Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.
La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.
L’Alsace pourra se donner enfin l’ambition d’être le laboratoire et le cœur européens de la France et de sa cousine germaine.
Et ce n’est pas la déclaration minimaliste du Vatican précisant que « le pape suit de près l’évolution de la situation » qui pourra faire taire les légitimes interrogations.
Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
L’Europe, l’ouverture à tout-va des frontières et la libre circulation des capitaux, un pur bonheur pour celui qui partout se sent chez lui.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.
On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…
Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Qui va financer le monstre ?
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences liées aux groupuscules d’extrême
Est-il un démocrate ou un « pseudo-démocrate » ?
Si la CEDH tranche en faveur de Meguimi, et de tous les autres derrière lui, les Français financeront la résidence surveillée de ce personnage jusqu’à la fin de ses jours.
Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
Par chance pour le gouvernement, le mécontentement des Françaises et des Français est protéiforme, ce qui évite que les manifestations ne s’agrègent, pour l’instant, en un soulèvement plus globalement radical.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Le problème de l’héritage n’est pas spécifiquement financier mais éminemment existentiel.
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Durant tout le temps qu’aura duré cette crise des gilets jaunes, son gouvernement a pris le soin de privilégier l’ordre avant toute chose. Il semble que cette politique ait payé.
Ne serait-il pas temps de suggérer au « grand débat » que la France libéralise enfin ses assurances sociales en permettant à tous les citoyens de cotiser à l’assureur de leur choix ?
Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
Quant aux États-Unis, c’est un village Potemkine de la prospérité économique hyper-endetté.
La bataille n’est plus celle du nombre. Désormais, la bataille est celle de l’image, de la communication et du récit.
L’Alsace pourra se donner enfin l’ambition d’être le laboratoire et le cœur européens de la France et de sa cousine germaine.
Et ce n’est pas la déclaration minimaliste du Vatican précisant que « le pape suit de près l’évolution de la situation » qui pourra faire taire les légitimes interrogations.
Ce projet est à l’image des ronds-points qui fleurissent partout pour des prix faramineux pendant que Stéphane Bern s’échine pour sauver notre patrimoine.
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Il est parvenu à transformer en une chance le grand débat national qui, sans les gilets jaunes, n’aurait jamais été instauré.
L’Europe, l’ouverture à tout-va des frontières et la libre circulation des capitaux, un pur bonheur pour celui qui partout se sent chez lui.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
De fait, il était peut-être le Français le plus connu à l’étranger, loin devant Charles Aznavour.
On devrait relire le dernier tome du Livre du Graal en prose, La Mort du roi Arthur. On y croise des fées et des vavasseurs…
Que Paris Match produise un tel article, avec un tel titre, en plein désordre social, montre à quel point ces gens vivent dans une bulle.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
Qui va financer le monstre ?
Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire sur la création d’une commission d’enquête parlementaire sur les violences liées aux groupuscules d’extrême
Est-il un démocrate ou un « pseudo-démocrate » ?
Si la CEDH tranche en faveur de Meguimi, et de tous les autres derrière lui, les Français financeront la résidence surveillée de ce personnage jusqu’à la fin de ses jours.
Face au nouveau péril jaune, Emmanuel Macron semble faire feu de tout bois…
Boulevard Voltaire donne la parole à Hervé Féron, maire de Tomblaine (54), qui avait interpellé Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux dans le cadre du
Par chance pour le gouvernement, le mécontentement des Françaises et des Français est protéiforme, ce qui évite que les manifestations ne s’agrègent, pour l’instant, en un soulèvement plus globalement radical.
Le parallélisme des formes ne serait donc pas le fort de la gauche ?
C’est un zélateur infatigable de sa propre religion.
Le problème de l’héritage n’est pas spécifiquement financier mais éminemment existentiel.
Ces jours-ci, les grands financiers de la planète sont rassemblés dans la très chic station de Davos, dans les Grisons suisses.
Durant tout le temps qu’aura duré cette crise des gilets jaunes, son gouvernement a pris le soin de privilégier l’ordre avant toute chose. Il semble que cette politique ait payé.
Ne serait-il pas temps de suggérer au « grand débat » que la France libéralise enfin ses assurances sociales en permettant à tous les citoyens de cotiser à l’assureur de leur choix ?
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