À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Le RPR était un parti gaulliste qui se voulait, face au centre et à la gauche, le mouvement qui allait remettre la France sur la voie tracée par le général de Gaulle…
Les élections européennes en France ont témoigné de la décadence profonde de notre pays.
Le Président avait lancé un défi. Il l’a perdu, mais pas dans des proportions calamiteuses pour lui…
Les trois priorités de la droite sont la nation, l’efficacité économique et la conservation des valeurs traditionnelles telles que la famille. Macron n’appartient à aucune de ces trois familles…
On reproche à Bannon de soutenir les populistes ? Mais que faisait Obama, en 2017, quand il soutenait Macron ?
Ce poncif repose sur une faute logique assez courante : on constate la concordance de deux faits et on en induit un lien de cause à effet entre l’un et l’autre.
Voter contre l’Europe telle qu’elle est, c’est permettre aux nations européennes de faire revivre leur démocratie et leur avenir.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
L’Europe est un engrenage auquel il est difficile d’échapper qui entraîne les peuples vers un destin qu’ils n’ont pas choisi
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Le service public doit honorer la France par sa qualité, la faire valoir dans le monde. Il lui vomit dessus.
L’entrée de Vox au Parlement espagnol est un événement, puisqu’il s’agit clairement d’un parti nationaliste et conservateur…
En somme, Macron n’a pas changé…
Jamais la France n’a été à ce point divisée.
En résumé, l’islamophobie est un crime aggravé. La christianophobie est un dérangement mental…
Derrière l’unité retrouvée du pays, combien de contradictions mortelles ?
En luttant avec courage contre le feu qui courait dans la « forêt » des charpentes, les 400 pompiers offrent un exemple à tous les Français.
S’il y a un premier responsable de la délinquance, c’est le délinquant. Et il y en a un second, le responsable politique qui doit mettre en œuvre les dispositifs juridiques et l’action sur le terrain capables d’enrayer la montée du phénomène.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Le grand débat aura été la machine à laver du quinquennat.
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
La construction européenne est une machine à jeter les peuples avec l’eau de la démocratie.
À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
À peine élu Président, Chirac confia Matignon à Juppé, qui oublia la fracture sociale pour payer les factures et redresser les comptes, régler aussi ceux de quelques-uns.
Le RPR était un parti gaulliste qui se voulait, face au centre et à la gauche, le mouvement qui allait remettre la France sur la voie tracée par le général de Gaulle…
Les élections européennes en France ont témoigné de la décadence profonde de notre pays.
Le Président avait lancé un défi. Il l’a perdu, mais pas dans des proportions calamiteuses pour lui…
Les trois priorités de la droite sont la nation, l’efficacité économique et la conservation des valeurs traditionnelles telles que la famille. Macron n’appartient à aucune de ces trois familles…
On reproche à Bannon de soutenir les populistes ? Mais que faisait Obama, en 2017, quand il soutenait Macron ?
Ce poncif repose sur une faute logique assez courante : on constate la concordance de deux faits et on en induit un lien de cause à effet entre l’un et l’autre.
Voter contre l’Europe telle qu’elle est, c’est permettre aux nations européennes de faire revivre leur démocratie et leur avenir.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
L’Europe est un engrenage auquel il est difficile d’échapper qui entraîne les peuples vers un destin qu’ils n’ont pas choisi
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
Il est quand même extraordinaire qu’un pouvoir qui se voulait transparent, ennemi juré des « fake news », soit pris la main dans le sac d’en avoir lancé une.
Le service public doit honorer la France par sa qualité, la faire valoir dans le monde. Il lui vomit dessus.
L’entrée de Vox au Parlement espagnol est un événement, puisqu’il s’agit clairement d’un parti nationaliste et conservateur…
En somme, Macron n’a pas changé…
Jamais la France n’a été à ce point divisée.
En résumé, l’islamophobie est un crime aggravé. La christianophobie est un dérangement mental…
Derrière l’unité retrouvée du pays, combien de contradictions mortelles ?
En luttant avec courage contre le feu qui courait dans la « forêt » des charpentes, les 400 pompiers offrent un exemple à tous les Français.
S’il y a un premier responsable de la délinquance, c’est le délinquant. Et il y en a un second, le responsable politique qui doit mettre en œuvre les dispositifs juridiques et l’action sur le terrain capables d’enrayer la montée du phénomène.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Le grand débat aura été la machine à laver du quinquennat.
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Cacophonie et duplicité résument donc l’attitude de ceux qui nous gouvernent, trop intelligents pour les pauvres Français qui les ont élus.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
La construction européenne est une machine à jeter les peuples avec l’eau de la démocratie.
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