Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Une chose est sûre : on sait que l’on ne sait rien !
Trump a sorti le 26 septembre une liste noire d’entreprises et d’individus accusés d’alimenter le programme nucléaire de Pyongyang.
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Son taux d’opinion favorable est de 30% (NBC). Et les démocrates ne voient pas la tournée promotionnelle de son livre d’un bon œil.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.
Le site pro-russe Strategic Culture Foundation estimait, le 17 juillet, que les États-Unis préparent une intervention contre l’Iran.
La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.
Washington rugit depuis 48 heures sur le « scandale Donald Trump junior », à contre-courant de l’opinion prévalant au « pays réel ».
Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…
A Varsovie, Trump a présenté un plan « quasi-Spenglérien » : redéfinir l’Europe et l’Occident.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.
On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.
Les républicains se révoltent-ils en masse ? Niet…
Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre.
Monsieur Khan a estimé qu’il fallait annuler la prochaine visite officielle de Trump en Angleterre.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
Il tente d’isoler le Hamas et d’acheter un renversement d’alliance de la part des Palestiniens.
Le Saint-Père a impressionné Trump. Ce dernier lui a lancé, au moment du départ : « Je n’oublierai jamais ce que vous m’avez dit. »
Trump est toujours assiégé. La machine infernale judiciaire est lancée.
Une chose est sûre : on sait que l’on ne sait rien !
Trump a sorti le 26 septembre une liste noire d’entreprises et d’individus accusés d’alimenter le programme nucléaire de Pyongyang.
Trump a fustigé les « joueurs-millionnaires » au cours d’un flamboyant discours tenu en Alabama la semaine dernière.
Son discours reste dans la continuité directe de ceux de George W. Bush : la composante messianique reste la même.
Son taux d’opinion favorable est de 30% (NBC). Et les démocrates ne voient pas la tournée promotionnelle de son livre d’un bon œil.
Trump sait que l’establishment républicain veut se faire réélire en 2018, tout en empêchant le président de gagner un deuxième mandat en 2020.
Poussant ses adversaires à la faute, feignant l’incompétence, voire le dérangement mental, il organise le chaos afin de brouiller les pistes.
Les dix derniers jours de juillet ont été fertiles en contre-attaques trumpiennes, suivies de rebondissements intéressants.
Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…
Le « parti universel » dirige aujourd’hui la ploutocratie américaine…
Le président a décidé d’employer un « tueur »…
Le président, blessé, tente de délégitimer le procureur spécial Mueller avant de reprendre les commandes… en jouant de sa seule arme disponible : le peuple.
Le site pro-russe Strategic Culture Foundation estimait, le 17 juillet, que les États-Unis préparent une intervention contre l’Iran.
La présence de Trump au défilé du 14 Juillet n’a pas fait l’objet d’une grande couverture médiatique.
Washington rugit depuis 48 heures sur le « scandale Donald Trump junior », à contre-courant de l’opinion prévalant au « pays réel ».
Il semble que le congrès républicain, qui a saboté le programme de Trump en feignant de le soutenir, s’organise désormais pour une présidence Pence…
A Varsovie, Trump a présenté un plan « quasi-Spenglérien » : redéfinir l’Europe et l’Occident.
Et les journalistes de pleurer pour leur sécurité, dans l’angoisse de voir un déséquilibré les attaquer physiquement.
Fort de ses cent millions de suiveurs sur les médias sociaux, dont une moitié de supporters inconditionnels, le twitteur-en-chef brouille et désacralise.
Trump semble bénéficier d’un meilleur alignement astral : les républicains viennent de gagner cinq élections partielles à la suite.
On en est maintenant à la phase « finale » dans la guerre entre Trump et les néocons, le « deep state » et le procureur spécial Mueller.
Les républicains se révoltent-ils en masse ? Niet…
Trump fait, depuis novembre, l’objet d’une campagne de déshumanisation. Le passage à l’acte était à attendre.
Monsieur Khan a estimé qu’il fallait annuler la prochaine visite officielle de Trump en Angleterre.
Comme prévu, l’équipe de communication de Trump a été mauvaise.
Il tente d’isoler le Hamas et d’acheter un renversement d’alliance de la part des Palestiniens.
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