encore, de jeunes Européens meurent dans les tranchées…
Une machine est lancée qui n’a même pas pour finalité d’obtenir des résultats mais juste de s’opposer ensemble, de crier ensemble que trop, c’est trop.
Le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée.
La marche dans les sables mouvants de la subjectivité s’annonce rude.
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