Christophe Castaner vient de déclarer sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie.
Le sacrifice du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame apporte un témoignage exceptionnel qui réconcilie les Français avec leur France malade, divisée, trahie.
Il ne faut pas désespérer de la parole politique, elle peut, parfois, être vraie.
Une fois de plus, comme pour l’immigration, nos soi-disant élites se masquent la vérité.
Brutalement, la France et son oligarchie se trouvent confrontées à un acte véritablement héroïque, le sacrifice, le don de soi. Il s’agit là d’un événement dont on ne saurait minimiser la portée.
Qui dit parcours initiatique dit parcours semé d’embûches et de mésaventures en tous genres.
L’islamisme, que les signataires de la pétition distinguent naïvement de l’islam, n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une religion conquérante.
« Le principe de base, qui s’énonce « à niveau de vie égal, taux d’imposition égal », est un principe républicain. »
Tout laisse à penser, comme il le souligne lui-même, qu’il est victime d’un acharnement.
C’est pour que les innocents ne soient plus vus comme de potentiels coupables, qu’il est vital d’enquêter et d’informer.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
Il ne faudrait pas que le geste héroïque du lieutenant-colonel Beltrame serve de nouvelle occasion à nos dirigeants pour fuir leurs responsabilités.
Il faut aimer la France. Ça se sent, se vit. Cela s’enseigne aussi. Faisons aimer la France, aujourd’hui. Et en 2050 nous aurons des généraux Dumas de la Pailleterie !
Chez l’homéopathe, ce n’est pas le produit qui améliore, mais la consultation.
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
En sens contraire, on assiste de la part des trois grands de ce monde (Chine, Russie, États-Unis) à un renforcement de la puissance étatique.
Au lendemain de l’attaque islamiste de Trèbes, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Ne stigmatisons pas. C’est ce que demande Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Les choses semblaient enterrées. Ce matin, elles ont refait surface…
Je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste.
« Son héroïsme saisissant va susciter, je le crois, de nombreux imitateurs, prêts au don d’eux-mêmes pour la France et sa joie chrétienne. »
Le pouvoir actuel qui réunit les opportunistes issus de la gauche et de la droite ne peut déjà plus inspirer la confiance d’un pays qui n’en peut plus de descendre sans cesse.
Les gouvernements qui se sont succédé ont, par leurs lâchetés, discrédité l’autorité de l’État.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Le pire sait faire surgir le meilleur, le trouble l’éclatant, les compromissions l’absolue transparence du courage et de l’altruisme totalement désintéressé.
On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche…
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
Christophe Castaner vient de déclarer sur Europe 1 qu’il convenait d’accueillir en France les djihadistes de retour de Syrie.
Le sacrifice du lieutenant-colonel Arnaud Beltrame apporte un témoignage exceptionnel qui réconcilie les Français avec leur France malade, divisée, trahie.
Il ne faut pas désespérer de la parole politique, elle peut, parfois, être vraie.
Une fois de plus, comme pour l’immigration, nos soi-disant élites se masquent la vérité.
Brutalement, la France et son oligarchie se trouvent confrontées à un acte véritablement héroïque, le sacrifice, le don de soi. Il s’agit là d’un événement dont on ne saurait minimiser la portée.
Qui dit parcours initiatique dit parcours semé d’embûches et de mésaventures en tous genres.
L’islamisme, que les signataires de la pétition distinguent naïvement de l’islam, n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une religion conquérante.
« Le principe de base, qui s’énonce « à niveau de vie égal, taux d’imposition égal », est un principe républicain. »
Tout laisse à penser, comme il le souligne lui-même, qu’il est victime d’un acharnement.
C’est pour que les innocents ne soient plus vus comme de potentiels coupables, qu’il est vital d’enquêter et d’informer.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
Il ne faudrait pas que le geste héroïque du lieutenant-colonel Beltrame serve de nouvelle occasion à nos dirigeants pour fuir leurs responsabilités.
Il faut aimer la France. Ça se sent, se vit. Cela s’enseigne aussi. Faisons aimer la France, aujourd’hui. Et en 2050 nous aurons des généraux Dumas de la Pailleterie !
Chez l’homéopathe, ce n’est pas le produit qui améliore, mais la consultation.
Le boycott du pavillon russe du Salon du livre de Paris par Macron est un signe à la fois de servilité et de petitesse.
En sens contraire, on assiste de la part des trois grands de ce monde (Chine, Russie, États-Unis) à un renforcement de la puissance étatique.
Au lendemain de l’attaque islamiste de Trèbes, Xavier Raufer répond aux questions de Boulevard Voltaire.
Ne stigmatisons pas. C’est ce que demande Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris.
Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosques. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.
Les choses semblaient enterrées. Ce matin, elles ont refait surface…
Je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste.
« Son héroïsme saisissant va susciter, je le crois, de nombreux imitateurs, prêts au don d’eux-mêmes pour la France et sa joie chrétienne. »
Le pouvoir actuel qui réunit les opportunistes issus de la gauche et de la droite ne peut déjà plus inspirer la confiance d’un pays qui n’en peut plus de descendre sans cesse.
Les gouvernements qui se sont succédé ont, par leurs lâchetés, discrédité l’autorité de l’État.
De Bruxelles à l’Afrique subsaharienne en passant par le Maghreb, la défense du français fait de plus en plus figure de chimère réactionnaire.
Le pire sait faire surgir le meilleur, le trouble l’éclatant, les compromissions l’absolue transparence du courage et de l’altruisme totalement désintéressé.
On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche…
L’université de Paris 8 prend depuis, des semaines, des allures de camp retranché aux portes de Paris.
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