Si la peine capitale est abolie, c’est bien la mort professionnelle qui lui est promise, et cette guillotine-là n’a pas trouvé son Badinter.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
À la civilisation qui fit du visage et du sourire les marques de la civilité, des musulmanes imposent, en prétextant de la tolérance, la négation la plus parfaite.
Papa vote Mélenchon, maman adore les petits marchés bio, tous les deux sont abonnés à Libé – ils seront bientôt les seuls.
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
On ne dira jamais assez le drame de l’amateur de cinéma, injurié par des dames insensibles à son humour, à son savoir-vivre. Dieu merci, Mehdi Meklat est là pour le rappeler.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
Trois victoires, c’est peu, quand on sait le nombre de batailles que l’on perd.
Les « tentatives d’ethnicisation » n’ont rien dû à l’éviction de Mme Diallo, mais tout à Mme Diallo elle-même.
On devrait vivre en permanence les yeux écarquillés et être dans un état d’incessante sidération, tant la réalité est stupéfiante.
Comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères…
La pathologie antifa est ici à son dernier degré : Dekhar ramène à ses délires ségrégationnistes tout ce qui n’est pas lui.
Il s’agit que le Français de souche expie.
Pour domestiquer des citoyens, le pouvoir n’a plus besoin de la police ni de l’armée : il a besoin d’un animateur de noc
L’analphabète d’Afrique du Nord et la romancière de la rue du Bac possèdent une langue également dénaturée, et inutile, puisqu’elle n’exprime rien.
J’ouvre la presse. « MeToo! MeToo! » On se bouscule, on veut son viol…
Un peuple, ce n’est pas un pion à déplacer, et à remplacer quand il ne veut pas bouger.
Ce jeu taurin est pratiqué de mars à octobre, surtout l’été, lors des fêtes communales des villages landais.
Ma mère avait préparé les bassines, les couteaux, le linge, et mon père des seaux, du bois, la chaudière. Les voisins arrivaient vers sept heures.
On aurait tort de sous-estimer le danger que constitue, avec un Président hors-sol, tous ces ministres et conseillers spongiformes.
Si la peine capitale est abolie, c’est bien la mort professionnelle qui lui est promise, et cette guillotine-là n’a pas trouvé son Badinter.
Laisser un article, quand on en a écrit des milliers, c’est peu ; une expression, c’est moins encore, quand on est romancier ; c’est pourtant ce qui est arrivé à Pauwels, que ce « sida mental » résume.
À la civilisation qui fit du visage et du sourire les marques de la civilité, des musulmanes imposent, en prétextant de la tolérance, la négation la plus parfaite.
Papa vote Mélenchon, maman adore les petits marchés bio, tous les deux sont abonnés à Libé – ils seront bientôt les seuls.
Ce qu’ils appellent liberté, nous l’appelons soumission.
On ne dira jamais assez le drame de l’amateur de cinéma, injurié par des dames insensibles à son humour, à son savoir-vivre. Dieu merci, Mehdi Meklat est là pour le rappeler.
Pour faire disparaître ce qui ne lui plaît pas, le pouvoir a deux solutions : il supprime ou il submerge.
Trois victoires, c’est peu, quand on sait le nombre de batailles que l’on perd.
Les « tentatives d’ethnicisation » n’ont rien dû à l’éviction de Mme Diallo, mais tout à Mme Diallo elle-même.
On devrait vivre en permanence les yeux écarquillés et être dans un état d’incessante sidération, tant la réalité est stupéfiante.
Comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères…
La pathologie antifa est ici à son dernier degré : Dekhar ramène à ses délires ségrégationnistes tout ce qui n’est pas lui.
Il s’agit que le Français de souche expie.
Pour domestiquer des citoyens, le pouvoir n’a plus besoin de la police ni de l’armée : il a besoin d’un animateur de noc
L’analphabète d’Afrique du Nord et la romancière de la rue du Bac possèdent une langue également dénaturée, et inutile, puisqu’elle n’exprime rien.
J’ouvre la presse. « MeToo! MeToo! » On se bouscule, on veut son viol…
Un peuple, ce n’est pas un pion à déplacer, et à remplacer quand il ne veut pas bouger.
Ce jeu taurin est pratiqué de mars à octobre, surtout l’été, lors des fêtes communales des villages landais.
Ma mère avait préparé les bassines, les couteaux, le linge, et mon père des seaux, du bois, la chaudière. Les voisins arrivaient vers sept heures.
On aurait tort de sous-estimer le danger que constitue, avec un Président hors-sol, tous ces ministres et conseillers spongiformes.
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