Le mot qui résume tout, c’est celui de déception.
Les populistes n’ont pas encore l’habitude du pouvoir. Ils pensent, en général, que l’on a gagné quand on arrive au pouvoir, alors que c’est seulement à ce moment-là que les choses sérieuses commencent.
Il ne faut pas dire que la liberté d’expression est menacée dans notre pays. Elle n’est pas menacée, elle a disparu.
La future majorité anti-Macron n’est pas à rechercher « à droite » mais dans l’ensemble du peuple français aujourd’hui confronté au double problème de l’immigration et de la politique d’austérité…
Bien entendu, l’absence de parité n’est présentée comme choquante que là où elle s’exerce au bénéfice des hommes…
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
Il s’agit d’abord de faire apparaître toute critique, même modérée, de l’islam comme moralement insupportable, politiquement odieuse et pénalement répréhensible.
Ces gens-là sont incorrigibles : ils n’ont pas compris qu’ils vont connaître le sort du PS parce que le monde des vieux partis est en train de disparaître.
Le chef de l’État a eu tort de prendre les Français pour des mougeons (moitié moutons, moitié pigeons).
« Les dirigeants de la classe politique qui nous gouverne ont eu peur. Et ils ont eu peur physiquement. Et ça, je crois qu’ils ne le pardonneront jamais. »
Si Emmanuel Macron va jusqu’au bout de son projet, on sait par avance qu’il y a des sujets qui ne seront pas soumis aux Français, à commencer par l’immigration.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…
En fait, les États-Unis sont un pays virtuellement en faillite, qui ne peut plus survivre qu’en s’endettant à un rythme de plus en plus rapide.
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !
La France, depuis une dizaine de jours, vit à l’heure des gilets jaunes, et les commentaires sont déjà nombreux. Feu de paille ou vague de
Dix milliardaires, marchands d’armes, banquiers, représentants de l’industrie du luxe ou du bâtiment possèdent, à eux seuls, 89,9 % des quotidiens nationaux.
Les sanctions de Donald Trump contre Téhéran, par exemple, visent aussi les puissances européennes qui continuent à commercer avec l’Iran…
L’écologie n’est pas un discours décoratif, pas plus que la nature n’est le simple décor de nos existences. C’est la condition systémique du maintien de la vie.
L’immense majorité des prénoms portés en France n’ont rien de spécifiquement français.
On a un peu vite oublié que Karl Marx condamnait déjà la concurrence déloyale que représentaient les travailleurs immigrés pour le prolétariat autochtone.
Je crois qu’il faut conserver le souvenir du passé, mais la commémorationnite m’ennuie, surtout quand il s’agit de Mai 68.
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
Les gens ne supportent tout simplement plus ce qu’ils perçoivent comme une « invasion » ou une « submersion »…
Les excès de certains animalistes sont aussi grotesque que sont monstrueux et criminels les agissements ceux qui maltraitent (ou abandonnent) les animaux.
Aujourd’hui, on peut aimer les vieillards bien qu’ils soient des vieillards, mais il est très rare qu’on les respecte parce qu’ils sont des vieillards.
La famille est un invariant, mais ses formes sont innombrables.
Cette histoire n’a été médiatisée que dans l’espoir d’établir une fausse symétrie entre le terrorisme islamiste et les projets fumeux de quelques conspirateurs d’opérette.
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
Le mot qui résume tout, c’est celui de déception.
Les populistes n’ont pas encore l’habitude du pouvoir. Ils pensent, en général, que l’on a gagné quand on arrive au pouvoir, alors que c’est seulement à ce moment-là que les choses sérieuses commencent.
Il ne faut pas dire que la liberté d’expression est menacée dans notre pays. Elle n’est pas menacée, elle a disparu.
La future majorité anti-Macron n’est pas à rechercher « à droite » mais dans l’ensemble du peuple français aujourd’hui confronté au double problème de l’immigration et de la politique d’austérité…
Bien entendu, l’absence de parité n’est présentée comme choquante que là où elle s’exerce au bénéfice des hommes…
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
Il s’agit d’abord de faire apparaître toute critique, même modérée, de l’islam comme moralement insupportable, politiquement odieuse et pénalement répréhensible.
Ces gens-là sont incorrigibles : ils n’ont pas compris qu’ils vont connaître le sort du PS parce que le monde des vieux partis est en train de disparaître.
Le chef de l’État a eu tort de prendre les Français pour des mougeons (moitié moutons, moitié pigeons).
« Les dirigeants de la classe politique qui nous gouverne ont eu peur. Et ils ont eu peur physiquement. Et ça, je crois qu’ils ne le pardonneront jamais. »
Si Emmanuel Macron va jusqu’au bout de son projet, on sait par avance qu’il y a des sujets qui ne seront pas soumis aux Français, à commencer par l’immigration.
Les gilets jaunes ne doivent surtout pas présenter de listes aux européennes, ce qui ne manquerait pas d’affaiblir l’opposition. Ils doivent rester insaisissables…
En fait, les États-Unis sont un pays virtuellement en faillite, qui ne peut plus survivre qu’en s’endettant à un rythme de plus en plus rapide.
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !
La France, depuis une dizaine de jours, vit à l’heure des gilets jaunes, et les commentaires sont déjà nombreux. Feu de paille ou vague de
Dix milliardaires, marchands d’armes, banquiers, représentants de l’industrie du luxe ou du bâtiment possèdent, à eux seuls, 89,9 % des quotidiens nationaux.
Les sanctions de Donald Trump contre Téhéran, par exemple, visent aussi les puissances européennes qui continuent à commercer avec l’Iran…
L’écologie n’est pas un discours décoratif, pas plus que la nature n’est le simple décor de nos existences. C’est la condition systémique du maintien de la vie.
L’immense majorité des prénoms portés en France n’ont rien de spécifiquement français.
On a un peu vite oublié que Karl Marx condamnait déjà la concurrence déloyale que représentaient les travailleurs immigrés pour le prolétariat autochtone.
Je crois qu’il faut conserver le souvenir du passé, mais la commémorationnite m’ennuie, surtout quand il s’agit de Mai 68.
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
Les gens ne supportent tout simplement plus ce qu’ils perçoivent comme une « invasion » ou une « submersion »…
Les excès de certains animalistes sont aussi grotesque que sont monstrueux et criminels les agissements ceux qui maltraitent (ou abandonnent) les animaux.
Aujourd’hui, on peut aimer les vieillards bien qu’ils soient des vieillards, mais il est très rare qu’on les respecte parce qu’ils sont des vieillards.
La famille est un invariant, mais ses formes sont innombrables.
Cette histoire n’a été médiatisée que dans l’espoir d’établir une fausse symétrie entre le terrorisme islamiste et les projets fumeux de quelques conspirateurs d’opérette.
L’idéal sioniste se solde à la fois par un succès et un échec.
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