
Des cadres s’agacent du wokisme de la banque qui vient de recruter l’ancien secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler

« On retrouvait cette œuvre majeure chez des revendeurs, à prix d’or », assure Libé. Buffet « végé-féministe » à volonté.

La gauche désespère mais ses téléspectateurs, fervents masochistes, en redemandent… Vite, un psy d’extrême gauche !

Pas si mauvais, franchement, le bilan de Fogiel, si… CNews n’existait pas. Mais voilà, CNews existe… et agace Macron.

Motif de la rupture : le Parti populaire veut accueillir dans les régions espagnoles 347 mineurs non-accompagnés.

La station du groupe Bolloré, qui a mis en place de nombreuses synergies avec CNews, poursuit sa remontée.

Ils ont croisé Marion Maréchal lors d’une conférence à Limoges. Elle a inspiré une chanson.

Aujourd’hui, face à la menace judiciaire et économique, Vianney d’Alançon en appelle aux politiques…

Décidément, à BV, on est d’accord avec Aymeric Caron : Bolloré et ses médias sont très inquiétants.

On attrape les pop-corn, on se cale devant la télé pour le match. L’année commence bien !

Ce sursaut a de quoi inquiéter les innombrables critiques, à gauche, de l’affreuse « ligne Bolloré ».

Le 20 h de Ruquier, la nouvelle émission de BFM TV, vire au fiasco et reste loin de L’Heure des pros, sur CNews.

France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.

L’Arcom a de grands desseins. Pas celui de l’information la plus exigeante sur l’état réel de la France, non, rassurez-vous.

Les médias publics sont en grève. Ça nous fait des vacances. Pourvu que cela dure, et longtemps !
Le constat qui ressort de ce document est clair : l’immigration est hors de contrôle en France.

La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.

Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).

Cette entreprise de salissure n’efface pas la réalité. Celle d’une opinion qui a basculé : sur les sujets essentiels de l’immigration et de la souveraineté, la France de Zemmour, Le Pen et Ciotti est majoritaire.

La presse sort les poubelles.

Un Président si occupé à tripatouiller dans les médias de son pays, prenant ses administrés pour des moutons bêlants et dictant ses volontés aux milliardaires pour assurer sa réélection, c’est inimaginable en France.

Près de deux Français sur trois considèrent que les journalistes, l’une des professions les plus détestées de France, ne résistent pas aux pressions des partis politiques et du pouvoir !

Le hasard n’explique rien : il y a, derrière ces drames, une longue lignée de responsables.

Quand Zemmour parle et fait parler, c’est le signe que la démocratie est en forme, qu’elle débat, qu’elle s’engueule, qu’elle vit.

Le réflexe de l’éditorialiste du Monde appartient à un passé qui ne reviendra pas !

Des cadres s’agacent du wokisme de la banque qui vient de recruter l’ancien secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler

« On retrouvait cette œuvre majeure chez des revendeurs, à prix d’or », assure Libé. Buffet « végé-féministe » à volonté.

La gauche désespère mais ses téléspectateurs, fervents masochistes, en redemandent… Vite, un psy d’extrême gauche !

Pas si mauvais, franchement, le bilan de Fogiel, si… CNews n’existait pas. Mais voilà, CNews existe… et agace Macron.

Motif de la rupture : le Parti populaire veut accueillir dans les régions espagnoles 347 mineurs non-accompagnés.

La station du groupe Bolloré, qui a mis en place de nombreuses synergies avec CNews, poursuit sa remontée.

Ils ont croisé Marion Maréchal lors d’une conférence à Limoges. Elle a inspiré une chanson.

Aujourd’hui, face à la menace judiciaire et économique, Vianney d’Alançon en appelle aux politiques…

Décidément, à BV, on est d’accord avec Aymeric Caron : Bolloré et ses médias sont très inquiétants.

On attrape les pop-corn, on se cale devant la télé pour le match. L’année commence bien !

Ce sursaut a de quoi inquiéter les innombrables critiques, à gauche, de l’affreuse « ligne Bolloré ».

Le 20 h de Ruquier, la nouvelle émission de BFM TV, vire au fiasco et reste loin de L’Heure des pros, sur CNews.

France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.

L’Arcom a de grands desseins. Pas celui de l’information la plus exigeante sur l’état réel de la France, non, rassurez-vous.

Les médias publics sont en grève. Ça nous fait des vacances. Pourvu que cela dure, et longtemps !
Le constat qui ressort de ce document est clair : l’immigration est hors de contrôle en France.

La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.

Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).

Cette entreprise de salissure n’efface pas la réalité. Celle d’une opinion qui a basculé : sur les sujets essentiels de l’immigration et de la souveraineté, la France de Zemmour, Le Pen et Ciotti est majoritaire.

La presse sort les poubelles.

Un Président si occupé à tripatouiller dans les médias de son pays, prenant ses administrés pour des moutons bêlants et dictant ses volontés aux milliardaires pour assurer sa réélection, c’est inimaginable en France.

Près de deux Français sur trois considèrent que les journalistes, l’une des professions les plus détestées de France, ne résistent pas aux pressions des partis politiques et du pouvoir !

Le hasard n’explique rien : il y a, derrière ces drames, une longue lignée de responsables.

Quand Zemmour parle et fait parler, c’est le signe que la démocratie est en forme, qu’elle débat, qu’elle s’engueule, qu’elle vit.

Le réflexe de l’éditorialiste du Monde appartient à un passé qui ne reviendra pas !
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