Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Selon une anecdote assez drôle, la première dame imaginait « une sorte de sexe érigé entouré à sa base de boules en or… »
Les craintes du RN était fondées. Ils étaient bien visés par les deux apprentis terroristes.
Une colère qui s’ajoute à l’embrasement général qui semble monter dans le pays, avant le retour des gilets jaunes prévu ce samedi.
On pourrait considérer que c’est comme ça, que ce n’est pas si grave et que c’est même plutôt sympa, et s’arrêter là.
Des élus avaient manifesté leur inquiétude auprès des services de l’État.
Carrure et calvitie de Monsieur Propre, curriculum drapé de toutes les vertus : on lui donnerait le bon Dieu sans confession, tant ce politicien de 60 ans semble dévoué depuis toujours aux bonnes œuvres de la gauche.
Cet événement semble marquer la fin de l’influence de Trump sur les républicains.
À l’unisson, les porte-voix de la rassurance posent néanmoins la question qui les taraude : faut-il s’inquiéter de… ?
Cette incurie des gouvernants, c’est désormais aux gouvernés de la payer au prix fort.
Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.
Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.
Une tradition, presque aussi vieille que le Christ lui-même, qui est fermement ancrée dans notre culture judéo-chrétienne ainsi que dans nos maisons.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Consolons-nous un peu : ça aurait pu être Christophe Castaner, ministre émérite de l’Intérieur…
Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.
Ce rappel d’un prétendu passé nazi de Benoît XVI est historiquement faux. C’est un parfait exemple de ce qu’est le terrorisme intellectuel.
Après la partie de Monopoly d’Olivier Faure et le clip déroutant sur les difficultés des Français, le Parti socialiste semblait avoir touché le fond dès les premiers jours de l’année 2023. C’était sans compter sur l’inventivité de la majorité municipale de Pantin.
Depuis plusieurs années, certaines personnes trouvent normal d’avoir un plat adapté à chacun. Une exigence qui coûte de l’argent à la ville qui tente d’offrir un service de qualité avec 45 % de produits bio.
Cet épisode a priori bénin en dit finalement mieux qu’un long discours sur au moins deux choses : la naïveté des gens du show-biz et la duplicité du microcosme politique.
On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Que pourrait-on interdire encore ?
La toile mortifère qui s’est tissée autour de Samuel Paty a démarré, elle aussi, sur les réseaux sociaux avant d’aboutir à la décapitation de l’enseignant.
Les militants ont voulu alerter le Premier ministre sur l’urgence écologique et les conséquences du réchauffement climatique.
Les grands bouleversements surviennent souvent quand le peuple ne veut plus et que l’État ne peut plus.
Lorsque le cercueil quitte la place Saint-Pierre, une longue salve d’applaudissements retentit, tandis que quelques voix crient « santo subito » (« saint immédiatement »).
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Selon une anecdote assez drôle, la première dame imaginait « une sorte de sexe érigé entouré à sa base de boules en or… »
Les craintes du RN était fondées. Ils étaient bien visés par les deux apprentis terroristes.
Une colère qui s’ajoute à l’embrasement général qui semble monter dans le pays, avant le retour des gilets jaunes prévu ce samedi.
On pourrait considérer que c’est comme ça, que ce n’est pas si grave et que c’est même plutôt sympa, et s’arrêter là.
Des élus avaient manifesté leur inquiétude auprès des services de l’État.
Carrure et calvitie de Monsieur Propre, curriculum drapé de toutes les vertus : on lui donnerait le bon Dieu sans confession, tant ce politicien de 60 ans semble dévoué depuis toujours aux bonnes œuvres de la gauche.
Cet événement semble marquer la fin de l’influence de Trump sur les républicains.
À l’unisson, les porte-voix de la rassurance posent néanmoins la question qui les taraude : faut-il s’inquiéter de… ?
Cette incurie des gouvernants, c’est désormais aux gouvernés de la payer au prix fort.
Benoît XVI avait foi en un Dieu de paix mais sans naïveté. La suite a confirmé qu’il avait bien raison.
Une fois de plus, passées l’émotion et les déclarations tonitruantes des responsables de l’ordre public, rien n’a changé et rien ne changera vraisemblablement avant longtemps.
Une tradition, presque aussi vieille que le Christ lui-même, qui est fermement ancrée dans notre culture judéo-chrétienne ainsi que dans nos maisons.
Tandis que le gouvernement serrait la vis aux quidams, collait des contraventions dans la rue à qui avait oublié son laisser-passer et serrait la vis de l’information, ça dérapait pas mal en haut lieu…
Mais tout fantasme est-il bon et surtout faisable ? Les trois partis italiens en sont une évidente démonstration.
Consolons-nous un peu : ça aurait pu être Christophe Castaner, ministre émérite de l’Intérieur…
Ce sont 60.000 à 70.000 personnes, trois fois plus que ce qu’attendaient les autorités italiennes, qui sont venues chaque jour dans la basilique Saint-Pierre se recueillir devant la dépouille de Benoît XVI.
Ce rappel d’un prétendu passé nazi de Benoît XVI est historiquement faux. C’est un parfait exemple de ce qu’est le terrorisme intellectuel.
Après la partie de Monopoly d’Olivier Faure et le clip déroutant sur les difficultés des Français, le Parti socialiste semblait avoir touché le fond dès les premiers jours de l’année 2023. C’était sans compter sur l’inventivité de la majorité municipale de Pantin.
Depuis plusieurs années, certaines personnes trouvent normal d’avoir un plat adapté à chacun. Une exigence qui coûte de l’argent à la ville qui tente d’offrir un service de qualité avec 45 % de produits bio.
Cet épisode a priori bénin en dit finalement mieux qu’un long discours sur au moins deux choses : la naïveté des gens du show-biz et la duplicité du microcosme politique.
On ne peut donc pas ici faire de reproches à la France, d’autant que dans le cadre de ces OPEX, des soldats de notre pays sont morts en Afrique pour des causes souvent éloignées des problématiques prioritaires des Français.
Ce 3 janvier 2023, le Californien Kevin McCarthy n’a pas pu rassembler sur son nom la nouvelle majorité républicaine à la Chambre des représentants. En cause, des trumpistes et ultras qui reprochent à McCarthy de ne pas avoir des convictions assez fermes.
Que pourrait-on interdire encore ?
La toile mortifère qui s’est tissée autour de Samuel Paty a démarré, elle aussi, sur les réseaux sociaux avant d’aboutir à la décapitation de l’enseignant.
Les militants ont voulu alerter le Premier ministre sur l’urgence écologique et les conséquences du réchauffement climatique.
Les grands bouleversements surviennent souvent quand le peuple ne veut plus et que l’État ne peut plus.
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