
Cette situation inédite aura peut-être le mérite de nous faire toucher du doigt qu’au-delà du vote des lois qui relève du pouvoir législatif, il revient au pouvoir exécutif de gouverner le pays.

Le monde d’En marche ! est vieux, lourd, incapable de se bonifier et de se transformer.

Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…

Dans ce contexte hystérique, de politique de la peur et de désignation des boucs émissaires, il apparaît de salubrité publique d’imposer des déclarations sur l’honneur de l’absence de tout conflit d’intérêts…

Le problème est que dans le cadre d’une campagne électorale, les mots du Président risquent d’être suffisants pour lui permettre de surfer sur la vague de la crédibilité, surtout dans le contexte de peur savamment entretenu depuis des mois.

N’oublions pas le vieux proverbe italien qui nous rappelle que « le loup change de poils mais pas de vice » !

Ni la République ni l’Eglise n’ont à gagner dans cette pantalonnade partagée.

Comment peut-on faire supporter aux paroissiens les agissements de clercs défaillants ? Au nom d’une responsabilité collective qui leur est étrangère ? Cela ressemble à une double peine…

On sait de longue date que sans secret professionnel de l’avocat, il n’y a plus qu’un simulacre de défense préparant un simulacre de justice…

Il s’agit, au cœur des turbulences politiques, sociologiques et technologiques, de rétablir un grand corps dans sa vocation essentielle de rendre la justice des hommes pour les hommes…

Quelle est notre conception du secret ? Est-elle à géométrie variable ?

Un nouvel échec signerait la fin de toutes les espérances du mouvement conservateur qui a peut-être dans ses rangs un homme ou une femme d’État capable de relever ce défi à moyen terme…

J’espère simplement – peut-être est-il encore temps pour que cela se fasse dans la paix ? – que se lèveront des hommes capables de mener une politique au service de laquelle notre armée se mettra.

Pendant ce temps, l’ennemi frappe et progresse.

Le débat est donc bien mal engagé…

N’est-ce pas précisément en refusant d’admettre les liens qu’il peut y avoir entre l’islam et l’islamisme que l’on tombe dans le piège ?

Nous avons la manie du responsable.

Tenez-vous bien : il ne fallait pas piquer dans un pli de la peau mais en intramusculaire !
Toute la politique conduite depuis des années sous la pression des lobbies du genre et des minorités de couleur repose sur un mensonge. Elle est le fruit d’une erreur anthropologique et philosophique fondamentale.

L’article à l’encontre d’Éric Dupond-Moretti m’a conduit à penser que s’il y a une bien-pensance de gauche, il pourrait finir par y avoir une mal-pensance de droite ! Et le succès qu’il a rencontré m’a inquiété…

Le Président court après son image sécuritaire en vue de sa réélection. Gérald Darmanin est en mission !

Quel spectacle donnons-nous, si ce n’est celui de « traîne-savates » sans élégance ni distinction, déplaçant avec lourdeur et vulgarité leur corps dans la cité ?

Je salue ce premier effort ; mais il n’est pas suffisant…

La France est malade de sa politique moralisatrice. Les États-Unis sont forts de leur pratique des institutions et du droit.

À lire. À garder. À compulser. À utiliser et… à transmettre !

Toutes les réformes de l’institution judiciaire n’y changeront rien. Si les hommes ont perdu le sens moral, aucune loi ne les rendra meilleurs ou moins mauvais…

C’est ça, de confier les rênes du pouvoir à un adolescent inexpérimenté et animé par la seule avidité du pouvoir…

Éric Dupond-Moretti a affirmé que son métier d’avocat pénaliste était en train de mourir. Excessif ? Théâtral, comme à son habitude ? Non, tout simplement réaliste.

Cette situation inédite aura peut-être le mérite de nous faire toucher du doigt qu’au-delà du vote des lois qui relève du pouvoir législatif, il revient au pouvoir exécutif de gouverner le pays.

Le monde d’En marche ! est vieux, lourd, incapable de se bonifier et de se transformer.

Les peuples ne peuvent vivre, se développer et s’épanouir que dans un cadre national…

Dans ce contexte hystérique, de politique de la peur et de désignation des boucs émissaires, il apparaît de salubrité publique d’imposer des déclarations sur l’honneur de l’absence de tout conflit d’intérêts…

Le problème est que dans le cadre d’une campagne électorale, les mots du Président risquent d’être suffisants pour lui permettre de surfer sur la vague de la crédibilité, surtout dans le contexte de peur savamment entretenu depuis des mois.

N’oublions pas le vieux proverbe italien qui nous rappelle que « le loup change de poils mais pas de vice » !

Ni la République ni l’Eglise n’ont à gagner dans cette pantalonnade partagée.

Comment peut-on faire supporter aux paroissiens les agissements de clercs défaillants ? Au nom d’une responsabilité collective qui leur est étrangère ? Cela ressemble à une double peine…

On sait de longue date que sans secret professionnel de l’avocat, il n’y a plus qu’un simulacre de défense préparant un simulacre de justice…

Il s’agit, au cœur des turbulences politiques, sociologiques et technologiques, de rétablir un grand corps dans sa vocation essentielle de rendre la justice des hommes pour les hommes…

Quelle est notre conception du secret ? Est-elle à géométrie variable ?

Un nouvel échec signerait la fin de toutes les espérances du mouvement conservateur qui a peut-être dans ses rangs un homme ou une femme d’État capable de relever ce défi à moyen terme…

J’espère simplement – peut-être est-il encore temps pour que cela se fasse dans la paix ? – que se lèveront des hommes capables de mener une politique au service de laquelle notre armée se mettra.

Pendant ce temps, l’ennemi frappe et progresse.

Le débat est donc bien mal engagé…

N’est-ce pas précisément en refusant d’admettre les liens qu’il peut y avoir entre l’islam et l’islamisme que l’on tombe dans le piège ?

Nous avons la manie du responsable.

Tenez-vous bien : il ne fallait pas piquer dans un pli de la peau mais en intramusculaire !
Toute la politique conduite depuis des années sous la pression des lobbies du genre et des minorités de couleur repose sur un mensonge. Elle est le fruit d’une erreur anthropologique et philosophique fondamentale.

L’article à l’encontre d’Éric Dupond-Moretti m’a conduit à penser que s’il y a une bien-pensance de gauche, il pourrait finir par y avoir une mal-pensance de droite ! Et le succès qu’il a rencontré m’a inquiété…

Le Président court après son image sécuritaire en vue de sa réélection. Gérald Darmanin est en mission !

Quel spectacle donnons-nous, si ce n’est celui de « traîne-savates » sans élégance ni distinction, déplaçant avec lourdeur et vulgarité leur corps dans la cité ?

Je salue ce premier effort ; mais il n’est pas suffisant…

La France est malade de sa politique moralisatrice. Les États-Unis sont forts de leur pratique des institutions et du droit.

À lire. À garder. À compulser. À utiliser et… à transmettre !

Toutes les réformes de l’institution judiciaire n’y changeront rien. Si les hommes ont perdu le sens moral, aucune loi ne les rendra meilleurs ou moins mauvais…

C’est ça, de confier les rênes du pouvoir à un adolescent inexpérimenté et animé par la seule avidité du pouvoir…

Éric Dupond-Moretti a affirmé que son métier d’avocat pénaliste était en train de mourir. Excessif ? Théâtral, comme à son habitude ? Non, tout simplement réaliste.
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