L’héritage est une notion bien ancrée chez les Français, même les plus modestes. On a envie de transmettre un petit quelque chose à sa descendance, quitte à manger tous les jours des pâtes…
Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…
Une commission sénatoriale vient de se pencher sur le fonctionnement de Pôle emploi, né il y a dix ans de la volonté de Nicolas Sarkozy…
Résultat : des enseignes célèbres qui, pour attirer le client, vendaient quasiment à perte ont vu beaucoup de leurs prix faire un bond de 9 %.
Emmanuel Macron a bondi sur la contribution d’un participant au grand débat qui proposait de taxer les plus-values sur la résidence principale…
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
La mesure phare d’Emmanuel Macron pour reconquérir l’opinion après la crise des gilets jaunes, l’augmentation de la prime d’activité, monte en puissance au début de ce mois de février.
Gérald Darmanin, qui a choisi pour l’instant de rester ministre, essaye une manœuvre de diversion en mettant en avant une des revendications des gilets jaunes : les niches fiscales…
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
On ne voit pas comment des jeunes dans la force de l’âge, sans formation et/ou sans travail, pourraient contribuer à soutenir notre système social.
Or, notre pays est toujours à court d’argent. Il doit sans cesse emprunter : 200 milliards en 2019 !
En 2018, les détenteurs des titres cotés au CAC 40 ont touché 57,4 milliards au total (en hausse de 12,8 %) pour une valorisation de 1.500 milliards, soit un rendement de 3,8 % avant impôts.
Le pouvoir se rabat donc sans honte vers une autre solution : revenir sur l’exonération totale et obliger les 20 % des plus « aisés » à payer la taxe d’habitation.
Une proposition d’augmentation des impôts en pleine révolte fiscale qu’est, à l’origine, le mouvement des gilets jaunes !
Les grands gagnants seront les hypermarchés et les supermarchés.
Le tour de vis va sans doute ramener des « fainéants » sur le marché de l’emploi, mais il fera aussi beaucoup de dégâts collatéraux.
Grisés de haschich, persuadés de retrouver après leur mort une félicité éternelle, certains qu’ils auront bien à leur disposition 72 vierges, ils tueront sans pitié ceux que leur maître leur désignera.
Le gouvernement éprouve le besoin de justifier son refus de réintroduire l’ISF. Aussi, il montre ses muscles et enjoint aux patrons de payer leurs impôts en France.
Faudra-t-il ressortir, en décembre 2019, les gilets jaunes ?
La France croule donc sous les revendications, elles sont toutes légitimes et elles mériteraient toutes, sans exception, d’obtenir satisfaction.
Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Rien ne dit que la grogne sociale ne reprendra pas en janvier…
Notre budget, avant ces annonces, connaissait déjà un déficit dramatique : désormais, il est épouvantable !
Seule une baisse drastique des dépenses publiques permettrait de dégager des marges suffisantes.
Une autre catégorie qui risque de beaucoup souffrir sera celle des veufs et des veuves.
Le gouvernement taxe les Français sous ces prétextes écologiques qui l’arrangent et, pour décourager les protestataires, il les culpabilise et les insulte.
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
L’héritage est une notion bien ancrée chez les Français, même les plus modestes. On a envie de transmettre un petit quelque chose à sa descendance, quitte à manger tous les jours des pâtes…
Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…
Une commission sénatoriale vient de se pencher sur le fonctionnement de Pôle emploi, né il y a dix ans de la volonté de Nicolas Sarkozy…
Résultat : des enseignes célèbres qui, pour attirer le client, vendaient quasiment à perte ont vu beaucoup de leurs prix faire un bond de 9 %.
Emmanuel Macron a bondi sur la contribution d’un participant au grand débat qui proposait de taxer les plus-values sur la résidence principale…
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
La mesure phare d’Emmanuel Macron pour reconquérir l’opinion après la crise des gilets jaunes, l’augmentation de la prime d’activité, monte en puissance au début de ce mois de février.
Gérald Darmanin, qui a choisi pour l’instant de rester ministre, essaye une manœuvre de diversion en mettant en avant une des revendications des gilets jaunes : les niches fiscales…
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
On ne voit pas comment des jeunes dans la force de l’âge, sans formation et/ou sans travail, pourraient contribuer à soutenir notre système social.
Or, notre pays est toujours à court d’argent. Il doit sans cesse emprunter : 200 milliards en 2019 !
En 2018, les détenteurs des titres cotés au CAC 40 ont touché 57,4 milliards au total (en hausse de 12,8 %) pour une valorisation de 1.500 milliards, soit un rendement de 3,8 % avant impôts.
Le pouvoir se rabat donc sans honte vers une autre solution : revenir sur l’exonération totale et obliger les 20 % des plus « aisés » à payer la taxe d’habitation.
Une proposition d’augmentation des impôts en pleine révolte fiscale qu’est, à l’origine, le mouvement des gilets jaunes !
Les grands gagnants seront les hypermarchés et les supermarchés.
Le tour de vis va sans doute ramener des « fainéants » sur le marché de l’emploi, mais il fera aussi beaucoup de dégâts collatéraux.
Grisés de haschich, persuadés de retrouver après leur mort une félicité éternelle, certains qu’ils auront bien à leur disposition 72 vierges, ils tueront sans pitié ceux que leur maître leur désignera.
Le gouvernement éprouve le besoin de justifier son refus de réintroduire l’ISF. Aussi, il montre ses muscles et enjoint aux patrons de payer leurs impôts en France.
Faudra-t-il ressortir, en décembre 2019, les gilets jaunes ?
La France croule donc sous les revendications, elles sont toutes légitimes et elles mériteraient toutes, sans exception, d’obtenir satisfaction.
Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.
On ne pourra pas se débarrasser si facilement d’Emmanuel Macron, tout simplement parce que personne de crédible aux yeux des Français n’apparaît pour l’instant sur le « marché » politique.
Rien ne dit que la grogne sociale ne reprendra pas en janvier…
Notre budget, avant ces annonces, connaissait déjà un déficit dramatique : désormais, il est épouvantable !
Seule une baisse drastique des dépenses publiques permettrait de dégager des marges suffisantes.
Une autre catégorie qui risque de beaucoup souffrir sera celle des veufs et des veuves.
Le gouvernement taxe les Français sous ces prétextes écologiques qui l’arrangent et, pour décourager les protestataires, il les culpabilise et les insulte.
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
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