À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer. À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter. À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver.
Un « homophobe » est donc un hystérique à soigner par le redressement linguistique et législatif.
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Muriel Robin bout d’intervenir pour clouer le bec à ce fâcheux personnage de Charles Consigny qui refuse de chanter les louanges de la GPA.
Ségolène Royal a donc raison de trouver injuste le gouvernement. Elle est même trop modérée dans ses réprimandes. Mais elle a la mémoire bien courte, ou sélective.
Ainsi les dingueries y sont-elles devenues si banales que même leurs parodies y passent pour officielles.
Dimanche 21 octobre, une manifestation pour dénoncer les actes de violence à l’encontre des homosexuels était organisée à Paris. Le député Rassemblement national Sébastien Chenu
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Il n’y a donc pas deux poids deux mesures, mais trois…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
De toute façon, l’abbé Brel – comme l’appelait malicieusement Brassens – détestait les canonisations, fussent-elles posthumes.
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dimanche, le ministre de la Santé Agnès Buzyn annonçait qu’une enquête allait être relancée…
Et cela fait bien sourire – jaune – dans les salles des profs, surtout dans ces établissements où la violence est quotidienne.
…les chiffres de l’immigration, que Clément Viktorovitch brandit et manipule toujours avec l’exaltation de celui qui, seul, croit détenir la vérité.
Le grand krach de 1929 a commencé quand les actions s’évaluaient à 30 fois leurs gains annuels. Aujourd’hui, elles représentent presque 10 % de plus.
Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Dans un orchestre de cuivres, Emmanuel Macron joue du triangle.
On ne parle plus que de cela, urbi et orbi, sur tous les plateaux de télé ! Quel étrange hasard !
On aimerait la même ardeur et la même hargne pour l’appliquer, cette loi, contre des violeurs et des dealers ; or, cela ne dépend pas que de vous, évidemment, mais aussi des juges.
À force de tout supporter, l’on finit par tout tolérer. À force de tout tolérer, l’on finit par tout accepter. À force de tout accepter, l’on finit par tout approuver.
Un « homophobe » est donc un hystérique à soigner par le redressement linguistique et législatif.
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Muriel Robin bout d’intervenir pour clouer le bec à ce fâcheux personnage de Charles Consigny qui refuse de chanter les louanges de la GPA.
Ségolène Royal a donc raison de trouver injuste le gouvernement. Elle est même trop modérée dans ses réprimandes. Mais elle a la mémoire bien courte, ou sélective.
Ainsi les dingueries y sont-elles devenues si banales que même leurs parodies y passent pour officielles.
Dimanche 21 octobre, une manifestation pour dénoncer les actes de violence à l’encontre des homosexuels était organisée à Paris. Le député Rassemblement national Sébastien Chenu
Robert Ménard, fondateur de Reporters sans frontières, commente, pour Boulevard Voltaire, l’affaire Khashoggi, ce journaliste saoudien tué dans les locaux du consulat de son pays
Il n’y a donc pas deux poids deux mesures, mais trois…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
De toute façon, l’abbé Brel – comme l’appelait malicieusement Brassens – détestait les canonisations, fussent-elles posthumes.
Une journaliste livre, chez Laurent Delahousse, les résultats de son enquête et le titre pourrait en être celui d’une comédie de Shakespeare : beaucoup de bruit pour rien.
Dimanche, le ministre de la Santé Agnès Buzyn annonçait qu’une enquête allait être relancée…
Et cela fait bien sourire – jaune – dans les salles des profs, surtout dans ces établissements où la violence est quotidienne.
…les chiffres de l’immigration, que Clément Viktorovitch brandit et manipule toujours avec l’exaltation de celui qui, seul, croit détenir la vérité.
Le grand krach de 1929 a commencé quand les actions s’évaluaient à 30 fois leurs gains annuels. Aujourd’hui, elles représentent presque 10 % de plus.
Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
Plus la panique gagne les mondialistes destructeurs des peuples, plus ils basculent dans l’abracadabrant, moins les peuples y adhèrent.
Maintenant, on n’honore l’armée que quand on a besoin d’elle, comme d’un dépanneur en cas de panne.
Aussitôt atteint une marche, il faut viser la suivante.
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Cette fluidité est la marque de fabrique du macronisme : Macron n’est, en fait, qu’une jeune pousse des cabinets ministériels socialistes aux abois.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Dans un orchestre de cuivres, Emmanuel Macron joue du triangle.
On ne parle plus que de cela, urbi et orbi, sur tous les plateaux de télé ! Quel étrange hasard !
On aimerait la même ardeur et la même hargne pour l’appliquer, cette loi, contre des violeurs et des dealers ; or, cela ne dépend pas que de vous, évidemment, mais aussi des juges.