Laissons Koz à sa naïveté et refusons de collaborer à cette progressive descente aux enfers : dimanche prochain, pas une voix pour Macron !
Avec le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan, la base de Marine Le Pen s’élargit d’un apport solide, complété par celui des « petits » candidats.
Emmanuel Macron a sans doute parié avec lui-même qu’un Bel Ami pourrait devenir chef de l’État en se payant les électeurs et en se moquant de la République.
Les Suisses qui sont très pragmatiques attendent le futur président au pied du mur, peu enclins à le juger sur son look de gendre parfait.
La France compte 14 millions de retraités, et autant d’électeurs, mais je ne suis pas sûr qu’ils soient très flattés par ce racolage des déambulateurs.
Tout se passe comme si on voulait persuader les Français que l’élection de Marine Le Pen équivaudrait à un retour à la France pétainiste.
Là où François Hollande dépasse toutes nos espérances, c’est que son appel à voter pour Emmanuel Macron, il nous l’a fait depuis Bruxelles. Tout un symbole.
Le nouveau mobilier urbain de Madame Hidalgo a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge…
En 1965, André Malraux déclarait devant le Général de Gaulle: « l’immortalité est incarnée par la culture française ».
Les Français sont devant un dilemme auquel l’oligarchie régnante les a conduits par ses manoeuvres.
Je voterai le 7 Mai pour Marine. Pourquoi ce choix ?
Le nombre de Français nationalistes, patriotes ou extrémistes, est trop faible pour maintenir la France en tant qu’entité culturelle et indépendante.
Selon le mot du philosophe Günther Anders, la technique rendrait ainsi l’homme « obsolète ». Les perspectives sont vertigineuses.
Combien de couillons comme Zidane, cette fois, le 7 mai, prêts à voter Emmanuel Macron ?
Avec Bussereau et Biolay, ce sont injures et menaces qui volent très bas.
La décision de M. Dupont-Aignan, dont il faut saluer le courage, est la matérialisation historique de plusieurs mouvements de fond à droite.
Pleine d’un enthousiasme débordant, aller voter je vais. Par défaut et à reculons.
N’est-il pas risible d’entendre les Juppé et autres Accoyer parler de « trahison » ?
Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.
Debout la France !
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
Madame Le Pen a un problème : elle croit à la volonté populaire dans un monde de télé-réalité. Et, en France, la télé-réalité, c’est Macron !
Trop d’électeurs du deuxième tour répugneront à voter Macron, même pour faire barrage à Le Pen.
L’annonce de l’accord de gouvernement est tombée au moment idéal, cinq jours après le début d’une campagne de second tour menée tambour battant !
Le noyau de départ est plutôt jeune, pas forcément « tradi » au sens habituel du terme. Le formulaire a réuni à cette heure une centaine de signataires.
Le patronat, les mondialistes, les médias et les pseudo-experts ont menti aux peuples pendant cinquante ans ! Le FMI le reconnaît aujourd’hui !
Nous ne sommes plus en 2002. Et le « coup » de Chirac, on ne le fait aux Français qu’une fois.
Non seulement la présidente de la région Île-de-France s’est fourvoyée, mais encore elle s’est ridiculisée.
Laissons Koz à sa naïveté et refusons de collaborer à cette progressive descente aux enfers : dimanche prochain, pas une voix pour Macron !
Avec le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan, la base de Marine Le Pen s’élargit d’un apport solide, complété par celui des « petits » candidats.
Emmanuel Macron a sans doute parié avec lui-même qu’un Bel Ami pourrait devenir chef de l’État en se payant les électeurs et en se moquant de la République.
Les Suisses qui sont très pragmatiques attendent le futur président au pied du mur, peu enclins à le juger sur son look de gendre parfait.
La France compte 14 millions de retraités, et autant d’électeurs, mais je ne suis pas sûr qu’ils soient très flattés par ce racolage des déambulateurs.
Tout se passe comme si on voulait persuader les Français que l’élection de Marine Le Pen équivaudrait à un retour à la France pétainiste.
Là où François Hollande dépasse toutes nos espérances, c’est que son appel à voter pour Emmanuel Macron, il nous l’a fait depuis Bruxelles. Tout un symbole.
Le nouveau mobilier urbain de Madame Hidalgo a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge…
En 1965, André Malraux déclarait devant le Général de Gaulle: « l’immortalité est incarnée par la culture française ».
Les Français sont devant un dilemme auquel l’oligarchie régnante les a conduits par ses manoeuvres.
Je voterai le 7 Mai pour Marine. Pourquoi ce choix ?
Le nombre de Français nationalistes, patriotes ou extrémistes, est trop faible pour maintenir la France en tant qu’entité culturelle et indépendante.
Selon le mot du philosophe Günther Anders, la technique rendrait ainsi l’homme « obsolète ». Les perspectives sont vertigineuses.
Combien de couillons comme Zidane, cette fois, le 7 mai, prêts à voter Emmanuel Macron ?
Avec Bussereau et Biolay, ce sont injures et menaces qui volent très bas.
La décision de M. Dupont-Aignan, dont il faut saluer le courage, est la matérialisation historique de plusieurs mouvements de fond à droite.
Pleine d’un enthousiasme débordant, aller voter je vais. Par défaut et à reculons.
N’est-il pas risible d’entendre les Juppé et autres Accoyer parler de « trahison » ?
Macron permettra aux spéculateurs internationaux de piller l’économie de la France, comme il l’a déjà fait lors de son passage comme ministre.
Debout la France !
Ceux qui tentent de déconsidérer ce courant politique en le qualifiant d’extrême droite risquent fort de trouver de moins en moins d’écho.
Madame Le Pen a un problème : elle croit à la volonté populaire dans un monde de télé-réalité. Et, en France, la télé-réalité, c’est Macron !
Trop d’électeurs du deuxième tour répugneront à voter Macron, même pour faire barrage à Le Pen.
L’annonce de l’accord de gouvernement est tombée au moment idéal, cinq jours après le début d’une campagne de second tour menée tambour battant !
Le noyau de départ est plutôt jeune, pas forcément « tradi » au sens habituel du terme. Le formulaire a réuni à cette heure une centaine de signataires.
Le patronat, les mondialistes, les médias et les pseudo-experts ont menti aux peuples pendant cinquante ans ! Le FMI le reconnaît aujourd’hui !
Nous ne sommes plus en 2002. Et le « coup » de Chirac, on ne le fait aux Français qu’une fois.
Non seulement la présidente de la région Île-de-France s’est fourvoyée, mais encore elle s’est ridiculisée.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Qu’est-ce qui enferme les femmes en France aujourd’hui ? C’est l’insécurité
Lire la vidéo
