L’identification d’une nation à 11 joueurs sur le terrain et aux 23 sélectionnés n’a évidemment aucun sens.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Il y a de l’Erdoğan dans le Macron…
De même qu’on a du mal à identifier les demoiselles de Picasso, on peine chaque jour davantage à définir notre pays.
Nous vivons dans un pays qui marche sur la tête, ou plutôt dans un pays où ceux qui sont à sa tête marchent sur les nôtres…
Le football ne serait-il pas l’opium du peuple dans une société matérialiste ?
M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
Mme Calmels renvoie la défense de l’identité nationale au passé révolu, en ne voyant pas à quel point cette préoccupation est devenue principale.
Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Des « commissaires européens », non élus, osent faire la leçon à des dirigeants qui bénéficient d’une réelle légitimité démocratique.
Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
Quant à la France, une et indivisible, il n’a pas pour elle les yeux de Chimène. Il ne la connaît pas, car elle échappe à ses statistiques.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
La démocratie est devenue le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci.
On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…
Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Les formules creuses y abondent : il s’agit d’aller plus loin, de continuer à avancer…
Notre technocrate en chef nourri au biberon de la gauche strauss-kahnienne veut donc séduire la droite.
L’identification d’une nation à 11 joueurs sur le terrain et aux 23 sélectionnés n’a évidemment aucun sens.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Il y a de l’Erdoğan dans le Macron…
De même qu’on a du mal à identifier les demoiselles de Picasso, on peine chaque jour davantage à définir notre pays.
Nous vivons dans un pays qui marche sur la tête, ou plutôt dans un pays où ceux qui sont à sa tête marchent sur les nôtres…
Le football ne serait-il pas l’opium du peuple dans une société matérialiste ?
M. Macron devra alors se rendre à l’évidence : insulter les peuples n’est que l’aveu de faiblesse de celui qui n’est qu’un accident de l’Histoire…
Mme Calmels renvoie la défense de l’identité nationale au passé révolu, en ne voyant pas à quel point cette préoccupation est devenue principale.
Le viol et l’assassinat d’une adolescente, fin mai, par un demandeur d’asile irakien débouté, mais non expulsé, a soulevé une légitime indignation et une juste colère.
À l’occasion du dîner-débat « Pour une autre Europe » organisé par le mouvement La Droite libre le 19 juin prochain, en présence de l’ambassadeur de Hongrie
Aux États-Unis comme en Europe, le réveil est brutal. Durera-t-il ? Voilà la question.
Si M. Macron cessait de penser comme il parle, en sabir atlantique, il saurait que les « fake news » sont déjà visées en bon français par l’article 27 de la loi de 1881 sur la liberté de la presse…
Des « commissaires européens », non élus, osent faire la leçon à des dirigeants qui bénéficient d’une réelle légitimité démocratique.
Le sentiment que les élections ne servent à rien, et la répression qui s’abat sur la liberté d’expression sont aujourd’hui les deux symptômes d’une véritable maladie de la démocratie, en Europe, et en France en particulier.
Pourquoi, dans le même temps, le rôle néfaste de l’Arabie saoudite, du Qatar, du Koweit et de la Turquie est-il minimisé ?
Pourquoi voter, puisqu’un seul choix est possible ?
Quant à la France, une et indivisible, il n’a pas pour elle les yeux de Chimène. Il ne la connaît pas, car elle échappe à ses statistiques.
Que Jérusalem soit avant tout juive, la Bible nous l’enseigne, et on devrait raisonnablement l’accepter.
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
Un État qui les protège sur un territoire indépendant et qui peut être défendu.
L’histoire n’a jamais fait bon ménage avec la justice.
Pendant que le microcosme du show-bizz patauge dans le politiquement correct et les sujets privilégiés qui détournent l’opinion publique des vrais dangers, la menace perdure.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
La démocratie est devenue le nom qui désigne un système politique où les droits des étrangers doivent l’emporter sur ce que veut le peuple et au détriment de celui-ci.
On peut même s’interroger sur un certain degré de connivence tant chacun des comparses s’acharne à tenir son rôle. Ils ont d’ailleurs un point commun évident : ce sont d’excellents comédiens…
Même la personne la plus raisonnable, la moins encline à voir des complots partout, ne peut qu’être troublée.
Les formules creuses y abondent : il s’agit d’aller plus loin, de continuer à avancer…
Notre technocrate en chef nourri au biberon de la gauche strauss-kahnienne veut donc séduire la droite.
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