Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.
Aujourd’hui, on commémore, en France, les trois ans de l’attentat terroriste du Bataclan qui a fait cent trente morts et de nombreuses victimes. Triste coïncidence,
Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours
Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.
Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.
À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Les mots d’ordre sont : abolition du traité des Pyrénées et libération des prisonniers politiques indépendantistes en Espagne.
La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Grognon il était, grognon il resterait.
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
Les déclarations d’apaisement de Jean-Michel Blanquer ne suffiront pas à calmer les inquiétudes.
Comment peut-on expliquer la tragédie de la rue d’Aubagne, à Marseille, où huit personnes ont perdu la vie ? Une semaine après cet accident, le
D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un
Faut-il s’attendre à voir arriver le Président sur les barrages routiers ?
Fini de faire les kékés sur Facebook ou Instagram…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.
La mort, comme nous l’a si magnifiquement montré Bergman dans Le Septième Sceau, ne fait pas crédit éternellement…
Vous, je ne sais pas, mais moi, je ne comprends absolument rien aux discours du Président…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
La pauvre Debora aurait été bien malheureuse dans cette immense salle de Rome qui acclamait Salvini !
Vous l’avez remarqué, le mouvement du 17 novembre n’est pas très organisé. Mais c’est ce côté brouillon qui, somme toute, est gage d’authenticité.
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
« Il faut à la fois sauver le monde et ne pas arriver en retard au rendez-vous fixé avec sa fiancée. Que feriez-vous, à sa place ? »
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
Les prochaines élections municipales devront être très politiques pour, enfin, sortir de l’ambiguïté du macronisme.
Aujourd’hui, on commémore, en France, les trois ans de l’attentat terroriste du Bataclan qui a fait cent trente morts et de nombreuses victimes. Triste coïncidence,
Lundi soir, Maggy Biskupski, policière à la brigade anticriminalité des Yvelines, mettait fin à ses jours
Le plus bel hommage à lui rendre sera de relever le flambeau qui est momentanément tombé avec elle.
Qui, de nos grands-pères, était patriote ou nationaliste ? Au moment où il fallait monter à l’assaut derrière le drapeau, tout le monde s’en fichait bien.
À l’occasion de la parution de son ouvrage Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie, Jean Sévillia est interrogé au micro de Boulevard Voltaire. L’historien
Une fuite en avant à rebours de l’Histoire au moment où les peuples européens veulent, au contraire, recouvrer leur souveraineté confisquée…
Les mots d’ordre sont : abolition du traité des Pyrénées et libération des prisonniers politiques indépendantistes en Espagne.
La guerre faisant rage pour la succession dudit Pavageau, les boules puantes arrivent sur la place publique. Affaire du jour : les sous.
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Grognon il était, grognon il resterait.
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
Les déclarations d’apaisement de Jean-Michel Blanquer ne suffiront pas à calmer les inquiétudes.
Comment peut-on expliquer la tragédie de la rue d’Aubagne, à Marseille, où huit personnes ont perdu la vie ? Une semaine après cet accident, le
D’où vient la tradition du ravivage de la flamme, quelle fut la plus terrible erreur de Clemenceau, pourquoi « itinérance » est tout sauf le mot d’un
Faut-il s’attendre à voir arriver le Président sur les barrages routiers ?
Fini de faire les kékés sur Facebook ou Instagram…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Ces autoproclamés « progressistes », dont M. Macron se veut le héraut, qui lisent le présent et l’avenir avec la grille des années 30 se fourvoient et nous trompent.
La mort, comme nous l’a si magnifiquement montré Bergman dans Le Septième Sceau, ne fait pas crédit éternellement…
Vous, je ne sais pas, mais moi, je ne comprends absolument rien aux discours du Président…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
La pauvre Debora aurait été bien malheureuse dans cette immense salle de Rome qui acclamait Salvini !
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