
Elizabeth Goudge fut un des auteurs les plus lus en Angleterre pendant des décennies. Son style et sa profondeur en font un écrivain de grande valeur.

Ce qu’il y a de bien, avec les défaites programmées, c’est que l’on peut anticiper leurs conséquences.

Ce livre, récemment réédité, est un document rare. Il nous apprend beaucoup sur un épisode tragique de l’Histoire et l’on salue ces vaincues innocentes.

On se demande ce qu’ont organisé les Américains après vingt ans d’occupation et mille milliards de dollars dépensés.

Les phrases courent, comme Pierre Nioxe, et la rapidité du récit en rend la lecture très facile. Mais la leçon est plus profonde, et l’homme pressé est un peu l’homme moderne qui court vainement vers un but indéterminé.

C’est à cause du Mali que la France a lancé l’opération Barkhane en 2013. C’est à cause du Mali qu’elle risque d’y mettre fin.

Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.

Les Américains semblent si pressés de partir qu’ils ont avancé la date du rapatriement de leurs troupes du 11 septembre 2021 au 4 juillet.

Décidément, la guerre en Syrie, qui implique un nombre impressionnant de participants extérieurs, peut encore provoquer bien des surprises.

L’élection de Trump n’est pas le point de départ de la fracture américaine mais son évidente manifestation…

Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.

La liste est longue et assez internationale, mais on y retrouve les mêmes thèmes : genre, diversité, réfugiés, droits de l’homme.

La fiction des rebelles modérés et la réalité de ce que furent Daech ou le Front al-Nosra n’a pas servi de leçon aux Occidentaux.

Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.

Les États-Unis sont vent debout contre ce projet qui contrecarre leurs ambitions exportatrices de gaz de schiste.

Porté par les médias américains et européens, ses spectaculaires initiatives n’ont, disons-le clairement, aucune chance de menacer le pouvoir russe actuel.

Moscou surveille tout cela de très près, bien sûr, et fait preuve d’une grande prudence pour ne pas risquer un embrasement qui déstabiliserait ses marches du Sud.

Le sauvetage du Liban passe par un changement complet de la vie politique libanaise et l’on ne voit vraiment pas qui pourrait le mener.

Les agences de voyages souffrent particulièrement, en ce moment, et vous êtes nombreux à connaître l’engagement d’Odeia auprès des chrétiens d’Orient.

Le processus est toujours identique : pression maximale des réseaux woke sur le coupable qui finit par partir pour pouvoir retrouver une vie normale, et sur sa direction qui l’abandonne pour ne pas devoir partir elle aussi.
Cette fois, l’étau s’est resserré et ses anciens amis l’ont lâché.

Le monde a changé. La Russie existe à nouveau et la Chine menace la suprématie économique américaine. L’Europe pourrait émerger dans ce contexte, mais elle a choisi la paralysie, la lâcheté et la subversion migratoire, la condamnant au néant.

Au pouvoir depuis 2003, succédant à son père (l’Azerbaïdjan est une démocratie relative…), Aliyev s’est résolument tourné vers le pétrole.

La Russie a tranché.

Galvanisé par le très actif soutien turc, le président Aliev semble maintenant décidé à aller jusqu’au bout.

Il n’y a donc pas le choix, l’armée française doit rester si nous ne voulons pas, demain, nous réveiller avec Al-Qaïda au pouvoir au Mali ou au Burkina Faso.

Cet avertissement sans frais de Poutine à Erdoğan est le bienvenu, après un mois passé à tenter d’imposer un cessez-le-feu, sans succès.

La passivité russe laisse perplexe.

Elizabeth Goudge fut un des auteurs les plus lus en Angleterre pendant des décennies. Son style et sa profondeur en font un écrivain de grande valeur.

Ce qu’il y a de bien, avec les défaites programmées, c’est que l’on peut anticiper leurs conséquences.

Ce livre, récemment réédité, est un document rare. Il nous apprend beaucoup sur un épisode tragique de l’Histoire et l’on salue ces vaincues innocentes.

On se demande ce qu’ont organisé les Américains après vingt ans d’occupation et mille milliards de dollars dépensés.

Les phrases courent, comme Pierre Nioxe, et la rapidité du récit en rend la lecture très facile. Mais la leçon est plus profonde, et l’homme pressé est un peu l’homme moderne qui court vainement vers un but indéterminé.

C’est à cause du Mali que la France a lancé l’opération Barkhane en 2013. C’est à cause du Mali qu’elle risque d’y mettre fin.

Permettre la fin du chantier de Nord Stream 2, sauf retournement, est une concession majeure.

Les Américains semblent si pressés de partir qu’ils ont avancé la date du rapatriement de leurs troupes du 11 septembre 2021 au 4 juillet.

Décidément, la guerre en Syrie, qui implique un nombre impressionnant de participants extérieurs, peut encore provoquer bien des surprises.

L’élection de Trump n’est pas le point de départ de la fracture américaine mais son évidente manifestation…

Biden, qui reprochait son agressivité diplomatique à Trump, fait finalement la même chose que lui sur le plan commercial, les droits de l’homme en plus.

La liste est longue et assez internationale, mais on y retrouve les mêmes thèmes : genre, diversité, réfugiés, droits de l’homme.

La fiction des rebelles modérés et la réalité de ce que furent Daech ou le Front al-Nosra n’a pas servi de leçon aux Occidentaux.

Biden veut redonner à l’Amérique son rôle de gendarme du monde, se plaçant, à l’instar de Clinton ou de Bush, comme celui qui dit le bien ou le mal.

Les États-Unis sont vent debout contre ce projet qui contrecarre leurs ambitions exportatrices de gaz de schiste.

Porté par les médias américains et européens, ses spectaculaires initiatives n’ont, disons-le clairement, aucune chance de menacer le pouvoir russe actuel.

Moscou surveille tout cela de très près, bien sûr, et fait preuve d’une grande prudence pour ne pas risquer un embrasement qui déstabiliserait ses marches du Sud.

Le sauvetage du Liban passe par un changement complet de la vie politique libanaise et l’on ne voit vraiment pas qui pourrait le mener.

Les agences de voyages souffrent particulièrement, en ce moment, et vous êtes nombreux à connaître l’engagement d’Odeia auprès des chrétiens d’Orient.

Le processus est toujours identique : pression maximale des réseaux woke sur le coupable qui finit par partir pour pouvoir retrouver une vie normale, et sur sa direction qui l’abandonne pour ne pas devoir partir elle aussi.
Cette fois, l’étau s’est resserré et ses anciens amis l’ont lâché.

Le monde a changé. La Russie existe à nouveau et la Chine menace la suprématie économique américaine. L’Europe pourrait émerger dans ce contexte, mais elle a choisi la paralysie, la lâcheté et la subversion migratoire, la condamnant au néant.

Au pouvoir depuis 2003, succédant à son père (l’Azerbaïdjan est une démocratie relative…), Aliyev s’est résolument tourné vers le pétrole.

La Russie a tranché.

Galvanisé par le très actif soutien turc, le président Aliev semble maintenant décidé à aller jusqu’au bout.

Il n’y a donc pas le choix, l’armée française doit rester si nous ne voulons pas, demain, nous réveiller avec Al-Qaïda au pouvoir au Mali ou au Burkina Faso.

Cet avertissement sans frais de Poutine à Erdoğan est le bienvenu, après un mois passé à tenter d’imposer un cessez-le-feu, sans succès.

La passivité russe laisse perplexe.
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