
Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…

Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !

Karim Cheurfi était un gros, gros poisson… Qu’ils n’auraient jamais dû laisser dans la nature.

Il est impératif que le prochain président de la République tranche sur le sort de ces individus radicalisés de fait, ou reconnus comme tels.
Un film à voir, à faire connaître, et qui, à l’image de son auteur, rend un peu de dignité au cinéma français.
La classe politique sert de faire-valoir à une caste des prévaricateurs qui spécule sur tout.
Le recteur n’aurait pas suspendu l’enseignant s’il n’avait pas été l’imam d’un lieu de culte sulfureux.
L’élection du président de la République au suffrage universel a été voulue par le Général de Gaulle comme la rencontre entre un homme et un peuple.

Ce mouvement est né en janvier aux États-Unis, après l’investiture du président Donald Trump.

En France, à partir de 1789, l’idée de fidélité à la tradition a été mal vue, et cela n’a fait que s’aggraver tout au long de notre Histoire.

Comment en est-on arrivé là, à ce degré de bêtise aveugle ?

Je ne me résous pas, personnellement, à un gouvernement, fût-il de droite, avec, comme Premier ministre, le frère maçon anti-crèches Baroin.
Pour se rafraîchir le cervelet, il y a toujours le régime Ducon, meilleur remède contre la peur de l’autre et de l’inconnu.
C’est à cause de l’incompétence du gouvernement contre le terrorisme islamiste que cet homme était en liberté sur les Champs, une arme dans les mains !

« Maman, y a Macron au téléphone, viens-vite, il veut te parler »

Son « pèlerinage » au Puy-en-Velay, avec la bénédiction de Laurent Wauquiez, me donne l’espoir que la France revienne au centre du débat.
Les islamistes doivent être combattus avec la plus grande fermeté et la plus grande détermination.
La France est dans une situation chaotique. Quatre solutions s’offrent aux électeurs.
Il est étrange de constater que les trois sujets les moins bien traités dans cette campagne sont précisément ceux qui constituent de vrais choix d’avenir.

En 40 ans, et plus spécialement depuis les deux derniers quinquennats, les plaies de la France n’ont fait que s’agrandir.
Après l’attentat, jeudi soir, toutes sortes d’informations ont rapidement circulé. Nombre d’entre elles ont dû être démenties ou rectifiées.
Les patriotes de toutes origines vont devoir se rassembler : car la Nation c’est nous tous.
Si le capitalisme exacerbé n’est certes pas un paradigme parfaitement désirable, le remède proposé est pire encore.

Trump, cornaqué par le « Deep State », et le Pape, dilué dans le byzantinisme, seront-ils capables en leur rencontre de « réincarner » le monde ?

Cette tragédie prend d’autant plus de retentissement qu’elle s’est produite à deux jours des élections présidentielles.
Dimanche, en votant Fillon ou Le Pen, les Français montreront qu’ils refusent le parti de la résignation.

Un policier (de 37 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées.

Instantanément, le nouvel attentat portant le deuil sur la France passait au révélateur la stature d’hommes et de femmes d’Etat des impétrants.

Le cortège de personnalités se rend à la statue de Lafayette, place du Carrousel, saluée par la foule en liesse aux balcons et le long des trottoirs…

Attention : dimanche soir à 20h, on ne vous donnera pas les noms des deux qualifiés, mais trois voire quatre noms !

Karim Cheurfi était un gros, gros poisson… Qu’ils n’auraient jamais dû laisser dans la nature.

Il est impératif que le prochain président de la République tranche sur le sort de ces individus radicalisés de fait, ou reconnus comme tels.
Un film à voir, à faire connaître, et qui, à l’image de son auteur, rend un peu de dignité au cinéma français.
La classe politique sert de faire-valoir à une caste des prévaricateurs qui spécule sur tout.
Le recteur n’aurait pas suspendu l’enseignant s’il n’avait pas été l’imam d’un lieu de culte sulfureux.
L’élection du président de la République au suffrage universel a été voulue par le Général de Gaulle comme la rencontre entre un homme et un peuple.

Ce mouvement est né en janvier aux États-Unis, après l’investiture du président Donald Trump.

En France, à partir de 1789, l’idée de fidélité à la tradition a été mal vue, et cela n’a fait que s’aggraver tout au long de notre Histoire.

Comment en est-on arrivé là, à ce degré de bêtise aveugle ?

Je ne me résous pas, personnellement, à un gouvernement, fût-il de droite, avec, comme Premier ministre, le frère maçon anti-crèches Baroin.
Pour se rafraîchir le cervelet, il y a toujours le régime Ducon, meilleur remède contre la peur de l’autre et de l’inconnu.
C’est à cause de l’incompétence du gouvernement contre le terrorisme islamiste que cet homme était en liberté sur les Champs, une arme dans les mains !

« Maman, y a Macron au téléphone, viens-vite, il veut te parler »

Son « pèlerinage » au Puy-en-Velay, avec la bénédiction de Laurent Wauquiez, me donne l’espoir que la France revienne au centre du débat.
Les islamistes doivent être combattus avec la plus grande fermeté et la plus grande détermination.
La France est dans une situation chaotique. Quatre solutions s’offrent aux électeurs.
Il est étrange de constater que les trois sujets les moins bien traités dans cette campagne sont précisément ceux qui constituent de vrais choix d’avenir.

En 40 ans, et plus spécialement depuis les deux derniers quinquennats, les plaies de la France n’ont fait que s’agrandir.
Après l’attentat, jeudi soir, toutes sortes d’informations ont rapidement circulé. Nombre d’entre elles ont dû être démenties ou rectifiées.
Les patriotes de toutes origines vont devoir se rassembler : car la Nation c’est nous tous.
Si le capitalisme exacerbé n’est certes pas un paradigme parfaitement désirable, le remède proposé est pire encore.

Trump, cornaqué par le « Deep State », et le Pape, dilué dans le byzantinisme, seront-ils capables en leur rencontre de « réincarner » le monde ?

Cette tragédie prend d’autant plus de retentissement qu’elle s’est produite à deux jours des élections présidentielles.
Dimanche, en votant Fillon ou Le Pen, les Français montreront qu’ils refusent le parti de la résignation.

Un policier (de 37 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées.

Instantanément, le nouvel attentat portant le deuil sur la France passait au révélateur la stature d’hommes et de femmes d’Etat des impétrants.
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