
…nous assistons aux premiers craquements de l’Empire, à la faiblesse de Nicolas II, à l’influence maléfique de Raspoutine.

Barjavel a longtemps été considéré, bien à tort, comme un auteur mineur.

Miklos Banffy est un merveilleux conteur, et il est surprenant qu’il ait fallu attendre 2010 pour la première traduction française de ce superbe roman.

En refermant les 1.100 pages des Vaincus, le lecteur sait qu’il vient de finir, à regret et bouleversé, un chef-d’œuvre.

Cette région est devenue, au fil des redditions, le réceptacle de tous les islamistes vaincus…

Dans l’Empire austro-hongrois déclinant, un vieux général vit reclus dans son château.

…mourir oui, mais en se battant !

Début 1943, le sergent Rigoni tient un avant-poste sur le Don…

Les Syriens et les Iraniens ont immédiatement accusé le Mossad israélien.

Le Finlandais Mika Waltari est un maître du roman historique. Il a aimé les civilisations disparues qu’il a fait revivre comme nul autre, en particulier

Ce roman historique commence par une procession de flagellants le Vendredi saint, à Séville. Pendant presque vingt pages, nous suivons ce spectacle magnifique et oppressant

Mais les temps ont changé. Lieberman, le ministre de la Défense israélien, vient de se réjouir du retour des institutions syriennes le long du Golan…

Rien n’est sûr, mais ce qui l’est, c’est qu’à quelques kilomètres de là, la base américaine d’Al Tanaf n’a jamais rien organisé contre les hommes de Daech.

C’est à la demande des États-Unis, du Canada, de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne que cette opération de sauvetage des Casques blancs a été organisée ; ils seront ensuite accueillis dans un de ces pays.

Il restera ensuite une inconnue de taille : le plateau du Golan.
Un long ballet diplomatique a précédé cette offensive. Il fallait en effet parler avec les Américains et les Israéliens afin de sonder leurs intentions.
Russie et Israël entretiennent de bonnes relations et Netanyahou a exposé très clairement ses revendications à Poutine
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Damas et sa banlieue sont donc entièrement libérées du fléau islamiste et ne craindront plus de régulières et meurtrières salves d’obus. C’est un tournant depuis 2012.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.

Poutine sait jouer aux échecs mais ne veut mettre personne mat, hormis les islamistes bien sûr.
L’État islamique constitue encore une menace.

Donc une centaine de missiles, le double de l’année dernière : une grosse dizaine pour les petits soldats français et anglais, le reste pour le boss.
Il y a tout de même de quoi se poser des questions…
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
On en sait un peu plus sur les méthodes de « gouvernement » des différentes milices islamistes.

…nous assistons aux premiers craquements de l’Empire, à la faiblesse de Nicolas II, à l’influence maléfique de Raspoutine.

Barjavel a longtemps été considéré, bien à tort, comme un auteur mineur.

Miklos Banffy est un merveilleux conteur, et il est surprenant qu’il ait fallu attendre 2010 pour la première traduction française de ce superbe roman.

En refermant les 1.100 pages des Vaincus, le lecteur sait qu’il vient de finir, à regret et bouleversé, un chef-d’œuvre.

Cette région est devenue, au fil des redditions, le réceptacle de tous les islamistes vaincus…

Dans l’Empire austro-hongrois déclinant, un vieux général vit reclus dans son château.

…mourir oui, mais en se battant !

Début 1943, le sergent Rigoni tient un avant-poste sur le Don…

Les Syriens et les Iraniens ont immédiatement accusé le Mossad israélien.

Le Finlandais Mika Waltari est un maître du roman historique. Il a aimé les civilisations disparues qu’il a fait revivre comme nul autre, en particulier

Ce roman historique commence par une procession de flagellants le Vendredi saint, à Séville. Pendant presque vingt pages, nous suivons ce spectacle magnifique et oppressant

Mais les temps ont changé. Lieberman, le ministre de la Défense israélien, vient de se réjouir du retour des institutions syriennes le long du Golan…

Rien n’est sûr, mais ce qui l’est, c’est qu’à quelques kilomètres de là, la base américaine d’Al Tanaf n’a jamais rien organisé contre les hommes de Daech.

C’est à la demande des États-Unis, du Canada, de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne que cette opération de sauvetage des Casques blancs a été organisée ; ils seront ensuite accueillis dans un de ces pays.

Il restera ensuite une inconnue de taille : le plateau du Golan.
Un long ballet diplomatique a précédé cette offensive. Il fallait en effet parler avec les Américains et les Israéliens afin de sonder leurs intentions.
Russie et Israël entretiennent de bonnes relations et Netanyahou a exposé très clairement ses revendications à Poutine
Le droit international ne compte donc pas et les États-Unis sont là pour y veiller, veto à l’ONU à l’appui en cas de besoin.
Damas et sa banlieue sont donc entièrement libérées du fléau islamiste et ne craindront plus de régulières et meurtrières salves d’obus. C’est un tournant depuis 2012.
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Israël, est à nouveau entré en scène. Tout en rappelant, comme d’habitude, que sa sécurité était en jeu, Benjamin Netanyahu a affirmé que l’Iran violait l’accord de 2015 et qu’il avait des preuves.

Poutine sait jouer aux échecs mais ne veut mettre personne mat, hormis les islamistes bien sûr.
L’État islamique constitue encore une menace.

Donc une centaine de missiles, le double de l’année dernière : une grosse dizaine pour les petits soldats français et anglais, le reste pour le boss.
Il y a tout de même de quoi se poser des questions…
Les Occidentaux sont prisonniers de leur rhétorique manichéenne. À force de répéter que Bachar est un monstre « qui massacre son propre peuple », aucun recul, aucune analyse objective ne sont possibles.
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
On en sait un peu plus sur les méthodes de « gouvernement » des différentes milices islamistes.
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