Face à de telles déclarations insultantes, que fait le gouvernement Rajoy ?
Faut-il pour autant tuer la poule aux œufs d’or ? Sophie Marceau ne nous le dit pas.
Sans surprise, Nicolás Maduro a donc été réélu dimanche 20 mai après une parodie de scrutin démocratique…
Au sommaire de la dernière livraison d’Éléments : les jeunes réacs qui démodent Mai 68.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.
La morale de cette histoire ? Mieux vaut éviter de donner des leçons, quand on n’est pas soi-même blanc comme neige.
Les enthousiasmes collectifs sont d’autant plus purs, limpides et unanimes que nulle once d’esprit partisan ne vient les troubler, les entraver.
L’année dernière, Marine Le Pen en rêvait et c’est en Italie que l’alliance des populistes des deux rives s’est accomplie avec le gouvernement formé ce lundi par la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi di Maio.
Le festival de Cannes n’est plus depuis bien longtemps que le Festival de la bien-pensance.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Notre République est bien loin d’atteindre cette popularité.
Visiblement, le lynchage est entré dans la culture de certains milieux en France.
C’est qu’un nouveau concept vient de naître, exprimé à travers la formule : « Il faut que les Français s’habituent, il faut qu’ils apprennent à vivre avec, car cela ne s’arrêtera pas… »
Pour qu’ils viennent peut-être poursuivre la fête chez nous et souffler d’autres bougies ?
Après tout, ce n’est pas la première fois que la capitale française et sa banlieue serait attaquée.
Rrappelons que les cafés excluant les femmes dans certaines banlieues participent de la même discrimination.
La présidente de l’UNEF de la Sorbonne – à chacun son « The Voice » – vient nous chanter la même chanson du voile léger, transparent, apolitique.
« Les villes ne connaissent pas le silence et le fuient. »
Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
Ce n’est plus de la peste que les animaux sont malades, mais de l’écologie politique.
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
C’est bien ; mais ça n’est encore pas assez. Il en faudrait plus et, surtout, il en aurait fallu plus, plus tôt. Jamais contentes, on vous dit.
Le mariage des autres est toujours l’occasion de réfléchir au sien, et au mariage en général.
Un cauchemar, une caricature. Dans quelque temps on exigera que le public soit composé à parité de femmes et d’hommes.
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Dès les premières lignes, le lecteur est plongé dans l’atmosphère aventureuse et dangereuse de la vie parisienne pendant la Révolution.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.
Face à de telles déclarations insultantes, que fait le gouvernement Rajoy ?
Faut-il pour autant tuer la poule aux œufs d’or ? Sophie Marceau ne nous le dit pas.
Sans surprise, Nicolás Maduro a donc été réélu dimanche 20 mai après une parodie de scrutin démocratique…
Au sommaire de la dernière livraison d’Éléments : les jeunes réacs qui démodent Mai 68.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.
La morale de cette histoire ? Mieux vaut éviter de donner des leçons, quand on n’est pas soi-même blanc comme neige.
Les enthousiasmes collectifs sont d’autant plus purs, limpides et unanimes que nulle once d’esprit partisan ne vient les troubler, les entraver.
L’année dernière, Marine Le Pen en rêvait et c’est en Italie que l’alliance des populistes des deux rives s’est accomplie avec le gouvernement formé ce lundi par la Ligue de Matteo Salvini et le Mouvement 5 étoiles de Luigi di Maio.
Le festival de Cannes n’est plus depuis bien longtemps que le Festival de la bien-pensance.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Notre République est bien loin d’atteindre cette popularité.
Visiblement, le lynchage est entré dans la culture de certains milieux en France.
C’est qu’un nouveau concept vient de naître, exprimé à travers la formule : « Il faut que les Français s’habituent, il faut qu’ils apprennent à vivre avec, car cela ne s’arrêtera pas… »
Pour qu’ils viennent peut-être poursuivre la fête chez nous et souffler d’autres bougies ?
Après tout, ce n’est pas la première fois que la capitale française et sa banlieue serait attaquée.
Rrappelons que les cafés excluant les femmes dans certaines banlieues participent de la même discrimination.
La présidente de l’UNEF de la Sorbonne – à chacun son « The Voice » – vient nous chanter la même chanson du voile léger, transparent, apolitique.
« Les villes ne connaissent pas le silence et le fuient. »
Si l’État veut sauver la France d’une future « partition », selon le mot qu’aurait prononcé François Hollande, elle doit d’abord rassembler tous ceux qui, quelle que soit leur origine, sont fiers d’être français.
Ce n’est plus de la peste que les animaux sont malades, mais de l’écologie politique.
Alors, qu’au moins nos dirigeants osent ce qu’ont osé les révolutionnaires dont ils se réclament.
C’est bien ; mais ça n’est encore pas assez. Il en faudrait plus et, surtout, il en aurait fallu plus, plus tôt. Jamais contentes, on vous dit.
Le mariage des autres est toujours l’occasion de réfléchir au sien, et au mariage en général.
Un cauchemar, une caricature. Dans quelque temps on exigera que le public soit composé à parité de femmes et d’hommes.
Alors même qu’à l’issue du Brexit, seul 1 % de la population de l’Union européenne sera de langue maternelle anglaise, c’est bien cette dernière que Bruxelles pourrait imposer comme quasi-langue officielle unique.
Après les policiers, les gendarmes, les pompiers, les gardiens de prisons et les enseignants, ce sont les médecins qui sont bannis.
Dès les premières lignes, le lecteur est plongé dans l’atmosphère aventureuse et dangereuse de la vie parisienne pendant la Révolution.
Le conflit israélo-palestinien est revenu récemment à la une de l’actualité avec son lot habituel d’informations tronquées et de manipulation médiatique.