Pour nous résumer, EDF vend de l’électricité à prix coûtant à des concurrents qui la revendent à des clients EDF au nom de la « saine concurrence ».
Un péril peut en cacher un autre. Plus profond encore. Mobilisé à gérer comme il peut la pandémie depuis 18 mois, Emmanuel Macron et sa
Ça ne marche pas. Tout simplement. Et je l’ai encore malheureusement vérifié hier matin.
« Sauver les vies des vieux, oui, bien sûr. Les faire payer, oui, aussi… »
Stop. Cessez donc de bavasser à tout bout de champ. Si l’on vous entend encore, l’on ne vous écoute plus.
Malin comme un politicien de l’ancien monde, Macron n’aura rien décidé en matière de transition écologique, mais avec le superflu gadget qu’est son référendum, il aura gagné du temps, brassé du vent et bonimenté
Vautré sur mon canapé et armé de mon téléphone portable, je passe commande de tous les produits de l’univers sans me déplacer.
C’est un caporal, fatigué et fatigant, plutôt qu’un général d’armée sabre au clair que nous avons entendu, sans même plus l’écouter.
La politique de la peur perdure et les interdictions incohérentes et contradictoires s’accentuent.
Gérald Darmanin dénonçait, ce lundi matin, « la sauvagerie de certains délinquants ». Combien de temps compte-t-il encore décliner toute la famille du mot « sauvage » ?
Chaque jour, il se trouve un média, un préfet, un maire, un épidémiologiste, un médecin pour relancer le spectre sombre de l’arrivée d’une deuxième vague…
Il va participer pleinement à la transformation d’Emmanuel Macron en candidat reconditionné, remis en selle…
Quel avenir, pour le Premier ministre, à l’heure où bruissent déjà les rumeurs de remaniement du gouvernement, courant juillet, juste après le second tour des élections municipales ?
On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.
Infantilisante et anxiogène, telle est la parole gouvernementale.
Pour nous résumer, EDF vend de l’électricité à prix coûtant à des concurrents qui la revendent à des clients EDF au nom de la « saine concurrence ».
Un péril peut en cacher un autre. Plus profond encore. Mobilisé à gérer comme il peut la pandémie depuis 18 mois, Emmanuel Macron et sa
Ça ne marche pas. Tout simplement. Et je l’ai encore malheureusement vérifié hier matin.
« Sauver les vies des vieux, oui, bien sûr. Les faire payer, oui, aussi… »
Stop. Cessez donc de bavasser à tout bout de champ. Si l’on vous entend encore, l’on ne vous écoute plus.
Malin comme un politicien de l’ancien monde, Macron n’aura rien décidé en matière de transition écologique, mais avec le superflu gadget qu’est son référendum, il aura gagné du temps, brassé du vent et bonimenté
Vautré sur mon canapé et armé de mon téléphone portable, je passe commande de tous les produits de l’univers sans me déplacer.
C’est un caporal, fatigué et fatigant, plutôt qu’un général d’armée sabre au clair que nous avons entendu, sans même plus l’écouter.
La politique de la peur perdure et les interdictions incohérentes et contradictoires s’accentuent.
Gérald Darmanin dénonçait, ce lundi matin, « la sauvagerie de certains délinquants ». Combien de temps compte-t-il encore décliner toute la famille du mot « sauvage » ?
Chaque jour, il se trouve un média, un préfet, un maire, un épidémiologiste, un médecin pour relancer le spectre sombre de l’arrivée d’une deuxième vague…
Il va participer pleinement à la transformation d’Emmanuel Macron en candidat reconditionné, remis en selle…
Quel avenir, pour le Premier ministre, à l’heure où bruissent déjà les rumeurs de remaniement du gouvernement, courant juillet, juste après le second tour des élections municipales ?
On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.
Infantilisante et anxiogène, telle est la parole gouvernementale.
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