
Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,

Après plus de trois mois d’offensive, l’armée syrienne vient de connaître sa première victoire significative dans la province d’Idleb, la dernière tenue par les islamistes.

Un matin, les Espagnols aperçoivent, à proximité de ces têtes de chevaux, le corps d’un homme dont le torse dépasse de la glace.

Après avoir échoué (de peu) en Syrie et en Irak, l’État islamique réussira-t-il en Afghanistan ?

Une délicieuse correspondance s’établit alors. Elle va durer vingt ans et les petites lettres échangées sont un régal d’humour.
À tout prendre, les Américains préfèrent organiser une passation avec le moins nocif des deux mouvements islamistes…

Son style est impeccable et sa satire de la tyrannie verte fort bien racontée, sur le ton léger d’une lecture très facile.

Le 4 mai 1897, alors que des centaines de personnes se pressaient à cette vente de bienfaisance, un incendie se déclara et fit plus de cent vingt victimes.

Michel Bernard nous fait partager sa passion pour Jeanne, et c’est un vrai moment de bonheur et d’émotion littéraire.

On peut se demander s’il va se trouver un homme politique en Europe pour engager une action résolue afin de mettre un terme à cette invraisemblable situation.

Découvrez Les Buddenbrook, c’est une belle promenade littéraire.

La majeure partie des islamistes combattants sont affiliés au groupe Hayat Tahrir al-Cham, successeur du Front al-Nosra, qui s’est imposé au détriment d’autres milices islamistes soutenues par Ankara.

Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

Cette nouvelle forme de terrorisme facile pourrait donner des idées aux islamistes de tout poil à travers le monde.

Les Américains sont, naturellement, très en colère et multiplient les pressions sur la Turquie pour la contraindre de renoncer à cette acquisition de haute valeur symbolique.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.

Cette fois, ça y est ! Depuis plus d’un an que les Syriens en rêvent et que les Russes en parlent, l’assaut contre la province d’Idlib a commencé.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

Le fléau du djihadisme n’en est qu’à ses débuts…

On se doute, en effet, que ces braves gens seront très à l’aise dans cet État fantoche, mi-mafieux mi-islamiste, né par la grâce des bombardements de l’OTAN en 1999…

Leur point commun ? Avoir servi Daech, autrement dit l’État islamique.
Les élections municipales qui viennent de se dérouler en Turquie marquent un tournant. Plusieurs grandes villes ont, en effet, été perdues par l’AKP, le parti d’Erdoğan, à commencer par Ankara et Istanbul.

Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.

De nombreuses zones d’ombre planent encore sur cette étrange bataille.

Le califat est mort, mais pas ses militants.

Cette piteuse fin de campagne montre toutes les limites de la stratégie américaine.

Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,

Après plus de trois mois d’offensive, l’armée syrienne vient de connaître sa première victoire significative dans la province d’Idleb, la dernière tenue par les islamistes.

Un matin, les Espagnols aperçoivent, à proximité de ces têtes de chevaux, le corps d’un homme dont le torse dépasse de la glace.

Après avoir échoué (de peu) en Syrie et en Irak, l’État islamique réussira-t-il en Afghanistan ?

Une délicieuse correspondance s’établit alors. Elle va durer vingt ans et les petites lettres échangées sont un régal d’humour.
À tout prendre, les Américains préfèrent organiser une passation avec le moins nocif des deux mouvements islamistes…

Son style est impeccable et sa satire de la tyrannie verte fort bien racontée, sur le ton léger d’une lecture très facile.

Le 4 mai 1897, alors que des centaines de personnes se pressaient à cette vente de bienfaisance, un incendie se déclara et fit plus de cent vingt victimes.

Michel Bernard nous fait partager sa passion pour Jeanne, et c’est un vrai moment de bonheur et d’émotion littéraire.

On peut se demander s’il va se trouver un homme politique en Europe pour engager une action résolue afin de mettre un terme à cette invraisemblable situation.

Découvrez Les Buddenbrook, c’est une belle promenade littéraire.

La majeure partie des islamistes combattants sont affiliés au groupe Hayat Tahrir al-Cham, successeur du Front al-Nosra, qui s’est imposé au détriment d’autres milices islamistes soutenues par Ankara.

Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

Cette nouvelle forme de terrorisme facile pourrait donner des idées aux islamistes de tout poil à travers le monde.

Les Américains sont, naturellement, très en colère et multiplient les pressions sur la Turquie pour la contraindre de renoncer à cette acquisition de haute valeur symbolique.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Après huit ans de guerre, les islamistes n’ont plus aucune chance de remporter la victoire militaire qu’ils convoitaient en Syrie.

Cette fois, ça y est ! Depuis plus d’un an que les Syriens en rêvent et que les Russes en parlent, l’assaut contre la province d’Idlib a commencé.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

Le fléau du djihadisme n’en est qu’à ses débuts…

On se doute, en effet, que ces braves gens seront très à l’aise dans cet État fantoche, mi-mafieux mi-islamiste, né par la grâce des bombardements de l’OTAN en 1999…

Leur point commun ? Avoir servi Daech, autrement dit l’État islamique.
Les élections municipales qui viennent de se dérouler en Turquie marquent un tournant. Plusieurs grandes villes ont, en effet, été perdues par l’AKP, le parti d’Erdoğan, à commencer par Ankara et Istanbul.

Trump a décidé de casser ces codes en vigueur depuis 1948.

De nombreuses zones d’ombre planent encore sur cette étrange bataille.

Le califat est mort, mais pas ses militants.

Cette piteuse fin de campagne montre toutes les limites de la stratégie américaine.
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