Alain Peyrefitte a sans doute été le penseur le plus perspicace de la Ve République.
Voilà de longs mois que les discours du pouvoir sonnent faux !
Que cette trahison se fasse au nom de prétendues valeurs « humanistes » est le comble du mensonge européen !
Un général qui perd une bataille par son incurie doit, évidemment, être limogé ! Castaner doit démissionner immédiatement…
Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
À notre Président, metteur en scène, il paraît urgent de dire : plus la politique se confond avec le spectacle, moins il y a de démocratie.
La France ne produit que 1 % du gaz carbonique planétaire (moins de 300 millions de tonnes) grâce, notamment, à son électricité d’origine nucléaire et hydraulique.
Elle ne peut provenir que de la dérive gauchiste du mouvement contestataire qui fait de la police l’ennemie des manifestants quand c’est le gouvernement qui devrait être l’unique cible.
Macron a tout du pompier incendiaire !
La droite, c’est la famille et la priorité de la vie des enfants à naître. La gauche, c’est l’individu et le bon plaisir de celui-ci face aux générations futures.
À deux reprises, Mme Nicole Belloubet a révélé à quel point elle était engagée idéologiquement.
Que penser d’un « président de la République française » qui fait en sorte que le peuple qu’il dirige, et doit préserver du danger, tourne le dos à celui-ci pour faire face à un ennemi imaginaire ?
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.
L’impunité pour la criminalité banale s’explique par le fait qu’on répugne à punir à proportion les faits les plus horribles.
Macron, c’est un Giscard de gauche, en retard sur l’Histoire.
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.
Malgré l’hostilité de Trump à l’encontre de Maduro, on ne saurait déceler dans cette révolte la conséquence d’une intervention extérieure. Le désastre économique, social et politique du bolivarisme est trop évident.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».
Les gilets jaunes, sans qui ce grand débat n’aurait pas lieu, ne sont ni conviés ni cités, puisqu’il s’agit avant tout de les isoler ou d’en piéger quelques-uns, plus naïfs que les autres.
Les Français savent maintenant combien leur régime s’est éloigné de la démocratie.
Arrive donc l’heure du bâton, et le père Fouettard s’appelle Édouard Philippe. Mieux vaut, en effet, que ce soit un « républicain » renégat plutôt qu’un socialiste.
Le sirop humaniste ne sert qu’à faire avaler la pilule économique.
Lorsqu’il est évident qu’une consultation populaire conduirait au refus d’une mesure conforme à l’esprit de Davos, alors c’est le pouvoir doux qui subvertit la démocratie…
Alain Peyrefitte a sans doute été le penseur le plus perspicace de la Ve République.
Voilà de longs mois que les discours du pouvoir sonnent faux !
Que cette trahison se fasse au nom de prétendues valeurs « humanistes » est le comble du mensonge européen !
Un général qui perd une bataille par son incurie doit, évidemment, être limogé ! Castaner doit démissionner immédiatement…
Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
À notre Président, metteur en scène, il paraît urgent de dire : plus la politique se confond avec le spectacle, moins il y a de démocratie.
La France ne produit que 1 % du gaz carbonique planétaire (moins de 300 millions de tonnes) grâce, notamment, à son électricité d’origine nucléaire et hydraulique.
Elle ne peut provenir que de la dérive gauchiste du mouvement contestataire qui fait de la police l’ennemie des manifestants quand c’est le gouvernement qui devrait être l’unique cible.
Macron a tout du pompier incendiaire !
La droite, c’est la famille et la priorité de la vie des enfants à naître. La gauche, c’est l’individu et le bon plaisir de celui-ci face aux générations futures.
À deux reprises, Mme Nicole Belloubet a révélé à quel point elle était engagée idéologiquement.
Que penser d’un « président de la République française » qui fait en sorte que le peuple qu’il dirige, et doit préserver du danger, tourne le dos à celui-ci pour faire face à un ennemi imaginaire ?
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.
L’impunité pour la criminalité banale s’explique par le fait qu’on répugne à punir à proportion les faits les plus horribles.
Macron, c’est un Giscard de gauche, en retard sur l’Histoire.
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
En comptant large, quelques milliers de « foulards rouges » se sont rassemblés place de la Nation, témoignant ainsi de l’absence de socle sociologique du macronisme.
Malgré l’hostilité de Trump à l’encontre de Maduro, on ne saurait déceler dans cette révolte la conséquence d’une intervention extérieure. Le désastre économique, social et politique du bolivarisme est trop évident.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
La démagogie qui consiste à flatter le peuple, en commençant par les maires, est le contraire de la démocratie qu’on appelle aujourd’hui avec dédain « populisme ».
Les gilets jaunes, sans qui ce grand débat n’aurait pas lieu, ne sont ni conviés ni cités, puisqu’il s’agit avant tout de les isoler ou d’en piéger quelques-uns, plus naïfs que les autres.
Les Français savent maintenant combien leur régime s’est éloigné de la démocratie.
Arrive donc l’heure du bâton, et le père Fouettard s’appelle Édouard Philippe. Mieux vaut, en effet, que ce soit un « républicain » renégat plutôt qu’un socialiste.
Le sirop humaniste ne sert qu’à faire avaler la pilule économique.
Lorsqu’il est évident qu’une consultation populaire conduirait au refus d’une mesure conforme à l’esprit de Davos, alors c’est le pouvoir doux qui subvertit la démocratie…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées