Hervé de Lépinau, le suppléant de Marion Maréchal-Le Pen, revient sur les raisons de son départ.
Le mercantilisme décomplexé a, décidément, de beaux jours devant lui.
Marion, merci pour tout ce que vous avez déjà fait.
Il paraît que notre nouveau président de la République serait le plus jeune président élu du monde.
Avec cette élection, notre paysage politique est entré dans une nouvelle ère qui opposera les mondialistes aux souverainistes.
Il reste seize jours à notre sémillant vainqueur pour se plonger dans les rudes dossiers défense et alliances.
Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.
Inutile de s’inquiéter de son éventuelle réinsertion professionnelle : on a toujours manqué de bras dans le music-hall.
Le prélèvement à la source n’a aucun intérêt et est même dangereux pour le pays.
Jacques Bompard publie un pamphlet, Contre Macron, qu’il accuse d’être « une fabrication et un élu de nulle part ».
Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
Retrouvez les meilleures analyses de la soirée électorale organisée par TV Libertés et Boulevard Voltaire dimanche soir.
La France de droite reste un cœur à prendre.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Le problème est de savoir quels électeurs, et donc quels élus, aux législatives vont marcher avec lui…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
La perpétuation de la présidence de François Hollande à travers son successeur appelle une remise à plat des forces d’opposition.
On a le droit, pour lui comme pour l’ensemble de la vie publique, de ne pas avoir peur d’une table rase.
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Pour Robert Ménard, l’échec cuisant du Front national à l’élection présidentielle tient avant tout à ses propres erreurs.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.
Hervé de Lépinau, le suppléant de Marion Maréchal-Le Pen, revient sur les raisons de son départ.
Le mercantilisme décomplexé a, décidément, de beaux jours devant lui.
Marion, merci pour tout ce que vous avez déjà fait.
Il paraît que notre nouveau président de la République serait le plus jeune président élu du monde.
Avec cette élection, notre paysage politique est entré dans une nouvelle ère qui opposera les mondialistes aux souverainistes.
Il reste seize jours à notre sémillant vainqueur pour se plonger dans les rudes dossiers défense et alliances.
Nous pouvons nous glisser dans les interstices, en défendant une vision du monde aussi aboutie et solide que la sienne.
Inutile de s’inquiéter de son éventuelle réinsertion professionnelle : on a toujours manqué de bras dans le music-hall.
Le prélèvement à la source n’a aucun intérêt et est même dangereux pour le pays.
Jacques Bompard publie un pamphlet, Contre Macron, qu’il accuse d’être « une fabrication et un élu de nulle part ».
Cette droite, désormais antinationale, est en cours de disparition rapide car elle s’est coupée d’une valeur essentielle de la vraie droite : la Nation.
Retrouvez les meilleures analyses de la soirée électorale organisée par TV Libertés et Boulevard Voltaire dimanche soir.
La France de droite reste un cœur à prendre.
Comme il fallait s’y attendre, l’exécuteur des hautes œuvres s’est incarné en la personne de Manuel Valls.
Avec lui, toutes les accusations de fascisme, nazisme, pétainisme et tutti quanti tombent à l’eau. La diabolisation devient complexe…
Il fallait voir comme François Hollande était à ses petits soins, lundi matin, sous l’Arc de Triomphe…
Le problème est de savoir quels électeurs, et donc quels élus, aux législatives vont marcher avec lui…
Qui dit Macron dimanche dit manifs dès lundi… On prend les mêmes et on recommence. Casseurs, zadistes, la haine vociférée place de la République.
La perpétuation de la présidence de François Hollande à travers son successeur appelle une remise à plat des forces d’opposition.
On a le droit, pour lui comme pour l’ensemble de la vie publique, de ne pas avoir peur d’une table rase.
La polémique concernant les liens entre ONG et trafiquants d’êtres humains ne désenfle pas malgré les dénégations des associations et du monde politique.
Comment expliquer qu’un candidat aussi jeune et aux prétentions réformistes ait à ce point été plébiscité par une France plutôt conservatrice par nature ?
Je crains, hélas, qu’aucune leçon ne soit tirée de ce fiasco.
Il n’y a plus qu’à trouver la boîte de com’ qui veut bien relever le défi et on lance l’opération.
Pour Robert Ménard, l’échec cuisant du Front national à l’élection présidentielle tient avant tout à ses propres erreurs.
Dans un entretien au Figaro de septembre 2015, notre nouveau président de la République lui-même a prédit la fin de l’euro d’ici dix ans.