À l’aube des grands affrontements, l’État macronien ne peut plus se contenter de mettre le couvercle sur la marmite.
Pour Boulevard Voltaire, Guillaume Bernard analyse la tourmente politique affrontée par le gouvernement, avec le mouvement des gilets jaunes. Il évoque également les issues possibles
Les moines de l’abbaye du Barroux cultivent la vigne depuis leur installation au piémont du Ventoux au début des années 1980. Leur travail patient sur
Le gouvernement possède-t-il des informations sûres ? Joue-t-il la dramatisation pour dissuader les manifestants de se rendre à Paris et dégager sa responsabilité au cas où se produiraient vraiment des incidents tragiques ?
En pleine crise politique à la suite du mouvement des gilets jaunes, le Premier ministre Édouard Philippe s’est exprimé, ce jeudi après-midi, devant le Sénat.
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
Alors qu’on ne cesse de dénoncer la suppression des services publics dans la France « périphérique », c’est un très mauvais signal envoyé à la population.
Le porte-avions va, en réalité, se transformer en « représentant de commerce » au profit des lobbys de l’armement et au détriment de nos forces engagées sur des théâtres d’opérations.
Elle n’est pas de la caste. Pire : une actrice populaire, plus souvent épinglée dans les cabines des camionneurs du Middle West qu’à la liste des Oscars®.
Les crèches sont de retour ! Dans les écoles et dans les lieux publics ! « Fake news ». C’est à Trente que cela se passe…
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.
Dès ses premiers mots, c’est la naïveté évidente avec laquelle la manifestation du 1er décembre avait été envisagée qui ne peut que surprendre.
La caméra de Boulevard Voltaire s’est rendue devant l’Assemblée nationale, pendant le discours du Premier ministre, Édouard Philippe, pour recueillir des réactions. Celle de Paul-Marie
Tout dernièrement, Éric Zemmour s’est montré favorable aux revendications fiscales, mais pas sociales, des gilets jaunes.
L’an passé, l’essentiel des débats consistait à savoir s’il fallait ou non autoriser les crèches dans les lieux publics. C’était le bon temps, finalement. Cette année, c’est quasiment la guerre civile.
Le syndicat de police Vigi appelle à la grève à partir de samedi. Ce mouvement concerne les personnels administratifs et techniques car les personnels actifs
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
Le président de la République sait qu’un danger de débordements représente, en réalité, une occasion unique, pour lui, d’apparaître dans quelques jours comme le garant de l’ordre.
Réaction de Marine Le Pen au discours d’Édouard Philippe, mercredi après-midi, à l’Assemblée nationale. Celle qui, en tant que députée non inscrite, n’a pas eu
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…
L’acte IV des manifestations de gilets jaunes, le 8 décembre, doit donc impérativement cibler le funeste projet de Marrakech…
Le rôle du pouvoir est non pas d’empêcher cette expression, ni de l’arrêter à tout prix, mais de respecter cette parole maladroite et éruptive.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.
Ce pacte, c’est en quelque sorte un appel à changer l’humanité en détruisant les nations à l’horizon des siècles à venir.
La grande force des « indigènes » est d’avoir su trouver leur place dans le logiciel intellectuel de la gauche française, et notamment de ses « élites » universitaires.
À l’aube des grands affrontements, l’État macronien ne peut plus se contenter de mettre le couvercle sur la marmite.
Pour Boulevard Voltaire, Guillaume Bernard analyse la tourmente politique affrontée par le gouvernement, avec le mouvement des gilets jaunes. Il évoque également les issues possibles
Les moines de l’abbaye du Barroux cultivent la vigne depuis leur installation au piémont du Ventoux au début des années 1980. Leur travail patient sur
Le gouvernement possède-t-il des informations sûres ? Joue-t-il la dramatisation pour dissuader les manifestants de se rendre à Paris et dégager sa responsabilité au cas où se produiraient vraiment des incidents tragiques ?
En pleine crise politique à la suite du mouvement des gilets jaunes, le Premier ministre Édouard Philippe s’est exprimé, ce jeudi après-midi, devant le Sénat.
Le piège, pour les gilets jaunes, serait d’être récupérés par les revendications sociales tous azimuts et de vouloir faire de la France une deuxième Italie.
Alors qu’on ne cesse de dénoncer la suppression des services publics dans la France « périphérique », c’est un très mauvais signal envoyé à la population.
Le porte-avions va, en réalité, se transformer en « représentant de commerce » au profit des lobbys de l’armement et au détriment de nos forces engagées sur des théâtres d’opérations.
Elle n’est pas de la caste. Pire : une actrice populaire, plus souvent épinglée dans les cabines des camionneurs du Middle West qu’à la liste des Oscars®.
Les crèches sont de retour ! Dans les écoles et dans les lieux publics ! « Fake news ». C’est à Trente que cela se passe…
Il a lancé, le 3 décembre, un nouveau « club de réflexion ». Ça s’appelle Le Lieu. Le lieu où l’on pense, où l’on réfléchit.
Dès ses premiers mots, c’est la naïveté évidente avec laquelle la manifestation du 1er décembre avait été envisagée qui ne peut que surprendre.
La caméra de Boulevard Voltaire s’est rendue devant l’Assemblée nationale, pendant le discours du Premier ministre, Édouard Philippe, pour recueillir des réactions. Celle de Paul-Marie
Tout dernièrement, Éric Zemmour s’est montré favorable aux revendications fiscales, mais pas sociales, des gilets jaunes.
L’an passé, l’essentiel des débats consistait à savoir s’il fallait ou non autoriser les crèches dans les lieux publics. C’était le bon temps, finalement. Cette année, c’est quasiment la guerre civile.
Le syndicat de police Vigi appelle à la grève à partir de samedi. Ce mouvement concerne les personnels administratifs et techniques car les personnels actifs
Daniel Cohn-Bendit, le fer de lance de la contestation étudiante de Mai 68, exprime partout sa désolation…
Le président de la République sait qu’un danger de débordements représente, en réalité, une occasion unique, pour lui, d’apparaître dans quelques jours comme le garant de l’ordre.
Réaction de Marine Le Pen au discours d’Édouard Philippe, mercredi après-midi, à l’Assemblée nationale. Celle qui, en tant que députée non inscrite, n’a pas eu
Caramba, mauvaise pioche ! Cela ne pouvait plus mal tomber.
Celui qui avait la prétention d’incarner le retour de l’autorité de l’État à lui tout seul, aujourd’hui, en est réduit à appeler au secours ceux-là mêmes dont il avait programmé la fin…
L’acte IV des manifestations de gilets jaunes, le 8 décembre, doit donc impérativement cibler le funeste projet de Marrakech…
Le rôle du pouvoir est non pas d’empêcher cette expression, ni de l’arrêter à tout prix, mais de respecter cette parole maladroite et éruptive.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Les sondages de popularité parlent d’eux-mêmes : malgré la curée médiatique, l’un continue à tutoyer des sommets. Malgré le soutien médiatique, l’autre n’en finit plus de sombrer.
Ce pacte, c’est en quelque sorte un appel à changer l’humanité en détruisant les nations à l’horizon des siècles à venir.
La grande force des « indigènes » est d’avoir su trouver leur place dans le logiciel intellectuel de la gauche française, et notamment de ses « élites » universitaires.