Même si cette dignité est un droit statutaire, pour tous les chefs de gouvernement qui ont servi deux ans ou plus à leur poste, cette théâtralisation n’est pas anodine.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Tout ce qui est normal devient anormal. Orbán et ses Hongrois ont simplement rappelé que, quelque part dans le monde, les choses normales étaient normales.
Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…
On n’imagine pas Brad Pitt jouer Mandela, alors qu’on verra sans doute un jour Omar Sy en de Gaulle…
Le retour des militaires sur les Champs-Élysées s’accompagne d’un audacieux slogan. « Gagner l’avenir ».
Bonemine le méprise, le rabroue, l’humilie devant ses guerriers. Quand il lui annonce qu’il part à la guerre, elle lui demande de ne pas oublier le pain.
La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.
En fait, le plus intéressant (si on peut dire) dans les déclarations de cet artiste, c’est le fait que, selon lui, on ne devrait pas pouvoir voter pour le RN.
Coup de tonnerre dans la vie politique française.
Rien de mieux, pour cela, qu’un peu de régalien. C’est bien, ça, le régalien. On dit « régalien » sans y penser, ça fait gaullien, pays costaud, avec la bombe et tout.
On se demandait (ou pas) qui pourrait bien être l’auteur de la chanson accompagnant, comme il est de tradition, bien ancrée quoique récente, l’équipe de
À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
La droitisation a également touché notre pays, mais les Républicains n’y sont pour rien…
Moralité : votez LREM, et quand votre député en aura marre, c’est un siège vide qui vous représentera.
La gauche à la française mourut comme Mitterrand : dans une interminable agonie…
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.
On vendra un concept de « nouveau monde » en recyclant tous les vieux traîtres. Et ce sera reparti.
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
Vitaa, Camélia Jordana et Amel Bent se sont associées pour reprendre un classique de la lutte contre le mal : une chanson de Diam’s qui s’appelle « Marine »…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
La bêtise en appui de la haine : c’est à ce genre de petits indices qu’on reconnaît la marque des grands.
Entre la charte des droits de l’arbre et la statue de Louis 14, on a l’impression de vivre dans MCMLXXXIV…
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Eh bien, voilà. Ce n’était pas si compliqué.
Même si cette dignité est un droit statutaire, pour tous les chefs de gouvernement qui ont servi deux ans ou plus à leur poste, cette théâtralisation n’est pas anodine.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Tout ce qui est normal devient anormal. Orbán et ses Hongrois ont simplement rappelé que, quelque part dans le monde, les choses normales étaient normales.
Un peu partout, on pousse des cris d’orfraie. C’est la République qu’on gifle…
On n’imagine pas Brad Pitt jouer Mandela, alors qu’on verra sans doute un jour Omar Sy en de Gaulle…
Le retour des militaires sur les Champs-Élysées s’accompagne d’un audacieux slogan. « Gagner l’avenir ».
Bonemine le méprise, le rabroue, l’humilie devant ses guerriers. Quand il lui annonce qu’il part à la guerre, elle lui demande de ne pas oublier le pain.
La France aura montré son échec à la face du monde, laissera l’Afrique en plan, se débinera malgré des victoires tactiques.
En fait, le plus intéressant (si on peut dire) dans les déclarations de cet artiste, c’est le fait que, selon lui, on ne devrait pas pouvoir voter pour le RN.
Coup de tonnerre dans la vie politique française.
Rien de mieux, pour cela, qu’un peu de régalien. C’est bien, ça, le régalien. On dit « régalien » sans y penser, ça fait gaullien, pays costaud, avec la bombe et tout.
On se demandait (ou pas) qui pourrait bien être l’auteur de la chanson accompagnant, comme il est de tradition, bien ancrée quoique récente, l’équipe de
À quoi ressemblera la France de 2050 ? À ce que nous aurons fait, collectivement, et pas seulement d’un point de vue intellectuel ou économique.
La droitisation a également touché notre pays, mais les Républicains n’y sont pour rien…
Moralité : votez LREM, et quand votre député en aura marre, c’est un siège vide qui vous représentera.
La gauche à la française mourut comme Mitterrand : dans une interminable agonie…
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Pour faire barrage à la bête immonde, la gauche libertaire et la droite libérale (ou est-ce l’inverse ?) se sont alliées sous le ciel azuréen.
On vendra un concept de « nouveau monde » en recyclant tous les vieux traîtres. Et ce sera reparti.
Les recherches rigoureuses, le ton didactique mais jamais pédant, la vulgarisation brillante sont décidément à mettre au crédit de l’universitaire…
Vitaa, Camélia Jordana et Amel Bent se sont associées pour reprendre un classique de la lutte contre le mal : une chanson de Diam’s qui s’appelle « Marine »…
N’oublions pas ce que nous devons au monde grec, ce que nous avons modestement essayé de lui rendre il y a deux siècles, et la proximité que nous devons garder avec la Grèce.
La bêtise en appui de la haine : c’est à ce genre de petits indices qu’on reconnaît la marque des grands.
Entre la charte des droits de l’arbre et la statue de Louis 14, on a l’impression de vivre dans MCMLXXXIV…
Céline, dans Voyage au bout de la nuit, caractérisait la dépression comme le moment où l’on n’a « plus beaucoup de musique en soi pour faire danser la vie ». Repensons-y avant le couvre-feu.
Enthousiaste mais réservé, d’une culture encyclopédique, Bertrand Tavernier avait découvert le cinéma dans les années 50 avec Dernier Atout, de Jacques Becker, sorti en 1942.
Interrogé par BFM TV, Michel Sardou, dont on sait qu’il déteste son époque, s’est amusé des ridicules du jour. L’écriture inclusive, d’abord : « Essayez
Eh bien, voilà. Ce n’était pas si compliqué.
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