Nombre de familles se trouvent littéralement étranglées financièrement, le taux des impayés ne cessant d’augmenter, quand on ne menace pas les pensionnaires d’aller mourir ailleurs.
La grande ombre du nihilisme plane sur tous » reconnaît notre essayiste…
Les Français semblent, en effet, préférer vivre dans des endroits moins densément peuplés que les métropoles mondialisées…
Bref, si les authentiques zemmouriens n’apprendront rien de neuf sur leur idole, force est d’admettre qu’il est possible d’en parler, même pour un journaliste mainstream, sans haine ni acrimonie.
C’est dire que la lecture de cet ouvrage appelé à devenir un « classique » est capitale à l’heure des moments populistes illibéraux, en Hongrie, en Italie et ailleurs…
L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.
Avec Les Marchands de nouvelles, notre sémiologue avertie récidive dans son analyse critique des « médias autorisés », syntagme qu’elle définit
comme des médias « que l’on est autorisé à citer dans une revue de presse ».
Rendu de plus en plus inhomogène, le peuple se fragmente en communautés égotistes multiples.
En dépit de trois quarts des Français qui n’ont pas voté pour lui, le président de la République, tel un loup, n’hésite pas à montrer les crocs. Et si, pour une fois, les moutons mordaient ?
Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».
Arlésienne de l’histoire des idées, la « troisième voie », oscillant entre instrumentalisation partisane et slogan déclaratif, est aussi insaisissable qu’indéfinissable. À en croire la
Pasolini fait grief à l’antifascisme institutionnel de se parer des atours de la démocratie pour mieux occulter sa violence intrinsèque et autoritaire.
Jean Sévillia s’est, comme à son habitude, attelé à démêler le vrai du faux, le bon grain historique de la vérité de l’ivraie politique de la propagande.
Tels sont les délires appointés sur deniers publics de ces universitaires de gauche ayant l’oreille du pouvoir…
Près des deux tiers des moins de 35 ans craignent que le système par répartition soit tellement essoufflé qu’il ne puisse plus leur garantir un droit à pension minimum.
Dieu est mort et le selfie tue : telles sont les sinistres certitudes du temps…
Un réquisitoire en règle contre ce Capital qui arraisonne, déshumanise, transhumanise, post-humanise, donc réifie jusqu’à devenir soi-même cette marchandise que l’on croit acheter ou vendre
Il faut lire, relire et méditer les textes de Jean-Claude Michéa qui, le premier, a su démasquer l’imposture libérale-libertaire de cette gauche asocialiste qui a abandonné le peuple
Avec cet opus, Laurent Obertone clôt une trilogie du grand épuisement français.
C’est bien connu, l’argent n’a pas d’odeur et celui des pétro-monarques Al Thani, du nom de la famille régnante, encore moins.
L’auteur nous invite à musarder, au hasard des quelque 400 pages illustrées, dans le Paris des arts, des lettres, des truands, des putes et des grands buveurs.
Le moins que l’on puisse dire est que notre Rouletabille en jupon n’a pas froid aux yeux et ne manque pas d’un certain courage.
Le défunt Philippe Séguin avait coutume de dire, à propos des sondages, qu’ils sont à la démocratie, ce que l’amour vénal est à la romance.
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.
En chute dans les sondages, Jupiter-Macron se raccroche pitoyablement à toutes les branches qu’il trouve, quitte à instrumentaliser la souffrance des handicapés à des fins bassement politiciennes.
Les forces de l’ordre sont littéralement traînées dans la boue des cités racailleuses…
Selon le journaliste Mohamed Sifaoui qui a traduit la vidéo incriminée, « c’est un prêche antisémite de bout en bout, à vocation génocidaire ».
Il est vrai que, du côté des parangons autoproclamés de l’intelligence vertueuse, ça grinçait férocement des dents.
Nombre de familles se trouvent littéralement étranglées financièrement, le taux des impayés ne cessant d’augmenter, quand on ne menace pas les pensionnaires d’aller mourir ailleurs.
La grande ombre du nihilisme plane sur tous » reconnaît notre essayiste…
Les Français semblent, en effet, préférer vivre dans des endroits moins densément peuplés que les métropoles mondialisées…
Bref, si les authentiques zemmouriens n’apprendront rien de neuf sur leur idole, force est d’admettre qu’il est possible d’en parler, même pour un journaliste mainstream, sans haine ni acrimonie.
C’est dire que la lecture de cet ouvrage appelé à devenir un « classique » est capitale à l’heure des moments populistes illibéraux, en Hongrie, en Italie et ailleurs…
L’hommerie la plus crasse, aurait dit Montaigne.
Avec Les Marchands de nouvelles, notre sémiologue avertie récidive dans son analyse critique des « médias autorisés », syntagme qu’elle définit
comme des médias « que l’on est autorisé à citer dans une revue de presse ».
Rendu de plus en plus inhomogène, le peuple se fragmente en communautés égotistes multiples.
En dépit de trois quarts des Français qui n’ont pas voté pour lui, le président de la République, tel un loup, n’hésite pas à montrer les crocs. Et si, pour une fois, les moutons mordaient ?
Un obscur gratte-papier claironne urbi et orbi que, durant la « Grande Guerre [il y avait] plus de Mohamed que de Martin parmi les morts pour la France ».
Arlésienne de l’histoire des idées, la « troisième voie », oscillant entre instrumentalisation partisane et slogan déclaratif, est aussi insaisissable qu’indéfinissable. À en croire la
Pasolini fait grief à l’antifascisme institutionnel de se parer des atours de la démocratie pour mieux occulter sa violence intrinsèque et autoritaire.
Jean Sévillia s’est, comme à son habitude, attelé à démêler le vrai du faux, le bon grain historique de la vérité de l’ivraie politique de la propagande.
Tels sont les délires appointés sur deniers publics de ces universitaires de gauche ayant l’oreille du pouvoir…
Près des deux tiers des moins de 35 ans craignent que le système par répartition soit tellement essoufflé qu’il ne puisse plus leur garantir un droit à pension minimum.
Dieu est mort et le selfie tue : telles sont les sinistres certitudes du temps…
Un réquisitoire en règle contre ce Capital qui arraisonne, déshumanise, transhumanise, post-humanise, donc réifie jusqu’à devenir soi-même cette marchandise que l’on croit acheter ou vendre
Il faut lire, relire et méditer les textes de Jean-Claude Michéa qui, le premier, a su démasquer l’imposture libérale-libertaire de cette gauche asocialiste qui a abandonné le peuple
Avec cet opus, Laurent Obertone clôt une trilogie du grand épuisement français.
C’est bien connu, l’argent n’a pas d’odeur et celui des pétro-monarques Al Thani, du nom de la famille régnante, encore moins.
L’auteur nous invite à musarder, au hasard des quelque 400 pages illustrées, dans le Paris des arts, des lettres, des truands, des putes et des grands buveurs.
Le moins que l’on puisse dire est que notre Rouletabille en jupon n’a pas froid aux yeux et ne manque pas d’un certain courage.
Le défunt Philippe Séguin avait coutume de dire, à propos des sondages, qu’ils sont à la démocratie, ce que l’amour vénal est à la romance.
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.
En chute dans les sondages, Jupiter-Macron se raccroche pitoyablement à toutes les branches qu’il trouve, quitte à instrumentaliser la souffrance des handicapés à des fins bassement politiciennes.
Les forces de l’ordre sont littéralement traînées dans la boue des cités racailleuses…
Selon le journaliste Mohamed Sifaoui qui a traduit la vidéo incriminée, « c’est un prêche antisémite de bout en bout, à vocation génocidaire ».
Il est vrai que, du côté des parangons autoproclamés de l’intelligence vertueuse, ça grinçait férocement des dents.
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