Arnaud Florac
Chroniqueur à BV
Diplomatie non alignée sur les outrances de Washington et alliance des droites : pas trop mal, pour un début.
Le moindre événement est désormais « à risque » en France, et l’État est bien le premier responsable de la situation.
Quand un candidat RN se désiste, il n’est pas étouffé par les remerciements.
Cet exemple sénégalais a le mérite d’illustrer parfaitement la dissonance cognitive de nos gauchistes français.
Pierre a demandé à l’équipe éducative du lycée de retirer tous les signes religieux. La direction a refusé.
Merci aux « chasseurs de Lorraine » de nous rappeler que tout n’est pas foutu !
Il ne reste qu’une option : la prospective catastrophiste sur les conséquences.
Il y a un an, la France a brûlé pendant huit jours.
Évidemment, comme on est dans une municipalité de gauche, ça n’a rien à voir avec la submersion migratoire.
Une flopée de diplomates met en garde contre le RN. Ont-ils vendu leur âme pour quelques Ferrero Rocher?
En politique, on est toujours le cloporte de quelqu’un.
Le communiqué des Scouts de France est à l’image de ce qu’est devenu le mouvement.
Le pays légal a défini les partis politiques en présence, d’une façon fort éloignée du ressenti du pays réel.
Tout le monde aura le bac : celui qui croyait à Weil, celui qui n’y croyait pas.
En racontant le parcours de la cosmonaute, l’émission se montre étonnamment complaisante avec le régime soviétique.
Au-delà du fond, il y a surtout un problème de neutralité, que rappelle la Fédération française de football
Les armées osent regarder les problèmes en face, et les traitent.
Voilà du courage politique.
Il n’y a plus guère que les gauchistes indécrottables et les casseurs estudiantins pour considérer que le RN est raciste
L’amertume particulière d’avoir abandonné le camp des perdants d’hier pour le camp des perdants d’aujourd’hui.
Mal nommer les choses est devenu une habitude, dans les cercles du pouvoir.
L’Histoire au présent est de la politique.
Ce n’est pas lui qui vote pour le RN, car malgré ses bandanas, son cuir et ses motos, il a toujours été un bourgeois.
Ce n’est pas rien, de passer une vitesse, dans la conflictualité vis-à-vis de la Russie.
De toutes façons, au point où elle en est…
Geneviève de Galard est cette héroïne qui, du jour au lendemain, retourna à l’anonymat, sereinement.
Une telle sincérité est bien tardive…
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
Diplomatie non alignée sur les outrances de Washington et alliance des droites : pas trop mal, pour un début.
Le moindre événement est désormais « à risque » en France, et l’État est bien le premier responsable de la situation.
Quand un candidat RN se désiste, il n’est pas étouffé par les remerciements.
Cet exemple sénégalais a le mérite d’illustrer parfaitement la dissonance cognitive de nos gauchistes français.
Pierre a demandé à l’équipe éducative du lycée de retirer tous les signes religieux. La direction a refusé.
Merci aux « chasseurs de Lorraine » de nous rappeler que tout n’est pas foutu !
Il ne reste qu’une option : la prospective catastrophiste sur les conséquences.
Il y a un an, la France a brûlé pendant huit jours.
Évidemment, comme on est dans une municipalité de gauche, ça n’a rien à voir avec la submersion migratoire.
Une flopée de diplomates met en garde contre le RN. Ont-ils vendu leur âme pour quelques Ferrero Rocher?
En politique, on est toujours le cloporte de quelqu’un.
Le communiqué des Scouts de France est à l’image de ce qu’est devenu le mouvement.
Le pays légal a défini les partis politiques en présence, d’une façon fort éloignée du ressenti du pays réel.
Tout le monde aura le bac : celui qui croyait à Weil, celui qui n’y croyait pas.
En racontant le parcours de la cosmonaute, l’émission se montre étonnamment complaisante avec le régime soviétique.
Au-delà du fond, il y a surtout un problème de neutralité, que rappelle la Fédération française de football
Les armées osent regarder les problèmes en face, et les traitent.
Voilà du courage politique.
Il n’y a plus guère que les gauchistes indécrottables et les casseurs estudiantins pour considérer que le RN est raciste
L’amertume particulière d’avoir abandonné le camp des perdants d’hier pour le camp des perdants d’aujourd’hui.
Mal nommer les choses est devenu une habitude, dans les cercles du pouvoir.
L’Histoire au présent est de la politique.
Ce n’est pas lui qui vote pour le RN, car malgré ses bandanas, son cuir et ses motos, il a toujours été un bourgeois.
Ce n’est pas rien, de passer une vitesse, dans la conflictualité vis-à-vis de la Russie.
De toutes façons, au point où elle en est…
Geneviève de Galard est cette héroïne qui, du jour au lendemain, retourna à l’anonymat, sereinement.
Une telle sincérité est bien tardive…
« Vous ne vous arrêtez jamais, Monsieur Pignon », disait Bernard Brochant (Thierry Lhermitte) à François Pignon (Jacques Villeret), le « con » de son dîner dans
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Un vert manteau de mosquées
Lire la vidéo
