
Tout cela peut être discuté, mais c’est ainsi que les Russes voient leur Histoire et Poutine sait bien que l’aspect mémoriel de sa présidence est important pour le peuple russe…

Plusieurs pays arabes ont en effet manifesté le souhait de réintégrer la Syrie dans certaines instances.

Tous les acteurs jouent leur partition, même l’Europe qui, comme d’habitude, ne sert à rien.

La marche de l’islamo-nationalisme orchestrée par Erdogan s’appuie donc maintenant sur une technologie militaire haut de gamme.

La Biélorussie est déjà sous sanctions et l’Europe, au lieu d’ouvrir le dialogue avec Loukachenko, menace de les renforcer.

Le crime le plus emblématique fut la décapitation publique du directeur des antiquités de Palmyre, Khaled al-Asaad, le 18 août 2015. Il avait 83 ans et son corps, pendu par les bras, resta longtemps exposé.

On construit donc encore des églises en Syrie et ces hommes n’ont aucunement l’intention de partir vers les chimères de l’Occident.

Des 300.000 chrétiens, il n’en reste plus que 30.000. Ruinés, pour la plupart. Alep est donc perdue ?

Nous croisons un groupe de Syriennes qui redescend. L’une d’elles nous lance : « Quel bonheur d’entendre à nouveau parler français ici ! »

En arrivant dans la capitale syrienne, à l’animation incessante, à la circulation dense et fantaisiste digne de Beyrouth ou d’Amann, le voyageur ne semble pas entrer dans un pays en guerre.

Au Panthéon des fossoyeurs de l’Occident chrétien, la gentille Mutti figurera en bonne place.

L’armée française a, une fois de plus, démontré son efficacité et son professionnalisme, mais elle est bien seule, dans cette immense zone.

En attendant, l’islamisme continue sa progression implacable et l’Europe occidentale, avec des dirigeants aveugles et veules, se retrouve en première ligne.

Le cycle se termine comme il a commencé : avec panache.

Nikos Kazantzaki est le plus célèbre écrivain grec du XXe siècle. Ses romans, dont le fameux Alexis Zorba, constituent une vaste fresque du monde hellénistique moderne.

L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.

L’opinion publique américaine est lassée des interventions extérieures multiples, coûteuses et calamiteuses qui ont dominé la politique américaine des dernières décennies…

Une énorme masse rocheuse s’est détachée et a tout englouti, hommes, bêtes et chalets. La pimpante Derborence n’est plus qu’un gouffre recouvert d’un amas de pierre.

Les Américains ont construit une base, appelée Al-Tanf, au sud de la Syrie, en plein désert, le long de la frontière jordanienne.

George Eliot est une romancière majeure de ce si fécond XIXe siècle anglais. Son talent est éclatant tout au long des 700 pages de ce roman.

Dans cet univers de haine et de dénonciation, il faut survivre sans perdre son âme.

Des milliers de kilomètres avec l’angoisse d’être repris. Personne n’a fait cela auparavant.

À cette catastrophe s’ajoute la crise financière qui ruine une grande partie de la population.

Le lecteur passe un excellent moment à lire ce récit héroïque et touchant, dont on espère qu’il sera réédité.

Les Afghans se préparent au pire : l’instauration d’une république islamique qui scellera un nouveau fiasco américain.

Ce n’est pas « une odyssée féministe », comme l’a écrit démagogiquement John Irving, mais une odyssée féminine, ce qui n’est pas la même chose.

Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.

C’est le siège de la plus importante citadelle albanaise que nous raconte, avec une force incroyable, Ismaïl Kadaré sous forme romancée.

Tout cela peut être discuté, mais c’est ainsi que les Russes voient leur Histoire et Poutine sait bien que l’aspect mémoriel de sa présidence est important pour le peuple russe…

Plusieurs pays arabes ont en effet manifesté le souhait de réintégrer la Syrie dans certaines instances.

Tous les acteurs jouent leur partition, même l’Europe qui, comme d’habitude, ne sert à rien.

La marche de l’islamo-nationalisme orchestrée par Erdogan s’appuie donc maintenant sur une technologie militaire haut de gamme.

La Biélorussie est déjà sous sanctions et l’Europe, au lieu d’ouvrir le dialogue avec Loukachenko, menace de les renforcer.

Le crime le plus emblématique fut la décapitation publique du directeur des antiquités de Palmyre, Khaled al-Asaad, le 18 août 2015. Il avait 83 ans et son corps, pendu par les bras, resta longtemps exposé.

On construit donc encore des églises en Syrie et ces hommes n’ont aucunement l’intention de partir vers les chimères de l’Occident.

Des 300.000 chrétiens, il n’en reste plus que 30.000. Ruinés, pour la plupart. Alep est donc perdue ?

Nous croisons un groupe de Syriennes qui redescend. L’une d’elles nous lance : « Quel bonheur d’entendre à nouveau parler français ici ! »

En arrivant dans la capitale syrienne, à l’animation incessante, à la circulation dense et fantaisiste digne de Beyrouth ou d’Amann, le voyageur ne semble pas entrer dans un pays en guerre.

Au Panthéon des fossoyeurs de l’Occident chrétien, la gentille Mutti figurera en bonne place.

L’armée française a, une fois de plus, démontré son efficacité et son professionnalisme, mais elle est bien seule, dans cette immense zone.

En attendant, l’islamisme continue sa progression implacable et l’Europe occidentale, avec des dirigeants aveugles et veules, se retrouve en première ligne.

Le cycle se termine comme il a commencé : avec panache.

Nikos Kazantzaki est le plus célèbre écrivain grec du XXe siècle. Ses romans, dont le fameux Alexis Zorba, constituent une vaste fresque du monde hellénistique moderne.

L’Amérique s’est ridiculisée et son président joue encore les fiers-à-bras.

L’opinion publique américaine est lassée des interventions extérieures multiples, coûteuses et calamiteuses qui ont dominé la politique américaine des dernières décennies…

Une énorme masse rocheuse s’est détachée et a tout englouti, hommes, bêtes et chalets. La pimpante Derborence n’est plus qu’un gouffre recouvert d’un amas de pierre.

Les Américains ont construit une base, appelée Al-Tanf, au sud de la Syrie, en plein désert, le long de la frontière jordanienne.

George Eliot est une romancière majeure de ce si fécond XIXe siècle anglais. Son talent est éclatant tout au long des 700 pages de ce roman.

Dans cet univers de haine et de dénonciation, il faut survivre sans perdre son âme.

Des milliers de kilomètres avec l’angoisse d’être repris. Personne n’a fait cela auparavant.

À cette catastrophe s’ajoute la crise financière qui ruine une grande partie de la population.

Le lecteur passe un excellent moment à lire ce récit héroïque et touchant, dont on espère qu’il sera réédité.

Les Afghans se préparent au pire : l’instauration d’une république islamique qui scellera un nouveau fiasco américain.

Ce n’est pas « une odyssée féministe », comme l’a écrit démagogiquement John Irving, mais une odyssée féminine, ce qui n’est pas la même chose.

Une belle victoire pour la fin du règne de Merkel qui a clairement montré à l’Europe que l’on pouvait résister aux diktats américains.

C’est le siège de la plus importante citadelle albanaise que nous raconte, avec une force incroyable, Ismaïl Kadaré sous forme romancée.
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