…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.
Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.
C’est ainsi que Georges Pompidou avait mis fin au chaos de 1968.
Après les fêtes, les bénéfices des uns paraîtront bien maigres, et la rancœur de ceux que la complexité des plafonds et des seuils aura laissés à l’écart de la distribution n’en sera que plus vive.
Le référendum d’initiative populaire ou citoyenne permet au populisme de s’exprimer normalement sans être stigmatisé par la caste qui usurpe le pouvoir…
On aimerait une réponse plus forte et plus offensive, comme l’expulsion de tous les fichés « S » étrangers. Mais notre gouvernement est un artiste du faire semblant.
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Pendant que les Français se battent pour leur pouvoir d’achat, ils ne regardent pas vers Marrakech. Au-delà du pouvoir d’achat, il faut aussi maintenir le pouvoir d’être !
La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
La seule solution est, malheureusement, de revenir sur l’erreur initiale : son élection.
Tous ceux qui attendaient des solutions concrètes et un moratoire sur les taxes en ont été pour leurs frais.
Le microcosme au pouvoir depuis 2017 ne comprend rien à ce qui se passe.
C’est un choix binaire. Ou bien nous défendons notre identité ou bien notre civilisation et notre pays en particulier disparaîtront.
Ni les députés, ni des élus locaux suffisamment puissants, ni même les sénateurs dont le pouvoir est limité, ni le référendum dont l’initiative n’est pas populaire ne peuvent compenser le déséquilibre de nos institutions.
Les classes moyennes qui sont au milieu donnent mais ne reçoivent pas : elles sont dans la rue, et c’est une première.
Ainsi donc, Jupiter-Narcisse devient Neptune : il a pris le large sur un porte-avions…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
La France ne doit pas se noyer dans des commémorations incessantes. Elle doit, moins encore, s’enliser dans des polémiques superflues à propos du passé.
Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
…et lui remémorer ses promesses de campagne.
Sur les déclarations de Manu l’extra-lucide, on ne peut que déplorer une fois encore l’argent public gaspillé à produire des énarques qui parlent avec assurance de choses dont ils ignorent tout.
Le 1er novembre est le jour de la Toussaint. C’est aussi le malheureux anniversaire de la rébellion algérienne avec l’assassinat, par le FLN, du couple d’instituteurs Guy et Janine Monnerot dans les Aurès.
Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Comme les boulettes de pétrole qui viennent se répandre sur les plages du Var, les bourdes présidentielles s’accumulent sur les rives du pouvoir.
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
On ne se bouscule donc plus au portillon du pouvoir. Cinq ministres pressentis auraient déjà décliné l’invitation.
…le verbe n’avait pas su cacher l’échec.
Notre jeune « génie » national, dont les retraités sont la cible privilégiée, est paradoxalement condamné à une sorte de retraite à l’Élysée.
C’est ainsi que Georges Pompidou avait mis fin au chaos de 1968.
Après les fêtes, les bénéfices des uns paraîtront bien maigres, et la rancœur de ceux que la complexité des plafonds et des seuils aura laissés à l’écart de la distribution n’en sera que plus vive.
Le référendum d’initiative populaire ou citoyenne permet au populisme de s’exprimer normalement sans être stigmatisé par la caste qui usurpe le pouvoir…
On aimerait une réponse plus forte et plus offensive, comme l’expulsion de tous les fichés « S » étrangers. Mais notre gouvernement est un artiste du faire semblant.
On est chez Racine : les issues sont fermées et les personnages ne peuvent que mourir à la fin.
Pendant que les Français se battent pour leur pouvoir d’achat, ils ne regardent pas vers Marrakech. Au-delà du pouvoir d’achat, il faut aussi maintenir le pouvoir d’être !
La seule question qui se pose, aujourd’hui, est celle de la durée d’un régime discrédité aux yeux du monde entier…
La seule solution est, malheureusement, de revenir sur l’erreur initiale : son élection.
Tous ceux qui attendaient des solutions concrètes et un moratoire sur les taxes en ont été pour leurs frais.
Le microcosme au pouvoir depuis 2017 ne comprend rien à ce qui se passe.
C’est un choix binaire. Ou bien nous défendons notre identité ou bien notre civilisation et notre pays en particulier disparaîtront.
Ni les députés, ni des élus locaux suffisamment puissants, ni même les sénateurs dont le pouvoir est limité, ni le référendum dont l’initiative n’est pas populaire ne peuvent compenser le déséquilibre de nos institutions.
Les classes moyennes qui sont au milieu donnent mais ne reçoivent pas : elles sont dans la rue, et c’est une première.
Ainsi donc, Jupiter-Narcisse devient Neptune : il a pris le large sur un porte-avions…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
La France ne doit pas se noyer dans des commémorations incessantes. Elle doit, moins encore, s’enliser dans des polémiques superflues à propos du passé.
Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
…et lui remémorer ses promesses de campagne.
Sur les déclarations de Manu l’extra-lucide, on ne peut que déplorer une fois encore l’argent public gaspillé à produire des énarques qui parlent avec assurance de choses dont ils ignorent tout.
Le 1er novembre est le jour de la Toussaint. C’est aussi le malheureux anniversaire de la rébellion algérienne avec l’assassinat, par le FLN, du couple d’instituteurs Guy et Janine Monnerot dans les Aurès.
Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Macron et Mélenchon ne sont que les deux faces de l’oligarchie de gauche qui détruit le pays : l’une au nom d’un prétendu progressisme, l’autre par une démagogie sans limite.
Comme les boulettes de pétrole qui viennent se répandre sur les plages du Var, les bourdes présidentielles s’accumulent sur les rives du pouvoir.
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
On ne se bouscule donc plus au portillon du pouvoir. Cinq ministres pressentis auraient déjà décliné l’invitation.
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