
Lorsqu’une femme (ou mieux : une « maman ») évoque sa « liberté », son « bonheur », son « choix personnel », il n’y a plus rien à dire dans notre société où règne l’individualisme…

C’est finalement une grande partie de la vie politique de ces trente dernières années qui est symbolisée dans ce qui ressemble à une pièce de théâtre.

Alors, qu’en est-il du fond dans tout ce brouhaha ?

Il ne faut évidemment pas faire « d’amalgames » ou de stigmatisation.

À quelques jours de la rentrée des classes, l’heure est venue de se féliciter de notre système éducatif et de ses réussites exemplaires.

La fracture qui séparait les électeurs de gauche et de droite concernant le libéralisme économique est désormais caduque.

Cette ligne clairement immigrationniste, très conciliante à l’égard de l’islamisme, totalise plus de 55 % des voix.

J’ai vu un idéaliste éthéré, perdu, inconséquent face aux flux migratoires et à l’islamisation des sociétés occidentales.

Si on devait poursuivre le raisonnement avec cette période, cela signifierait donc que nous sommes sur le point d’entrer sous occupation…

Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.

Le seul problème de ce système bien huilé semble qu’il n’est, finalement, pas majoritaire dans la population.

Lévi-Strauss n’a pas été assez étudié. Il n’y a pas assez de documentaires sur sa vision du monde. Pourtant, sa pensée nous éviterait bien des écueils et nous décomplexifierait sur de nombreux points.
On dévoile que des quartiers entiers se ferment dans le communautarisme où l’on mange islam, on s’habille islam, on parle arabe.

Après des décennies d’immigration massive, il semblerait que les prémices d’un séisme géopolitique se profilent.

Il ne subsiste, dorénavant, que les ruines d’un pays en proie au communautarisme.

Lorsqu’une femme (ou mieux : une « maman ») évoque sa « liberté », son « bonheur », son « choix personnel », il n’y a plus rien à dire dans notre société où règne l’individualisme…

C’est finalement une grande partie de la vie politique de ces trente dernières années qui est symbolisée dans ce qui ressemble à une pièce de théâtre.

Alors, qu’en est-il du fond dans tout ce brouhaha ?

Il ne faut évidemment pas faire « d’amalgames » ou de stigmatisation.

À quelques jours de la rentrée des classes, l’heure est venue de se féliciter de notre système éducatif et de ses réussites exemplaires.

La fracture qui séparait les électeurs de gauche et de droite concernant le libéralisme économique est désormais caduque.

Cette ligne clairement immigrationniste, très conciliante à l’égard de l’islamisme, totalise plus de 55 % des voix.

J’ai vu un idéaliste éthéré, perdu, inconséquent face aux flux migratoires et à l’islamisation des sociétés occidentales.

Si on devait poursuivre le raisonnement avec cette période, cela signifierait donc que nous sommes sur le point d’entrer sous occupation…

Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.

Le seul problème de ce système bien huilé semble qu’il n’est, finalement, pas majoritaire dans la population.

Lévi-Strauss n’a pas été assez étudié. Il n’y a pas assez de documentaires sur sa vision du monde. Pourtant, sa pensée nous éviterait bien des écueils et nous décomplexifierait sur de nombreux points.
On dévoile que des quartiers entiers se ferment dans le communautarisme où l’on mange islam, on s’habille islam, on parle arabe.

Après des décennies d’immigration massive, il semblerait que les prémices d’un séisme géopolitique se profilent.

Il ne subsiste, dorénavant, que les ruines d’un pays en proie au communautarisme.
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