Avec ce bric-à-brac, la chaîne publique va bientôt pouvoir monter un musée ou organiser un vide-greniers.
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 4 avril, l’article 3 de la proposition de loi « anti-casseurs », qui aurait permis aux préfets d’interdire à
L’espérance par le mensonge. Voilà dévoilé, en quelques mots, tout un mode de gouvernance.
Cette retraite chapeau est un pousse-au-crime qui va faire monter la colère de tous ceux qui ont trimé pendant tout une vie et ne perçoivent que mille euros, et souvent moins.
Le coût du grand débat a été révélé : il s’élève à douze millions d’euros. Encore une dépense inutile ? Eudes Baufreton réagit au micro
On comprend combien les parents désemparés sont des proies faciles pour les charlatans, coachs, rebouteux, hypnotiseurs et autres « patathérapeutes »…
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
La sidération à l’égard de l’islam est telle qu’elle empêche toute appréciation juste du phénomène.
Mais bon, allons-y pour un dernier femmage à Agnès Varda…
Parmi leurs exploits récents ? Le déploiement, sur le bâtiment de la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, d’une banderole réclamant que l’argent des Français aille aux Français et pas aux étrangers.
L’important, pour Julia, c’est de ne pas faire d’amalgame !
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Mgr Éric de Moulins-Beaufort vient d’être élu à la présidence de la Conférence des évêques de France, dans un contexte de crise et de pression.
L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.
Le pouvoir tire à hue et à dia, chacun des ministres ayant sa propre idée qu’il développe dans les médias dans une cacophonie assourdissante.
Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.
Unplanned, un film pro-vie, a entraîné une campagne d’intimidation aux États-Unis de plusieurs mois, avec boycott et sanction, menée par des activistes de gauche.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
C’est le culte catholique qui doit disparaître. Criminel ou purificateur, il y a le feu à l’Église.
Quel est le sens du projet visant à réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires ?
Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Boulevard Voltaire s’est rendu à l’Assemblée nationale pour l’ouverture du grand débat des députés. Des gilets jaunes dits « constituants » s’en sont fait déloger
Fabien Di Filippo, député de la Moselle, explique les conditions dans lesquelles se déroule actuellement le débat à l’Assemblée nationale sur le grand débat et
Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.
La vérité, c’est visiblement un truc qui travaille Emmanuel Macron et la Macronie.
La société turque a résisté et l’a prouvé dans les urnes.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.
Avec ce bric-à-brac, la chaîne publique va bientôt pouvoir monter un musée ou organiser un vide-greniers.
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 4 avril, l’article 3 de la proposition de loi « anti-casseurs », qui aurait permis aux préfets d’interdire à
L’espérance par le mensonge. Voilà dévoilé, en quelques mots, tout un mode de gouvernance.
Cette retraite chapeau est un pousse-au-crime qui va faire monter la colère de tous ceux qui ont trimé pendant tout une vie et ne perçoivent que mille euros, et souvent moins.
Le coût du grand débat a été révélé : il s’élève à douze millions d’euros. Encore une dépense inutile ? Eudes Baufreton réagit au micro
On comprend combien les parents désemparés sont des proies faciles pour les charlatans, coachs, rebouteux, hypnotiseurs et autres « patathérapeutes »…
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
La sidération à l’égard de l’islam est telle qu’elle empêche toute appréciation juste du phénomène.
Mais bon, allons-y pour un dernier femmage à Agnès Varda…
Parmi leurs exploits récents ? Le déploiement, sur le bâtiment de la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, d’une banderole réclamant que l’argent des Français aille aux Français et pas aux étrangers.
L’important, pour Julia, c’est de ne pas faire d’amalgame !
En attendant, Emmanuel Macron devrait clore sa tournée sur un feu d’artifice. La marque des grands artistes, n’est-il pas ?
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Mgr Éric de Moulins-Beaufort vient d’être élu à la présidence de la Conférence des évêques de France, dans un contexte de crise et de pression.
L’association Osez le féminisme ! a voulu, dans un tweet, « rendre femmage » à la cinéaste Agnès Varda. Pas question d’« hommage », dont l’étymologie est sans doute trop virile.
Le pouvoir tire à hue et à dia, chacun des ministres ayant sa propre idée qu’il développe dans les médias dans une cacophonie assourdissante.
Voilà le vrai problème, là où le bât blesse. L’armée française est restée trop catholique et pas assez diverse aux yeux du politique.
Unplanned, un film pro-vie, a entraîné une campagne d’intimidation aux États-Unis de plusieurs mois, avec boycott et sanction, menée par des activistes de gauche.
Nos responsables politiques n’ont peut-être pas mesuré toutes les conséquences de leur « insincérité » avouée.
C’est le culte catholique qui doit disparaître. Criminel ou purificateur, il y a le feu à l’Église.
Quel est le sens du projet visant à réduire drastiquement le nombre de fonctionnaires ?
Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l’a de moins en moins incarnée.
Boulevard Voltaire s’est rendu à l’Assemblée nationale pour l’ouverture du grand débat des députés. Des gilets jaunes dits « constituants » s’en sont fait déloger
Fabien Di Filippo, député de la Moselle, explique les conditions dans lesquelles se déroule actuellement le débat à l’Assemblée nationale sur le grand débat et
Ils servent deux fois : parce que médecins et parce que militaires.
La vérité, c’est visiblement un truc qui travaille Emmanuel Macron et la Macronie.
La société turque a résisté et l’a prouvé dans les urnes.
Comme quoi, en la matière, la République peut se montrer aussi intransigeante que le comte de Chambord.