Attentat à la gare de Lyon : racisme anti-Blanc avéré

police-gendarmerie-les-retraites-tres-speciales-des-forces-de-l-ordre-1102684

Parmi toutes les attaques au couteau qui ensanglantent régulièrement la France, celle-ci avait particulièrement marqué les esprits. Il n’était pas encore 8 heures, ce samedi 3 février dernier, quand un homme muni d’une lame et d’un marteau s’en était pris à des voyageurs de la gare de Lyon. Trois personnes avaient été blesséesg dont une grièvement. L’assaillant avait finalement été maîtrisé par un agent de la sécurité SNCF et placé en garde à vue.

La haine de la France chevillée au corps

Immédiatement après l’attaque, plusieurs vidéos avaient refait surface sur les réseaux sociaux, dévoilant les motivations du Malien. « Je n'aime pas la France, je déteste tous les Français, affirmait-il notamment dans une séquence qu’il avait lui même tournée et postée sur TikTok. Les Français sont des menteurs, des voleurs, des manipulateurs, des criminels, des violeurs... »

Dans d'autres vidéos, il récitait, face caméra, la prose décoloniale en vogue dans les sphères indigénistes et sur certains campus universitaires : « Les Français m’ont privé de mon droit de vivre, c’est les Français qui m’ont ôté ma dignité. Ce sont les Français qui ont volé, [...] c’est les Français qui ont pris en otage mes grands-parents pour l’esclavage. C’est les Français qui ont forcé mes grands-parents à faire les travaux forcés pour pouvoir régler leurs comptes, leur économie. »

Les tentatives d’occultation médiatique

Très rapidement, les forces médiatiques d’occultation s’étaient mises en branle afin de cacher la nature raciste de ce qu’on pouvait déjà légitimement qualifier de tentative de « francocide ». On nous assura que le suspect souffrait, en réalité, de « troubles psychiatriques », que son état mental était « incompatible » avec toute mesure de contrainte, que la piste terroriste devait être écartée. Le Parisien se trouva soudainement des pudeurs de gazelle et qualifia les enregistrements violemment antifrançais du Malien de « vidéos troublantes ». Qu’en termes galants ces choses-là sont dites… Fidèle à sa tradition, l’audiovisuel public se mit en quatre pour cacher la réalité à ses usagers. L’état mental du criminel fut largement mis en avant, son contenu salafiste et ses motivations réelles furent mis sous le tapis.

Mais six mois plus tard, la visée raciste de l’attentat vient à nouveau d’être confirmée. Le dénommé Sagou K. s’est en effet confié sur ses motivations, lors d’un interrogatoire devant le magistrat datant du 12 juin dernier, rapporte Le Figaro. Sa cible y est clairement désignée : les « vrais Français ». « Les Français, ce sont les Blancs, dit-il. Un Français noir, pour moi, ce n’est pas un Français. » Assumant pleinement son attaque, l’homme regrette cependant de n’avoir pas pu mourir en martyr et craint d’avoir été incompris. « Mon ambition n’a pas été atteinte. Non seulement je suis en prison, mais je ne suis pas sûr que le message que je voulais faire passer » ait été entendu par l’État français…

Certains ont pourtant parfaitement saisi la nature raciste de son geste : le Malien a été mis en examen pour « tentative d’assassinat en raison de l’ethnie, la nation, la race ou la religion ». De quoi renvoyer à leurs chères études tous ceux qui nous jurent que « le racisme anti-Blanc, ça n’existe pas ».

 

Jean Kast
Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société

Vos commentaires

16 commentaires

  1. Avec ceux qui hurlent qu’ils doivent avoir le pouvoir, ce genre de personnage recevra des lauriers et pourra continuer tranquilou, pas de prison pour lui.

  2. Si je me sens mal à l’aise dans un pays ou une région, je pars. Les frontières sont ouvertes dans tous les sens, on ne retient pas ceux qui nous détestent.

  3. Tiens, rien vu dans la presse ce matin § Et où sont donc passés nos hordes d’anti-racistes ? de droits de l’hommistes professionnels ? Ces gôchos estiment peut-être que, comme il s’agit d’agressions visant des blancs, ce ne sont peut-être pas vraiment des agressions … Comme pour l’antiséminisitme, etc. Encore et toujours le privilège rouge ?

  4. Finalement ce pauvre garçon n’a pas eu de chance. Tout d’abord il a été interrompu dans son œuvre destructrice, ensuite il est présenté à un juge qui ne retient pas sa « faiblesse » mentale. C’est vraiment jouer de malchance et il doit être encore plus fermement convaincu que la France est mauvaise avec lui. Heureusement, il trouvera quelques reconforts avec la nouvelle assemblée dont certains membres partagent ses vues sur la France.

  5. ah mais c’est un nouveau pote pour Rocaya Diallo, elle qui clame jusqu’à s’en ridiculiser que le racisme  » anti blanc » n’existe pas ! marre de cette engeance, ils ne sont pas  » malade » ils sont tout à fait conscient de ce qu’ils disent et font, qu’il retourne au Mali puisque la France et les Blancs l’insupporte !

  6. Il fut depuis des dizaines d’années j’ai souvent dans mon activité été et vue le racisme anti blanc, c’est loin d’être nouveau. Des réunions interdites au blancs n’ont jamais émus qui que ce soit parmi nos responsables.

  7. Il y a un siècle, notamment en Allemagne, l’extrême gauche développait le racisme anti-juifs et plus généralement, anti-non-aryens.
    Un siècle plus tard, l’extrême gauche, toujours elle, fait renaître le racisme, aujourd’hui anti-juifs et anti-blancs. Ce racisme s’installe avec la tolérance du Pouvoir.

    • Il ne s’agit plus de tolérance mais de complicité toxique, vu la partialité appliquée. Le racisé est forcément victime alors que le blanc n’a aucun droit de l’être.

  8. Il a la tête de l’emploi. A renvoyer chez lui illico (avec les pieds dans une bassine de ciment). Mais avec le nouveau gouvernement, au contraire on le sortira de prison :(

  9. Je crains, vu le résultat des élections qu’il ne soit pas le seul à faire du racisme anti blanc. Pour une fois la justice est passée mais combien d’autres cas de ce genre ont été classé sans suite.
    Ceci dit je profite de cet espace pour parler de l’insécurité (ce matin lisez Actu 17) c’est effrayant. Le ministre de l’intérieur élu député et pas n’importe comment arrive de très peu en tête, devant un RN. Le 3e, loin derrière, est un LFIste qui se désiste et recommande de voter pour le ministre de l’Intérieur. Et ses électeurs LFIstes , partisans d’un parti proclamant que « la police tue » et qui demandent le désarmement de celle-ci, votent pour… un ministre de l’Intérieur, ministre des Forces de l’Ordre. Et ils en font un député il y a de quoi être révolté et écoeuré et encore plus quand j’ai entendu le ministre de l’intérieur dire au RN « si vous voulez plus d’autorité et de sécurité, je suis votre homme » Elu grâce aux voix des électeurs ELfistes il n’a vraiment honte de rien

  10. On en a combien, des comme lui, en France ? Biberonnés à la haine du blanc et des français en particulier ? Ils jouent de nos faiblesses, de nos lois, de nos politiques apeurés et ligotés par les instances européennes immigrationnistes et de journalistes qui savent tout et ne disent rien. Mais chut ! surtout, ne pas apporter de l’eau au moulin du RN… Juste des fleurs sur les tombes des victimes. Et surtout ! Votez bien !

  11. Il n’aime pas les blancs on le ramène chez lui illico. Ce racisme existe depuis longtemps mais ces élus refusent de l’admettre et le pire c’est que les électeurs les remettent au pouvoir . Et tant qu’ils seront au pouvoir rien ne changera . Et n’oublions pas de blâmer ceux qui se prétendent journalistes mais qui se gardent bien de publier ces faits très graves .

  12. Racisme anti-blanc avéré? Et alors, cela change quoi ? les premiers concernés baissent la tête et continuent leur chemin « en s’excusant déjà de n’être pas plus loin  » (Brel, les vieux) et voteront aux prochaines élections, bien conformément aux consignes du camp du Bien.

Commentaires fermés.

Pour ne rien rater

Les plus lus du jour

L'intervention média

Les plus lus de la semaine

Les plus lus du mois